Huit logiciels de défragmentation pour Windows et
Mac
Lorsque le système d’exploitation écrit un fichier sur le disque dur, il le répartit dans différents blocs de données physiquement distincts. L’accumulation de ces blocs non contigus ralentit le poste de travail. En effet, la tête de lecture doit faire un grand écart permanent d’un bout à l’autre du disque dur pour lire un simple fichier. Pour éviter ces allers-retours inutiles, il faut défragmenter le disque dur, c’est-à-dire réorganiser les blocs physiques de façon à ce qu’un maximum soit contigus. Une fois cette opération réalisée, le système retrouve sa stabilité et ses performances initiales. La défragmentation doit être réalisée régulièrement, notamment sur les ordinateurs portables sous Windows, dont le mode veille fragmente certains fichiers systèmes clés. Toutes les versions de Windows sont sujettes à la fragmentation car elles utilisent les mêmes systèmes de fichier : NTFS et FAT32. Les fans d’Apple sont logés à la même enseigne. Aussi efficace soit-il, le système de fichiers HFS+ de Mac OS X finit, lui aussi, avec le temps, par se fragmenter. En revanche, sous Linux, les systèmes de fichiers ext3/4 ne se fragmentent pas.
http://www.indexel.net/securite/huit-logiciels-de-defragmentation-pour-windows-et-mac
Piwik
Piwik est un logiciel téléchargeable d’analyse Web en temps réel open source (sous licence GPL). Il vous fournit des rapports détaillés sur les visiteurs de votre site Web: moteur de recherche et mots clés utilisés, leurs langues, vos pages les plus populaires… et bien plus encore. Piwik est un logiciel basé sur PHP MySQL que vous téléchargez et installez sur votre propre serveur. A la fin d’un processus d’installation de 5 minutes, vous obtiendrez un tag Javascript. Copiez simplement le tag sur vos sites Web que vous souhaitez pister (ou utiliser un plugin existant pour le faire automatiquement pour vous).
Pourquoi les FAI deviennent CDN ?
Les éditeurs de contenus hébergent leurs données chez des Hébergeurs, eux-mêmes connectés à un certain nombre d’opérateurs. De leur coté, les fournisseurs d’accès à internet (FAI) se connectent aux opérateurs pour permettre aux internautes d’accéder aux contenus hébergés. Malheureusement, les FAI et les hébergeurs ne sont pas forcement connectés aux mêmes opérateurs. Il est donc nécessaire pour ces derniers d’établir des accords de peering (interconnexion permettant le transfert symétrique d’information) afin de faciliter l’acheminement des données entre l’hébergeur et l’internaute. Lorsqu’un déséquilibre de trafic entre deux opérateurs se crée, une facture est générée. Ceci explique une des raisons pour laquelle un contenu hébergé en France, consulté par un internaute lui aussi situé en France, peut transiter par les Etats Unis au dépend de la qualité de service. L’impact performance est double. Plus les informations transitent via de longue distance et de nombreux réseaux, plus le risque de perte d’information est important, et plus le temps de chargement augmente pour l’internaute.
http://www.journaldunet.com/ebusiness/expert/49485/pourquoi-les-fai-deviennent
L’anarchie applicative coûte 6 % du budget
informatique
Une récente étude conduite par Coleman Parkes Research pour le compte d’HP estime que 5,8 % des budgets informatiques sont consacrés à des applications sous-utilisées qui accaparent des budgets et des ressources humaines qui pourraient être consacrées à l’innovation. Les DSI sondés estiment que près de 15 % des applications métiers sont sous-utilisées et qu’elles n’apportent pas de réelle valeur. Un tiers des sondés estime même à plus de 20 % la part des applications sous-utilisées dans leur organisation. Maintenir et supporter ces applications qui n’apportent que peu de valeur aux métiers – sinon aucune – conduit à une augmentation inutile des coûts de maintenance. À l’échelle européenne, ce gâchis s’élève chaque année à 16 milliards de dollars.
