Par François Jarraud
Evaluation des enseignants : Le Snes appelle à la grève
L’école utile ? Oui mais à quoi ?
Evaluation des enseignants : Ce qu’en pensent inspecteurs et chefs d’établissement l Quel effet du projet sur l’avancement ? l Lycées : Quand les décideurs consultent les acteurs l Les difficultés des élèves face à l’écrit augmentent l Les profs du privé écrivent aux parlementaires l Les infirmières veulent une vraie cotation AAA l Educatec Educatice : Inscrivez-vous.
Colloque national du CIDJ : Le dialogue difficile entre école et entreprise l Un bébé, un livre.
A quoi servent les réseaux sociaux des enseignants ? l Rédiger un C.V. en classe….
Colloque IREA : L’école fait-elle société ?…
L’APLV déçue de la suppression du CLES2 l Garamond, 450ème anniversaire l 3% de croissance cette année.
Evaluation des enseignants : Le Snes appelle à la grève
Jugés « inacceptables », les projets de textes sur l’évaluation des enseignants fait se mobiliser le Snes. Le 15 novembre il annonçait son intention de » réagir avec puissance et détermination ». Dans une déclaration à l’AFP, le 16, Daniel Robin, co-secrétaire général, appelle à la grève le 12 ou le 13 décembre. « Nous appelons les enseignants à limiter strictement leurs tâches à l’enseignement » a ajouté D. Robin. Le Snes est le premier syndicat dans l’enseignement secondaire.
Les autres syndicats d’enseignants manifestent leur irritation. L’Unsa education, sous la plume de son secrétaire général, Patrick Gonthier, demande une véritable négociation et rejette les deux textes. « Sur le fond, le projet ministériel exclut de fait les personnels d’inspection pédagogique du second degré de l’évaluation en leur substituant en totalité les chefs d’établissement, y compris sur les problématiques spécifiquement liées à l’enseignement et à la didactique des disciplines », écrit-il. « Surtout, elle bouleverse de manière fondamentale l’organisation des déroulements de carrière. Le projet ministériel est d’abord l’occasion de réaliser des économies budgétaires sur la rémunération des enseignants des écoles, collèges et lycées en les alignant sur le rythme d’avancement le plus défavorable, alors qu’ils sont toujours en attente d’une réelle revalorisation des carrières ».
La CGT juge les textes inacceptables et y voit « l’instauration du mérite comme mode de gestion ». Le Snuipp « s’opposera à une conception managériale basée sur un mérite largement arbitraire qui entrainerait individualisme et division des équipes. Il est également hors de question que l’évaluation ne se réduise à un contrôle administratif et à une opération de classement des enseignants. Il portera le projet d’une évaluation formative qui soit une aide au développement professionnel ». Quant au Sgen il parle de « rupture de confiance ». « L’absence de projet ambitieux pour le système éducatif associé à la gestion de coups médiatiques faisant office de politique aboutit à une rupture de confiance renforcée par l’instrumentalisation des débats éducatifs ».
Luc Chatel affirme qu’il « n’est pas question de prendre en catimini un décret, un arrêté sans qu’il y ait eu de concertation ».
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L’Éditorial de Monique Royer
L’école utile ? Oui mais à quoi ?
Les compétences font jaser dans les lycées, dans les colloques, dans les familles. Le débat renvoie à des interrogations profondes qui, en guise de surligneur, mettent en relief les creux d’un projet pour l’école incertain, inexistant.
L’école doit elle être utile ? Et utile à quoi ? A répondre aux besoins de l’économie de demain en formant des futurs salariés dont les compétences seront celles dont auront besoin les entreprises et qui, par ricochet, ne fréquenteront pas plus que de raison les lignes encombrées de Pôle Emploi ? Oui mais cela demanderait des qualités prospectives que l’incertitude, pour ne pas dire le brouillard, qui embrume les données d’un avenir clairement défini, rend totalement illusoires. Admettons que nous sachions ce que le tissu économique sera dans vingt ans.. Alors, il faudrait que pour chaque métier émergent, un référentiel professionnel soit écrit, décrivant les compétences nécessaires et se déclinant ensuite en savoirs, savoir-faire associés pour enfin définir un référentiel de formation. Avant que ce travail ne soit terminé, validé, intégré dans la carte des formations avec les moyens nécessaires pour le mettre en œuvre, il est fort à parier que l’étude prospective qui l’a motivé soit tout à fait désuète. Admettons que tout se fasse rapidement… alors la mécanique de l’orientation se mettra en marche pour nourrir en élèves ces nouvelles filières. Orientation ou sélection ? On craint dans cette visée utilitariste, la détection des « talents » pour tel ou tel métier, la construction d’une voie fermée pour accéder à une profession après des tests qui mesurent à l’instant T les aptitudes en évolution, qui elles aussi se transforment avec le temps d’apprentissage propre à chacun, des tests qui ne mesurent pas, hélas ou tant mieux, ce que chacun sera demain. On craint l’enfermement éducatif, la supposée prédisposition qui clôt portes et fenêtres au nez d’un être en devenir.
