Par François Jarraud
Quelle culture informatique les lycéens doivent-ils posséder ? La question se pose particulièrement au moment où le ministère envisage de propose un module « informatique et société numérique » dans la classe de seconde de la filière scientifique du nouveau lycée.
Dans cette perspective la tentation est grande, et certains n’y ont pas manqué, de ressusciter ce qui a existé, c’est-à-dire l’option informatique des années 1980, avec ses bon vieux contenus de programmation pure et dure et « d’ouverture de la boite ». Comme si les TIC et la société n’avaient pas changé en plus de 20 ans. Comme si la disparition de l’option, malgré les efforts fournis par les enseignants, était due au hasard…
Il serait peu charitable et vain de revenir sur l’échec de cet enseignement. Il serait certainement préjudiciable aux élèves et au système éducatif de vivre à nouveau l’échec d’un enseignement asphyxié par l’élitisme, l’absence de parité et l’inadaptation. Il faut donc poser la question des contenus de ce module, non pas en termes de programme mais d’orientation générale. C’est l’objectif de ce texte.
1 – Quelles sont les logiques de développement des TIC dans la société et en particulier auprès des jeunes ?
• L’envahissement par les TIC de la sphère privée, après celle de la sphère professionnelle met à mal les modèles éducatifs traditionnels
S’il est banal de dire que la sphère privée est désormais environnée de toutes sortes de TIC, force est de constater qu’après le monde professionnel, le domaine familial est bien plus marqué par la présence et l’usage des TIC que ne l’est actuellement le monde scolaire. Tant par les moyens que par les usages, l’espace personnel des jeunes a intégré les TIC comme un état de fait (cf. le rapport du sénateur David Assouline, octobre 2008). Ils en organisent progressivement leur appropriation dès le plus jeune âge en essayant d’en faire ce que le contexte de leur développement personnel, familial, social et professionnel les invite à faire. La grande faiblesse de l’accompagnement familial et scolaire constaté dans ce même rapport doit nous inciter à questionner l’action actuelle du système éducatif dans ce domaine.
• Le développement des logiques d’action (le savoir agir avec) plus important que celui des logiques de capitalisation (le savoir comment faire)
L’école est pour une grande part un lieu de capitalisation. En transformant les savoirs pour les rendre accessibles au jeune, elle les invite en retour à les accumuler pour ensuite pouvoir les réinjecter dans la vie. L’observation des effets de ce choix est observable dix années après la fin des études quand on mesure ce qu’il reste des acquis scolaires. La logique d’appropriation des TIC s’appuie sur des logiques d’action qui permettent à chacun de développer des « savoir agir avec ». De nombreux savoirs savants acquis à et pour l’école, sont rapidement oubliés du fait même de l’organisation, la forme scolaire. Si pendant de longues années l’école avait réussi à promouvoir et légitimer son modèle de massification, il semble que désormais, dans le cas des TIC, il y ait déligitimation partielle de celle-ci. Il n’est désormais plus possible d’opposer le savoir savant de l’informatique aux savoirs de la pratique des TIC comme modèle pour l’école. Les jeunes utilisent désormais trop souvent les outils informatiques au travers des TIC pour autoriser l’école à poursuivre sur le même chemin. La concrétisation de la technique, si chère à Simondon, vient ici renforcer notre propos pour monter combien est limitée l’approche autonome de la formation aux TIC comme objet d’étude. Elle montre encore plus les limites de toute « exotisation » modulaire d’une telle approche, coomme l’option par le passé, les modules actuellement en gestation.
• Un modèle pragmatique qui s’adapte particulièrement à des enfants et des jeunes qui « font avec l’environnement que le monde adulte leur impose »
Rappelons ici que l’objet informatique, et ses implémentations dans de nombreux espaces du quotidien, sont d’abord le fait des adultes, des parents, des responsables éducatifs, des politiques etc. Aussi est-il aisé d’observer que les jeunes ont « fait avec » et comme le souligne David Assouline dans le discours de présentation de son rapport « l’absence frappante de la famille et de l’école les laisse abandonnés, sans repères, dans un monde multimédiatique omniprésent ».
