Développement durable : quelle approche pour les PME ?
Selon un récent sondage Louis Harris, la notoriété du développement durable a significativement progressé au sein de la société. Alors que les Français étaient 59 % à en avoir entendu parler en mai 2005, ils sont 76 % en juin 2006. En revanche, la part des individus en mesure d’en donner une définition précise reste stable à 30 %. Rien d’étonnant à cela tant le champ de ce concept est multiple et complexe.
Cette traduction de l’anglais « sustainable development » a reçu une définition élégante de Mme Gro Harlem Bruntland, ancienne Premier Ministre de Norvège : « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. ». Elle se traduit par une évaluation de la performance des entreprises selon trois critères : environnemental, social et économique.
Mais au-delà des définitions, la prise en compte du développement durable est rendue nécessaire par les évolutions du marché dont le rythme et les caractéristiques sont inédits. Cette nouvelle donne constitue une innovation essentielle dans la démarche managériale de l’entreprise. En effet le chef d’entreprise ne peut assurer la pérennité et le développement de son entreprise sans écouter et comprendre sa clientèle, mais aussi son environnement et le monde qui l’entoure.
http://www.acfci.cci.fr/environnement/documents/guideDDPME_ACFCIAfnor.pdf
Introduction au cadre d’auto-évaluation des fonctions publiques
Pour mesurer et améliorer la qualité de leurs services internes et externes, de plus en plus d’administrations publiques des pays européens se tournent aujourd’hui vers le CAF (cadre d’auto-évaluation des fonctions publiques). Cet outil, qui repose en grande partie sur l’auto-évaluation des performances des organisations, a déjà été mis en oeuvre par plus de 1350 administrations en Europe depuis son lancement en 2000.
Comment faire un business plan ?
Le business plan est le document de référence pour tous les créateurs d’entreprises et les porteurs de projet en général. En effet, on le réalise lorsque l’on veut créer une entreprise, la financer, lors du lancement d’un nouveau produit ou encore lors de l’élaboration du budget annuel. Il permet de clarifier la stratégie, de lever des fonds et de partager sa vision d’un concept en vue d’une prise de décision.
Ce document doit être le reflet des jugements et de la vision de(s) l’auteur(s) sur le projet. Il engage la responsabilité des défendeur(s) du projet vis à vis d’un comité décisionnaire (direction, capital risqueur, banquier, etc.).
La réalisation du business plan est donc une phase essentielle d’un projet mais c’est également l’une des plus difficiles.
http://strategies4innovation.wordpress.com/2009/01/10/comment-faire-un-business-plan/#more-34
Décider d’externaliser, pourquoi ?
L’économie industrielle laisse une large place à la théorie des stratégies d’impartition. Faire ou faire faire, s’organiser ou avoir recours au marché sont des problématiques récurrentes pour les entreprises. Sur un terrain plus pratique, la firme a tout intérêt à bien tirer avantage d’une stratégie d’impartition et de sa forme la plus poussée : l’externalisation.
http://www.achats-industriels.com/externalisation/pourquoi-externaliser.asp
Petit manuel de management interculturel
Comment éviter l’impression « planète Mars » quand on est un manager français débarquant en Russie, en Chine et en Inde. Problème à résoudre rapidement avec le développement des implantations et autres délocalisations dans ces trois pays émergents. Sans compter l’arrivée progressive d’investisseurs venus de l’Est qui vont de plus en plus nommer des patrons de leur cru en France. Parce que, si l’on fréquente depuis déjà un bout de temps les autres Européens, les Américains, les Africains et même les Japonais, nous ne connaissons quasiment rien de ces trois états. Ils sont restés longtemps fermés au monde occidental et ont vécu, pour deux d’entre eux, sous des régimes communistes, et pour l’Inde, sous un régime socialisant, en particulier dans le Sud.
Confronté à ces cultures, à de rares exceptions près, le cadre français aura l’air au mieux du Petit Prince au pire d’un parfait gougnafier. Dans les deux cas, ses chances de réussir se retrouvent plutôt réduites. En effet, comme le répètent nombre de formateurs et de spécialistes de l’expatriement : il faut mixer politique managériale et dimension interculturelle.
http://www.newzy.fr/dossiers/management/petit-manuel-de-management-interculturel.html
Benchmarking : entre bonnes pratiques et alignement stratégique
Le benchmarking (analyse comparative) est une technique qui consiste à observer les organisations afin d’identifier les meilleurs méthodes d’exécution (best practices) d’une activité donnée. Cette technique peut s’effectuer en interne, c’est à dire entre les différents services ou unités de l’organisation (benchmarking interne) ; ou en externe par l’observation des méthodes et processus de concurrents évoluant dans son secteur d’activité ou en dehors (benchmarking externe).
Cette méthode développée au début des années 1980 est devenue un standard du management en raison de sa capacité à améliorer l’efficacité et la qualité des processus d’une entreprise. Les améliorations que produit cette technique sont :
– pour le benchmarking interne, un gain du temps (ne pas « réinventer la roue ») et une diffusion des connaissances et bonnes pratiques au sein de l’entreprise
– pour le benchmarking externe, une comparaison des pratiques et processus de l’organisation avec celles de la concurrence (voir s’inspirer des pratiques concurrentes).
Décompresser après le travail
Après une journée de travail intense ou pénible, il est parfois difficile de faire la coupure et de reprendre pied dans la vie extra-professionnelle. Vous êtes irritable, absent ou préoccupé et pas toujours agréable à vivre pour votre entourage ?
Voici une sélection d’activités qui prennent peu de temps et qui aident à tirer un trait sur sa journée professionnelle. Tentez l’expérience avec l’une d’entre elles….
Épreuve de management des organisations – session 2008
Les sujets, au format PDF, de l’épreuve de Management des organisations de Terminale STG pour les sessions 2008 (juin et septembre).
http://www.crcom.ac-versailles.fr/article.php3?id_article=545
Réussir un changement : les 7 pièges à éviter
Faire changer une organisation, une équipe, un collaborateur, est une démarche à laquelle tout manager est régulièrement confronté. La plupart du temps, son intuition et sa connaissance des personnalités face à lui peuvent suffire pour mener cette réorganisation à bien. A condition de ne pas tomber dans quelques pièges. Voici les plus courants.
10 initiatives pour rebooster le moral de ses collaborateurs
Même si la conjoncture est maussade et que les finances de l’entreprise ont connu des jours meilleurs, il ne faut pas laisser ses collaborateurs s’enfoncer dans la déprime qui guette en ce début 2009.
Pour restaurer le moral des troupes, privilégiez de petites attentions. Gestes du quotidien, petits privilèges et surprises festives, voici 10 initiatives bienveillantes pour petit budget.