Nouveau rebondissement dans le feuilleton du « bac de français » : dans certaines académies, on informe que, comme en juin 2021, mais contrairement à ce qui avait été annoncé à la rentrée 2021, « les candidats pourront réglementairement disposer du livre qu’ils auront choisi de présenter lors de la seconde partie de l’oral des épreuves anticipées de français. » Le site lettres de l’académie de Versailles précise : « Le recours ou non au livre, pendant cette seconde partie, est laissé à l’entière discrétion du candidat. Cette décision ne donnera pas lieu à une réécriture du texte réglementaire. » Cette possibilité offerte va assurément dans le bon sens, mais après de fréquentes modifications (nombre de textes, champ de la question de grammaire, surface de l’œuvre au programme d’Olympe de Gouges), ce nouveau virevoltage ne manque pas de surprendre. Il continue à donner le tournis aux élèves et aux enseignant.es de lettres pour compliquer la préparation à l’EAF. En ligne, beaucoup s’interrogent sur la gouvernance de la discipline ou se demandent pourquoi on ne permet toujours pas aux élèves de disposer de leurs écrits d’appropriation.
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