Le développement des TIC se fait de manière très pragmatique. Qui se souvient encore des Be-bop (premiers téléphones portables publics en réception seul) et des tatoos (machines à recevoir des messages écrits). Aussitôt disparus dès qu’ils ont été considérés comme dépassés, ils ont contribué, comme l’ensemble de la filière professionnelle à faire accepter la nécessaire adaptation au contexte et ainsi à rapprocher encore davantage les jeunes de cet univers. De même par rapport aux savoirs scolaires, le pragmatisme souvent décrit dans les travaux sur le métier d’élève, l’oubli, l’enfouissement de nombreuses connaissances scolaires vient renforcer le constat du pragmatisme comme mode adaptatif ayant de lourdes conséquences à prendre en compte pour envisager l’intégration des TIC dans le système scolaire.
2 – Comment l’école peut/doit prendre en compte ces logiques compte tenu de son histoire propre des TIC ?
• Une histoire balbutiante et hésitante
o entre informatique en tant qu’objet…
Compte tenu de son développement initial dans le monde professionnel il est légitime que l’informatique soit d’abord un objet d’apprentissage dans les filières de l’enseignement professionnel et technique. Mais, si l’on se souvient de l’enseignement du langage Basic aux futurs comptables et secrétaires, force est de constater que ce type d’enseignement a perdu rapidement sa raison d’être. Les hésitations, légitimes à l’époque, devraient inciter à la prudence. Même si aux marges de l’enseignement général on retrouve parfois des éléments proches (en particulier en cours de technologie et dans l’ex option informatique), on note que c’est davantage à l’occasion d’autres disciplines scientifiques (mathématique, physique) que certains fondements de l’informatique ont pu trouver leur juste place comme objet dans des contextes spécifiques (étapes du développement informatique).
o …et informatique en tant qu’outils
La mise en place de l’option informatique dans les années 80 puis l’hésitation des années 90 avec les atelier de pratiques TIC (APTIC) sont les signes de cette évolution. Ces dispositifs se sont progressivement marginalisés car dans l’incapacité de situer l’objet de travail, déjà mis en difficulté par les contenus mêmes de l’option. Ceux-ci ont été colonisés par certains élèves (les plus favorisés) et en ont exclu de nombreux. Le développement des pratiques sociales a progressivement légitimé l’intégration de l’informatique comme outil pour l’enseignement, et pourtant cela est resté assez marginal, hormis dans les enseignements professionnels et techniques où ils ont pris une place essentielle. Le développement des usages non scolaires a rapidement mis en difficulté des enseignants face à des élèves revendiquant des compétences qu’ils leur ont souvent déniées. Or ce déni repose autant sur la crainte liée à une non maîtrise des savoirs, qu’au souhait de rétablir une autorité sur un « savoir scolarisé » de toute façon inaccessible en dehors de l’école, mais aussi intransférable en dehors de l’école (on connaît cela en didactique du français et des langues depuis longtemps). De cette opposition est née une certaine réticence du monde enseignant, mais aussi une mise à distance par les jeunes de la capacité de l’école à accompagner leurs usages pour leur permettre d’en faire des connaissances durables.
o puis le développement des TIC comme instruments
Une prise de conscience progressive qui a touché l’ensemble de la société française au cours des années 90 a progressivement invité à déplacer la centration sur l’ensemble des TIC et non plus seulement sur l’informatique, même si celle-ci reste centrale. Observant la multiplication des usages sociaux les responsables du système éducatif tentent, à partir de 2000, de poser un cadre avec le B2i. On observe cependant qu’au cours des années qui ont suivi sa création, les pratiques scolaires des TIC sont restées très minoritaires, alors que pendant ce temps apparaissait une nouvelle notion, imparfaitement nommée culture numérique. L’apparition de la notion de « digital literacy » (tout aussi imparfaite) en prolongement de la « literacy » déjà connue montre combien cette évolution n’a fait qu’éloigner progressivement l’informatique comme objet d’apprentissage de l’enseignement général. Malgré des débats ouverts, cette ligne d’action reste actuelle, et l’on peut même considéré que l’hésitation sur le contenu du nouveau module du lycée, entre informatique et culture numérique montre bien l’embarras général. Que l’école puisse développer la capacité à instrumentaliser les outils TIC du quotidien, et au-delà du système scolaire, est probablement un pari complexe, mais essentiel pour répondre à la finalité d’une éducation pour toute la vie.