http://www.indexel.net/actualites/l-anarchie-applicative-coute-6-du-budget-informatique
Les couleurs et l’accessibilité
En France, la proportion de daltoniens est d’environ 8% chez les hommes et 0,45% chez les femmes (source Wikipédia). Plus de 10% de la population masculine est daltonienne dans le monde, et affectée par une perception des couleurs déficiente. Il existe différentes formes de cécité des couleurs : rouge-vert, vert-brun, et ainsi de suite… Bien entendu, il est très difficile, voire impossible d’éviter de mettre sur son site toutes les couleurs qui pourraient être mal perçues. Cependant, il est à la portée de tout le monde de faire en sorte que les pages soient lisibles par tous, quel que soit le handicap visuel. La première méthode et la plus simple à mettre en œuvre est l’emploi d’un contraste élevé entre l’arrière plan et les couleurs utilisées pour le contenu de la page.
http://www.journaldunet.com/developpeur/client-web/tutoriel-pratique/les-couleurs
L’ergonomie du site est essentielle pour booster ses
ventes
Proposer aux internautes une navigation fluide et claire permet d’augmenter ses ventes sur la Toile. Florian Hamzij, directeur associé de DediServices, explique quelles sont les règles de base à respecter. Il donne aussi des conseils pour améliorer son taux de conversion.
http://www.chefdentreprise.com/Videos/E-commerce-L-ergonomie-du-site-est-essentielle
Les clés pour comprendre le Cloud Computing privé
Si le Cloud Computing public propose des ressources informatiques hébergées (serveurs, stockage, puissance de calcul, applications…) distantes et mutualisées, les offres de Cloud Computing privées se distinguent par leur aspect dédié. En clair, leur usage est réservé pour une seule entreprise – toutes entités géographiques confondues – pour répondre à un besoin personnalisé de ressources informatiques bénéficiant en plus d’une tarification à l’usage et reposant sur des infrastructures techniques virtualisées, redimensionnables à chaud et disposant d’une gestion/administration automatisée.
http://www.journaldunet.com/solutions/systemes-reseaux/cloud
Réseaux sociaux d’entreprise : collaborateurs
connectés
Les réseaux sociaux constituent, devant le mél, le quatrième usage Web et sont utilisés par les deux tiers des internautes. Ils entrent aujourd’hui dans la sphère de l’entreprise avec des questions spécifiques. Comment faire vivre les communautés ? Comment créer le désir de collaborer sur un réseau social d’entreprise ? Quels sont les bénéfices pour l’entreprise ? Nicolas Rolland, directeur de la prospective sociale chez Danone, Jean-Pierre Lemaire, directeur général d’Orange Consulting, Bertrand Duperrin, consultant-expert, échangent sur ces questions.
http://www.blogs.orange-business.com/business_mag/2010/11/reseaux-sociaux
17 ans d’évolution des supercalculateurs
Le classement TOP500 fut publié pour la première fois en juin 1993. A cette époque, le plus puissant ordinateur du monde était un CM5, fabriqué par Connection Machines, installé au Los Alamos National Laboratory, un laboratoire de l’Université de Californie géré par le ministère de l’énergie américain. Le CM5/1024 était composé de 1024 processeurs SuperSparc à 32 MHz. Sa puissance théorique était de 131 GFlops, mais il atteignait moins de la moitié (59,7 GFlops) sous le benchmark LINPACK utilisé pour établir le classement TOP500. Le CM5 connu une autre consécration en 1993, puisqu’il fut choisi par Steven Spielberg pour « incarner » le cerveau de la salle de contrôle de Jurassic Park.
http://www.presence-pc.com/actualite/photoreportages/67-supercalculateur-top500.html
La diffusion des technologies de l’information et de
la communication dans la société française
Ce rapport présente l’analyse des questions relatives à la diffusion, à l’usage et à l’image des technologies de l’information et de la communication en France. Ces questions ont été insérées, par le CGIET et par l’ARCEP, dans la vague de juin 2010 de l’enquête du CREDOC sur les « Conditions de vie et les Aspirations des Français ». C’est la dixième année de participation du CGIET à ce baromètre, et la huitième année pour l’ARCEP. Ce document se présente en trois parties : la première concerne la téléphonie fixe et mobile ; la deuxième a trait à l’ordinateur et à internet ; la troisième s’intéresse aux différents modes d’accès à la télévision.
http://www.arcep.fr/uploads/tx_gspublication/rapport-credoc-2010-101210.pdf