Alors, l’école doit être utile à quoi ? A former des citoyens du XXIe siècle, aptes à naviguer au sein des incertitudes, à les dompter et à ne pas en avoir peur, à contribuer à une société basée sur des valeurs partagées et réaffirmées. Oui mais, quelles sont ces valeurs, à quel niveau se placent elles : national, européen, mondial? Sont-elles celles d’une époque en crise, où l’individu grignote le collectif, où les inégalités s’accroissent et où les regards se détournent des entorses répétées aux valeurs supposées d’une république démocratique ? Admettons que ce sont les compétences du citoyen de demain (et d’aujourd’hui) qui structurent programmes et organisations pédagogiques dans notre système éducatif. La pensée critique, la capacité à apprendre, à faire des choix, à se diriger, à communiquer sont elles également attendues par les entreprises?
Alors compétences attendues par une économie et compétences nécessaires pour être citoyens sont elles incompatibles. Elles ne devraient pas l’être si elles s’inscrivent dans un véritable projet de société. Elles ne le seront pas non plus si on envisage l’éducation sur une perspective d’éducation et de formation tout au long de la vie. Acquérir les savoirs de base utiles pour pouvoir par la suite construire un parcours professionnel et de vie où l’adaptation, l’orientation est possible à l’âge adulte par un choix personnel raisonné, alors oui si l’école le permet, la question de son utilité deviendra à son tour désuète.
Monique Royer
Evaluation des enseignants : Ce qu’en pensent inspecteurs et chefs d’établissement
« On prend le problème à l’envers », affirme Philippe Tournier, secrétaire général du Snpden, le premier syndicat des chefs d’établissement, interrogé par le Café. « Le ministère met en avant une évaluation qui présuppose une évolution du métier qui n’a pas eu lieu. On demande d’évaluer un métier au contenu non défini. C’est difficile ! ».
« Que ce soit le rôle de la direction d’évaluer les personnels du point de vue de leur contribution au collectif ce n’est pas scandaleux », ajoute-il. « En revanche cette évaluation ne peut pas aller sur les aspects disciplinaires. Un chef d’établissement n’est pas en mesure de juger un cours de maths par exemple ». Quant à l’évaluation à partir des progrès des élèves, P Tournier estime que « ça n’a ni queue ni tête ». « Pourquoi les élèves d’une classe progressent-ils en maths ? Parce qu’ils ont de bonne s bases ou à cause de leur professeur ? On ne peut pas mesurer l’impact individuel sauf cas extrêmes. Une vraie modernisation ce serait de réaliser que la dynamique de progrès des élèves est collective. On peut concevoir et mesurer ce progrès collectif. On peut savoir si un établissement fait avancer ses élèves ». Un débat que le Snpden entend faire remonter vers la rue de Grenelle.
« L’administration ne sait pas où elle va », craint Patrick Roumagnac, secrétaire général du SIEN, principal syndicat des inspecteurs de l’éducation nationale. Il nous confie reconnaître un aspect positif au texte : « en finir avec l’infantilisation de la note ». Mais, « le plus gros problème c’est la non prise en compte des compétences disciplinaires, ce qui ne remet pas en cause l’importance du regard du chef d’établissement dans le second degré. Un autre point noir c’est la nouvelle grille d’avancement qui ramène la quasi totalité des enseignants au rythme de l’ancienneté actuelle ».
Peut-on évaluer un enseignant sur les progrès des élèves ? « C’est aberrant », nous répond P Roumagnac. « Cela ne tient aps compte du contexte . Ce qui pos eproblème c’est la centration du acteur individuel. Il faut arriver à évaluer la prise de conscience de l’enseignant des possibilités de traiter les choses différemment en confiance. Pour que l’entretien ait du sens il faudrait qu’il ne soit aps la seule forme d’évaluation. Sinon on risque d’avoir des entretiens bien préparés où l’enseignant ne dit rien de ses difficultés ou de ses doutes ».
Quel effet du projet sur l’avancement ?
Par mégarde le Café s’est trompé de catégorie le 16 novembre en publiant une simulation d’avancement de carrière entre le modèle actuel d’avancement et celui prévu par le décret projeté. Voici, recalculé, pour les PE et certifiés, la durée des avancements comparativement entre ces modèles exprimés en années.