• La tentation de la scolarisation des savoirs et des usages, un modèle explicatif de l’attitude du monde scolaire
La tradition de la forme scolaire ainsi que l’histoire de la construction des découpages disciplinaires mettent en évidence une attitude caractéristique : la transformation des savoirs et savoir faire à enseigner dans des formes adaptées au système lui-même. L’émergence de nombreux travaux sur les représentations et les conceptions des élèves au cours des années 80, reprenant des intuitions des anciens pédagogues, a montré qu’il était indispensable pour l’école de prendre en compte la « socialisation des savoirs ». La question de l’informatique et des TIC, ainsi que les débats autour de leur place dans le système scolaire peuvent se lire dans ce cadre. Le fort développement des équipements et de l’accès à Internet (97% des jeunes) en particulier depuis 2002 est un élément qu’il est nécessaire de prendre en compte désormais pour penser cette place. Les enquêtes auprès des jeunes donnent des réponses qu’il est probablement difficile d’entendre : ils demandent à ce qu’on les aide à donner du sens à leurs usages et à aller plus loin. L’exemple des blogs et de récents témoignages sont assez illustratifs de ces pratiques très inégales pour lesquels les jeunes sont demandeurs d’aide de l’école ; au risque des nombreux exemples de dérapages liés à l’absence de prise en compte de ces pratiques par le système scolaire autrement que sous la forme d’objets scolaires et non pas de pratiques culturelles et sociales habituelles.
• L’évolution des systèmes éducatifs vers une logique des compétences est un indicateur à prendre en compte
À l’instar du B2i, l’ensemble du système scolaire a engagé une évolution progressive vers l’approche par compétence. L’ensemble des systèmes éducatifs qui ont adopté cette approche l’a fait pour mettre du lien entre les apprentissages scolaires et le sens de ceux-ci dans la vie courante comme le montre l’utilisation de notions comme celles de « live-skills ». Engageant ainsi ce rapprochement, parfois critiqué, le B2i est le signe de cette prise en compte, et la réticence de nombreux enseignants un autre signe de cette difficile évolution.
o Dans le domaine des TIC, cela désigne l’école comme lieu de structuration (donner sens et consistance) des usages et pas comme lieu de la seule construction (développer la connaissances techniques)
C’est en partant de pratiques réelles qu’il est possible de construire du sens à celles-ci. Dans l’enseignement, les TIC ne peuvent être d’abord un objet à part du reste des autres objets d’apprentissages. Au contraire, c’est dans chaque discipline que le sens de la place des TIC peut réellement se construire. Car c’est en lien avec les autres connaissances que les TIC s’expriment dans le monde qui nous entoure. Or les disciplines, depuis près de quinze ans tentent, souvent maladroitement, de prendre en compte ce fait dans leurs contenus. C’est à partir de là que peuvent se prescrire des usages conscients et raisonnés des TIC. La place de l’informatique au sein des TIC en fait aussi un objet de travail, mais à la place qui est la sienne désormais dans la culture numérique actuelle.
