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« Quid de la liberté pédagogique des équipes ET des enseignant·e·s existant depuis la création de notre école publique ? », s »inquiète l’Icem Freinet. Le mouvement pédagogique donne deux exemples. « Jusqu’alors, les instructions officielles indiquaient des niveaux à atteindre par le biais des programmes et chaque enseignant·e ou équipe avait la liberté de choisir les moyens d’atteindre ces objectifs. Depuis la mise en place des classes dédoublées en REP et REP+, les enseignant·e·s qui ne suivent pas la méthode préconisée par le ministre sont scandaleusement harcelé·e·s : visites tous les mois, même chez des collègues « senior·e·s » qui ont fait leurs preuves, et entretiens se rapprochant davantage d’un lavage de cerveau que d’échanges pédagogiques constructifs, avec une mauvaise foi flagrante », écrit l’iCEM; L’autre exemple concerne les directions d’école que la loi Rilhac, modifiée par le Sénat, va transformer en supérieur hiérarchique.

Sur le site Icem