« Nous aurions bien signé cette lettre de notre nom. Cependant nous avons perdu la confiance qui nous aurait permis de le faire. Cependant nous serons ravis de vous exposer nos idées; Nous sortirions alors de l’anonymat ». C’est la conclusion de la longue lettre que le collectif des « dindons » a envoyé au ministre de l’éducation nationale, Vincent Peillon.
Dans ce texte, les dindons refusent la mise enplace d’activités périscolaires tant que l’Etat ne pourra pas garantir une stricte égalité enter les communes. Les dindons refusent aussi l’idée de la fatigue des longues journées de classe, arguant que « parmi les compétences du professeur figure sa capacité à organiser al journée de façon à proposer les matières à fort investissement cognitif aux moments où les élèves sont le plus disponibles ».
Les dindons fixent leurs revendications : un maximum d’élèves par classe, des semaines de 26 heures de classe , la 27ème heure étant réservée aux conseils d’école. S’ajouterait une 28ème heure « un autre temps hors élèves rémunéré en heures supplémentaires pour le travail invisible en conseil des maitres » mais sans contrôle adminsitratif. Travailler plus pour gagner un peu plus ?