3 – Une perspective : c’est l’apprendre à apprendre et l’apprendre à vivre avec les TIC qui, en premier, donne sens à un apprendre à savoir et savoir faire les TIC
Le développement de l’informatique puis des TIC a remis au devant des préoccupations éducatives des éléments qu’un accès au savoir restreint et encadré par l’école avait rendu accessoire : l’apprendre à apprendre. Les possibilités informationnelles et communicationnelles nouvelles ont désormais acquis une telle place dans le quotidien de la population qu’elles transforment petit à petit les habitudes sociales. Déjà engagée avec la télévision, poursuivie avec l’ordinateur puis Internet et développée avec le téléphone portable, cette évolution exige une redéfinition du projet d’éducation aux médias en rupture nette avec des pratiques basées principalement sur l’histoire du livre et du papier. Mais aussi une éducation à la culture numérique, englobante de cette éducation aux médias et de l’éducation info-documentaire dont le rapport Assouline évoque l’idée, trop confusément à notre avis.
• La question de la culture numérique dépasse celle de la culture informatique
Si la connaissance de l’informatique est nécessaire pour développer la maîtrise industrielle de son développement, la culture numérique est nécessaire pour assurer le vivre ensemble. Il ne s’agit pas d’opposer l’une à l’autre mais plutôt de les situer chacune dans son contexte. A cette première remarque, il faut ajouter l’imbrication de plus en plus profonde des TIC dans tous les champs disciplinaires, mais aussi dans les pratiques pédagogiques en général (cf les travaux récents de Jean Heutte ainsi que les études anglosaxonne sur les performances scolaires liées à l’usage des TIC). Or le système scolaire, comme le montrent les débats sur l’école et le socle commun, cherche à développer une culture commune minimale au sein de laquelle les TIC ont une place unanimement reconnue. Orienter cette culture minimale vers la seule dimension informatique serait risquer « d’ex-autiser » les TIC de l’école, d’en faire un étrange objet. Intégrer cette culture numérique dans l’ensemble de l’établissement, sur un plan disciplinaire et pédagogique, (mais aussi dans le cadre de la vie scolaire que l’on oublie trop souvent dans le propos et qui pourtant a montré son intérêt comme l’expérience du lycée des Pont de Cé il y a plusieurs années) c’est permettre aux élèves d’en situer réellement les contours et de développer les compétences nécessaires tout au long de la vie.
• Développer chez les jeunes la capacité à « instrumentaliser » les TIC
La nécessité du développement d’une culture ne peut reposer sur une attitude passive et seulement de mise à distance. Au contraire elle doit se caractériser par le développement des capacités de chacun à « instrumentaliser » son environnement, autrement dit la capacité à faire des outils techniques qui nous entourent des objets dont on définit soit même l’usage et non dont l’usage est donné par les seuls concepteurs. Pour ce faire il est nécessaire de s’appuyer sur l’ensemble des objets de travail d’un parcours scolaire (dans les disciplines, la pédagogie et la vie scolaire) et pas seulement d’un espace spécialisé et isolé au sein de ce parcours. C’est en construisant ces formes d’usage de manière guidée et accompagnée que pourra se construire un esprit critique, comme si lire suffisait pour savoir écrire…
• Permettre aux jeunes « nés avec le numérique » d’effectuer les « repérages » pertinents pour construire le scénario de leur vie, tout au long de la vie
Dans une perspective à long terme, il est nécessaire de tenter d’autonomiser les jeunes par rapport aux objets techniques environnant. Cela devient d’autant plus crucial qu’ils se les sont appropriés jeunes, c’est-à-dire sans être assurément accompagnés comme le montre le désarroi des familles (et de l’école) face à ces pratiques. Si le rôle de l’entourage familial est essentiel dans ce premier temps, l’école assure de son coté l’autonomisation en particulier dans le domaine de l’apprendre. Au vu de l’importance prise par les TIC dans le domaine de la construction des savoirs et de leur diffusion, il est essentiel qu’elle participe de la construction de ces compétences réflexives et critiques, en les intégrant au quotidien comme des « objets ordinaires » de l’environnement scolaire. Dans ce contexte il est indispensable d’engager un rapprochement didactique entre le pôle des sciences et technologie avec celui de l’information documentation. De même il n’est plus possible de penser l’opposition entre éducation aux médias et développement de la culture numérique. Deux versants d’une même problématique que d’aucuns sont prompts à opposer dans le monde scolaire alors que dans les usages ils sont imbriqués. C’est à partir de cette base que l’on pourra développer aussi bien les compétences d’autodidaxie désormais indispensables dans le contexte que les compétences critiques de plus en plus difficiles à rendre accessible du fait même de ce contexte. Dès lors, l’apprendre à apprendre prend d’autant plus de sens que les possibilités actuelles offertes par les TIC invitent de plus en plus chacun à en tirer le meilleur tout au long de la vie, mais le système éducatif français est-il en mesure de travailler dans ce paradigme nouveau ?
