» Les filles lesbiennes et bisexuelles sont trois fois plus confrontées à ces comportements (23,2 % et 24,5 %) que les filles hétérosexuelles (6,6 %), tandis que les garçons gays et bisexuels le sont deux à trois fois plus (8,8 % et 9,7 %) que les hétérosexuels (3,5 %) », établit une nouvelle étude du Défenseur des droits relative aux violences intrafamiliales. Ces chiffres concernent les violences psychologiques. Mais les violences physiques ne sont pas en reste : » les filles lesbiennes et bisexuelles (19,4 % et 21,7 %) et les garçons gays et bisexuels (11,9 % et 8,8 %) sont plus souvent victimes de brutalités physiques que les filles et les garçons hétérosexuels (6 %). Ils subissent également plus souvent des mises à la porte, séquestrations et tentatives de meurtre ». Toutes ces violences augmentent en temps de confinement.
Nos derniers articles

L’affaire Bétharram, c’est le scandale de violences et viols d’enfants dans un établissement privé sous contrat mais aussi celui d’un silence systémique. Plus jamais de Bétharram, la protection des enfants est

Dans un monde où le rapport des jeunes au travail scolaire s’effiloche, où les notions de rapidité et de rentabilité règnent en maîtres, où la moindre contrainte est vécue comme

Dans cette chronique, Marion Dupré trace le parcours de Maïwenn, élève de lycée professionnel, dont le lycée professionnel a changé la vie. Au détour du portrait de Maïwenn, elle ouvre

« Les mathématiques sont partout : bien au-delà de notre quotidien, elles structurent notre pensée, nous aident à comprendre le monde et jouent un rôle clé dans l’innovation. La France est

Saviez-vous que le football était un sport de la bourgeoisie anglaise au XIX siècle ? ou encore que la technique du dribble était née au Brésil dans les années 20

Qui veut se creuser la tête chaque jour ? « Le site EurêkaMaths propose pour la semaine des mathématiques une énigme par jour chaque matin du lundi 10 au vendredi