Pour la Fédération des syndicats de l’enseignement du Québec, c’est « inacceptable ». » Le gouvernement demande au personnel enseignant de porter le poids d’un désinvestissement massif en éducation, d’en faire nettement plus – et avec plus d’élèves ! –, mais avec beaucoup moins de ressources. Et comme si ce n’était pas assez, on souhaite réduire massivement l’autonomie des enseignantes et enseignants », explique P Saint-Hilaire, vice président de la FSE. Ce qui est en cause ce sont les propositions gouvernementales. Le ministre Y Bolduc demande un relèvement de 32 à 35 heures du temps du en établissement. Il ajoute également un relèvement des maxima d’élèves par classes à tous les niveaux et l’abandon de la pondération pour certains profils d’élèves. Les pondérations pour l’éducation prioritaire disparaitraient aussi.
Nos derniers articles
Dès 10h ce mercredi matin seront rendus publics les résultats de l’enquête internationale TIMSS (Trends in Mathematics and Science Study). Le niveau de mathématiques et de sciences en CM1 et
« Il faut proposer une perspective crédible et montrer en actes que l’action constituera un évènement. Et donc prévoir des suites à l’action du 5 décembre 2024, pour enclencher une
« On refuse, on riposte, on réfléchit, on propose. » Dominique Bucheton expose dans cette tribune les raisons de sa mobilisation demain jeudi 5 décembre pour défendre l’Ecole. La professeure honoraire
« Un silence de plomb a longtemps prévalu, à l’École comme dans la quasi-totalité des familles » écrit l’historien Claude Lelièvre au sujet de l’éducation à la sexualité. Dans cette chronique, il
Frédéric Grimaud relate des entretiens de professeur.es des écoles, qui parlent de leur métier, de l’organisation de leur travail, et de tous les choix auxquels le quotidien de la classe
Un collectif de douze associations 1 agissant dans le champ du handicap et de la scolarisation s’adresse aux enseignants et aux personnels de l’Éducation Nationale. « Ma place c’est en classe »,