Le Café pédagogique
Le Séminaire national sur le manuel numérique
Le manuel numérique est-il la réponse à l’allègement du poids des cartables ? A-t-il un impact sur les pratiques pédagogiques ? Peut-on définir un modèle économique satisfaisant d’élaboration et de diffusion de ce type de manuels ? Le séminaire « manuel scolaire et numérique » qui s’est tenu, à l’initiative du ministère de l’Éducation nationale, à Strasbourg les 23 et 24 octobre, a abordé toutes ces questions au travers d’un état des lieux et de perspectives pour le moins contrastées.
Dans le Café mensuel 97
http://cafepedagogique.net/lemensuel/laclasse/Pages/2008/[…]
Trois millions pour l’équipement informatique des écoles
Xavier Darcos a annoncé le 28 novembre une enveloppe exceptionnelle de 3 millions d’euros pour l’équipement des écoles primaires. La somme sera répartie entre les académies et servira à acheter des tableaux blancs interactifs et du matériel de visioconférences.
Le ministère annonce également la signature d’accords avec trois constructeurs (Apple, Toshiba et H.P.) pour l’équipement de classes avec des portables. Il souhaite atteindre en 3 ans un taux d’équipement de 10 écoliers pour un ordinateur.
Communiqué
http://www.education.gouv.fr/cid23099/attribution-de-3-millions-[…]
Des netbooks dans la classe
Au collège Eugène Thomas du Quesnoy, 15 netbooks ont été introduits en cours de SVT. Légers, petits ils semblent bien adaptés aux usages scolaires. A suivre…
Article de La Voix du Nord
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Maubeuge/actualite/Autour_de[…]
Autrans 2009 c’est parti !
Depuis 13 ans, le village d’Autrans accueille durant 3 jours les « rencontres » d’acteurs de l’internet. « Les rencontres de 2009 chercheront à faire le point sur la façon dont les différents réseaux abordent la coproduction et l’organisation du savoir collectif » nous disent les organisateurs. Les inscriptions sont ouvertes.
Autrans 2009
http://www.autrans.net/spip/
L’Ecole et la société numérique
» Si la mise en œuvre du numérique vous concerne. Si vous pensez que la France ne peut plus attendre pour rattraper le train du numérique, si vous pensez qu’elle peut même en être une locomotive. Si vous voulez identifier des solutions pratiques pour avancer vite… Cette journée est faite pour vous ». L’association Renaissance numérique réunissait le 4 décembre à Nanterre (92) des experts pour « apporter des solutions concrètes et opérationnelles aux sujets clefs du numérique en France ».
5 tables rondes ont abordé 5 sujets clés en vue de 5 plans d’action. Il était question du très haut débit, de la télévision numérique, des e-exclus, de la migration des petites entreprises sur le net, et bien sûr de l’éducation..
Le programme
http://renaissancenumerique.typepad.fr/francenumerique/
Le plan Besson
http://cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2008/10/21102[…]
Serious Games , sources et ressources
Le Préau, un organisme dépendant de la CCI de Paris, publie une sélection de ressources sur le serious games. Une compilation intéressante qui fait connaître les événements liés aux serious games et les dossiers documentaires en ligne.
Le dossier
http://www.preau.ccip.fr/actu/tice_actu/tice-actu.php
Enseigner avec le jeu
http://cafepedagogique.net/lemensuel/laclasse/Pages/93_Dos[…]
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