Depuis des années, l’avancement des enseignants se déroule selon des rythmes différents : à l’ancienneté, au choix ou au grand choix. Nombre de syndicats déplorent depuis longtemps ces inégalités de traitement, qui au cours d’une carrière peuvent représenter des sommes considérables. Le projet de nouveau déroulement de carrière écrase les écarts entre les progressions les plus rapides et les progressions les plus lentes, mais en alignant les plus favorisés vers la situation la moins favorable.
Lycées : Quand les décideurs consultent les acteurs
Il y avait la mère de famille de Sceaux qui s’inquiétait du maintien du niveau des études au lycée Lakanal. Il y avait aussi la dame de Saint-Denis qui souhaitait davantage d’égalité et de moyens pédagogiques pour le lycée Louise Michel. Et plus d’une centaine de personnes : parents, enseignants, chefs d’établissement, cadres éducatifs, élus locaux et régionaux, syndicalistes. Des citoyens venus discuter avec Henriette Zoughebi, vice-présidente du Conseil régional d’Ile-de-France en charge des lycées et Ariane Azéma, directrice des lycées, du programme d’investissement des lycées pour la décennie 2012-2022. Et tout a été déballé…
Les difficultés des élèves face à l’écrit augmentent
« Depuis une dizaine d’années, le pourcentage d’élèves en difficulté face à l’écrit a augmenté de manière significative et près d’un élève sur cinq est aujourd’hui concerné en début de 6e », affirme une étude publiée le 16 novembre par l’Insee. Cette étude menée par Jeanne-Marie Daussin, Saskia Keskpaik, Thierry Rocher de la Depp (ministère de l’éducation nationale) analyse les résultats de PISA, et des études CEDRE, LEC (Depp) et PIRLS.
« Si le niveau de compréhension de l’écrit des élèves moyens n’a pas évolué », poursuit l’étude, « la plupart des évaluations témoignent d’une aggravation des difficultés parmi les élèves les plus faibles. Alors que la maîtrise des mécanismes de base de la lecture reste stable, les compétences langagières (orthographe, vocabulaire, syntaxe) sont en baisse, ce qui explique l’aggravation du déficit de compréhension des textes écrits, parmi les élèves les plus faibles. En moyenne, les filles ont de meilleures performances que les garçons dans le domaine de la compréhension de l’écrit ; cet écart s’accroît dans la quasi-totalité des pays de l’OCDE depuis une dizaine d’années. En France, le statut économique, social et culturel des parents explique aujourd’hui une plus grande part de la variation des scores des élèves qu’en moyenne dans l’ensemble des pays de l’OCDE. C’est dans les collèges en zones d’éducation prioritaire que l’augmentation des difficultés est la plus marquée : près d’un tiers de ces collégiens éprouvent des difficultés face à l’écrit, contre un quart il y a dix ans. Les élèves de ZEP d’aujourd’hui ne sont peut-être pas tout à fait comparables à ceux d’hier, toutefois la composition sociale de ces collèges semble plutôt stable ». Dans les zep le pourcentage d’élèves en difficulté d electure est passée de 21 à 31% de 1997 à 2007.
Les profs du privé écrivent aux parlementaires
C’est une intersyndicale allant de la Cgt au Snec Cftc, incluant la Fep Cfdt, le Spels et la Cgc, qui écrit le 16 novembre aux présidents des groupes parlementaires du Sénat et de l’Assemblée. Ils dénoncent la baisse des moyens et ses conséquences sur la qualité de l’enseignement.
Les infirmières veulent une vraie cotation AAA
Le chemin sera encore long. C’est peut-être ce que se disent les infirmières du Snics FSU et du Snies Unsa qui font pression ensemble pour la reconnaissance de leur profession. Ils ont obtenu l’engagement du classement en catégorie A de toutes les infirmières de la fonction publique Etat. Cette satisfaction est entachée par des propositions de grille indiciaire « inacceptables ».
Educatec Educatice : Inscrivez-vous
Du 23 au 25 novembre, le Salon Educatec / Educatice est le rendez-vous des professionnels de l’éducation. Parmi les nombreuses conférences et démonstrations qui auront lieu, signalons le 23 novembre la conférence sur les jeux sérieux organisée par el Café avec des praticiens du jeu en classe (9h30); la conférence sur les TBI et les ardoises tactiles organisée par le ministère à 14h et celle sur la recherche sur les TICE à 15h45.
Le jeudi 24 s’ouvre à 9h30 sur une conférence du ministère sur l’éducation au numérique suivie à 15h45 de la seconde conférence du Café sur les outils mobiles dans la classe avec là aussi des enseignants de terrain. Le vendredi 24 Educatec se clôt sur la conférence sur l’éducation au numérique organisée par JM Fourgous en présence du ministre de l’enseignement supérieur.
Les bonnes raisons de visiter Educatec Educatice
Colloque national du CIDJ : Le dialogue difficile entre école et entreprise
Le colloque national du CIDJ, accueilli par la Poste dans ses locaux du Bd Vaugirard, rassemblait mercredi 16 novembre des interlocuteurs venus de deux mondes séparés, qu’il s’agissait de faire dialoguer : l’entreprise, représentée par Sophie de Menthon, présidente de la SDME, Yvon Gattaz, Président de l’Association Jeunesse et Entreprise, Joël Moreau, Directeur de l’Emploi et de la communication RH de La Poste, d’une part, et l’Orientation institutionnelle d’autre part, avec les responsables du CIDJ, de l’ONISEP, de Centre Inffo, et de la Délégation interministérielle à l’Information et à l’Orientation. Dialogue difficile, malgré la volonté affichée des acteurs de progresser dans le sens des directives de la loi de 2009 sur l’Orientation. Mais les entreprises veulent un changement profond de mentalité dans le domaine éducatif.
Un bébé, un livre
Dans le cadre de la Journée nationale de prévention, organisée par la Fédération Nationale des Orthophonistes (FNO), les orthophonistes se rendent aujourd’hui dans les maternités. Ils remettent aux parents et aux bébés présents ce jour-là, un fascicule sur le développement du langage et un « livre doudou » afin de promouvoir auprès des jeunes parents l’intérêt de l’histoire du soir sous l’angle spécifique du développement du langage.
A quoi servent les réseaux sociaux des enseignants ?
« Quand les enseignants apprennent les uns des autres, les élèves apprennent aussi ». Education Week publie un très intéressant dossier sur les réseaux sociaux d’enseignants aux Etats-Unis. Parmi les différences le splus sensibles, le fait que ces communautés soient développées et animées par des enseignants payés par l’autorité éducative locale et que leur fréquentation soit quasiment obligatoire et considérée comme une forme de formation continue. »Si vous enseignez ici et que vous n’êtes pas dans le réseau, alors ce district n’est pas pour vous », prévient un cadre local. « On donne simplement les mêmes opportunités aux enseignants que celles qui existent dans les autres professions », explique une enseignante. La culture du réseau est entrée en cation aux Etats-Unis. On sait qu’en FRance, à de rares exceptions près, la plupart des réseaux sociaux d’enseignants se sont développés indépendamment de l’institution qui ne les soutient pas et les regarde souvent en chien de faïence…
Rédiger un C.V. en classe
Thot passe au crible les logiciels gratuits pour faire travailler les élèves sur leur CV. Une activité tout à fait opportune pour un éveil à l’orientation.
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
Colloque IREA : L’école fait-elle société ?
L’école peut-elle contribuer à lutter contre les exclusions ? Dans quelle mesure les inégalités de la société la traverse-t-elle ? Pour aborder ces questions, l’IREA, un institut de recherche du Sgen Cfdt, avait invité le 16 novembre des experts de renom. Du jeu de confrontations sur les rapports entre territoire et école, puis sur l’établissement comme instrument social, un fil se dégage. L’école en mutation est obligée de faire face à des demandes sociales inédites qui remettent en question son modèle. La société change. L’Ecole ne pourra échapper à sa mutation.
L’APLV déçue de la suppression du CLES2
L’association des professeurs de langues vivantes estime que la quasi suppression du certificat CLES2 pour se présenter aux concours d’enseignement « aura des conséquences néfastes sur la qualification en langues des futurs professeurs des écoles et du secondaire ». Pour l’APLV, « on ne saurait en rester là ».
Garamond, 450ème anniversaire
C’est une des polices d’imprimerie les plus utilisées sur Internet. Elle tire son nom de Claude Garamond, mort il y a 450 ans. A cette occasion le ministère de la Culture ouvre un site qui retrace l’aventure du livre à la Renaissance, avec les ateliers de la rive gauche parisienne et la fièvre de publications nouvelles de cette époque.
3% de croissance cette année
Les experts annoncent un taux de croissance de 3% pour 2011 après une hausse de 0,5% au troisième trimestre. Ce sont les chiffres officiels donnés par le gouvernement allemand. « L’économie allemande s eporte bien » affirme la ministre fédérale d el’économie. Le taux de chômage est en baisse et cette année les impôts vont baisser…
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