Par François Jarraud
Elections professionnelles : Quelles conséquences pour le nouveau mode de scrutin ? L’avis du sociologue André Robert..…
Question de confiance
Jean-Claude Emin : Le ministère est capable d’élaborer des indicateurs fiables mais est-il capable de les publier ? l Quel avenir pour le système éducatif ? demande la FSU l Le Snep dénonce une autre affaire de fichier l Une grève pour « inverser le cours des choses » pour C Lelièvre l Présidentielles : La « droite populaire » veut « promouvoir le libre choix des familles ».
La géolocalisation, un défi aux libertés l Rendez-vous au 9ème Forum de la visite scolaire .
Les TICE efficaces à l’Ecole ? l Dis moi dix mots : Un concours 2011-2012 rousseauiste.
Colloque doctoral de l’éducation et de la formation du CREN…
Les présidentielles sous le regard du Cevipof.
Les rouleaux de la Mer Morte sur le net l Sur Culture Math l Le 11 septembre décrypté par Lyonel Kauffman.
Elections professionnelles : Quelles conséquences pour le nouveau mode de scrutin ? L’avis du sociologue André Robert
Du 13 au 20 octobre prochain les élections professionnelles auront lieu sur un mode totalement renouvelé (le vote électronique) et elles alimenteront des instances nouvelles. Le vote électronique va-t-il modifier la participation ? Les nouvelles instances administratives vont-elles faire évoluer le syndicalisme ? Spécialiste du syndicalisme enseignant, André Robert, université Lyon 2, auteur de « Miroirs du syndicalisme enseignant » (Syllepse, 2006) évalue pour nous les effets de la réforme syndicale. Le risque de baisse de la participation aux élections professionnelles et d’éclatement renforcé existent bien.
Quelle est, selon vous, l’importance des élections professionnelles qui doivent avoir lieu du 13 au 20 octobre prochains ?
A.R. : Les premières commissions paritaires ont été mises en place en 1947. Les élections ont, comme on le sait, lieu tous les trois ans. Elles ont pour objet d’élire les représentants des enseignants aux comités techniques et commissions paritaires. Celles-ci sont une conquête démocratique – précédée de luttes antérieures- actée à la Libération, l’idée de participation des travailleurs, via leurs délégués, à la détermination collective de leurs conditions de travail étant alors inscrite dans le préambule de la Constitution de 1946. Concernant les fonctionnaires, les commissions paritaires – qui constituent le droit à l’expression et au contrôle par les personnels eux-mêmes des décisions relatives à leur carrière et à leurs conditions de travail – résultent de la loi du 19 octobre 1946 portant statut de la Fonction publique. Les textes ont été révisés depuis à plusieurs reprises (notamment en 1982 et 1983) et plus près de nous en 2010. Certes ces commissions sont consultatives et n’émettent qu’un avis, le représentant de l’autorité administrative (IA, recteur ou ministre) prenant en dernière instance les décisions, mais, composées paritairement de représentants élus des personnels et de représentants de l’administration, elles constituent un progrès indéniable sur la situation antérieure où l’administration intervenait seule (d’où les luttes de la première moitié du 20e siècle contre l’arbitraire administratif). Par exemple en matière de gestion de carrière, d’avancement, de mutation, les représentants syndicaux aux commissions ont le pouvoir de vérifier et de contrôler la transparence et la validité des critères utilisés par l’administration ; s’appuyant sur la mémoire et les compétences accumulées par les organisations syndicales démocratiques, ils ont acquis et – nouvellement élus – acquièrent, une expertise qui fait qu’ils sont écoutés par l’administration. Il en découle l’importance pour les personnels, soucieux de leur intérêt et de la gestion démocratique de certaines questions professionnelles, de confier un mandat à ceux et celles qu’ils estiment les plus compétents pour siéger dans ces commissions.
Lisez la suite de cet entretien
N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite). Pour pouvoir réagir, il faut préalablement s’être inscrit sur le site et être identifié. À très vite ! |
L’Éditorial de Francois Jarraud
Question de confiance
Immergés dans une « société de défiance », les enseignants croient-il en leur avenir ? Le taux de participation à la grève du 27 septembre apportera des éléments intéressants pour comprendre ce qui se passe au sein d’un corps enseignant qu’on décrit désorienté et démoralisé.
« Ce qui manque au système scolaire c’est la confiance de ses acteurs ». Cette analyse faite par Jean-Michel Blanquer lors de la Journée du refus de l’échec scolaire est tout à fait percutante. On peut même dire que l’on a probablement atteint en ce domaine le degré zéro en ce qui concerne les enseignants.
De l’Ecole et du politique en général. C’est particulièrement grave pour une profession qui naturellement est portée à regarder l’avenir. Comment préparer des jeunes à entrer dans le monde quand on a une vision particulièrement sombre de l’avenir du « corps » auquel on appartient et de son propre avenir professionnel ? Or il y a bien un rapport entre l’Ecole et le sentiment de confiance. Dans « la société de défiance » qui s’est mise en place en France, « le diplôme ou le milieu social dessinent des types de confiance/défiance sensiblement différents », affirme une étude du Cevipof. En gros le rapport de confiance envers la société et le politique est corrélé au niveau de diplôme : plus un Français est diplômé plus il a de chances d’appartenir à la catégorie des « défiants altruistes » ou des « hyperconfiants altruistes ». Moins il est diplômé plus il appartiendra aux « hyperdéfiants négativistes » proches des extrêmes politiques.
On ne saurait résumer la participation à la grève du 27 septembre à sa dimension utilitaire. Il est clair que les enseignants n’attendent rien du gouvernement actuel si ce n’est éventuellement l’inviter à la retenue. Le taux de participation sera davantage un signal de la confiance des enseignants dans leur avenir collectif et de leur volonté de le construire ensemble. A quelques jours des primaires socialistes et des élections professionnelles ce sera déjà un indicateur intéressant sur leur éventuel retour en politique. Si le degré de confiance est à zéro, on est peut-être près du moment de la fusion ?
Jean-Claude Emin : Le ministère est capable d’élaborer des indicateurs fiables mais est-il capable de les publier ?
Ancien secrétaire général du Haut Conseil à l’évaluation de l’école et sous directeur à l’évaluation au Ministère de l’éducation nationale, Jean-Claude Emin revient sur le rapport du HCE sur les indicateurs d’évaluation du système éducatif. Pour lui, si les évaluations de Ce1 et Cm2 sont « dangereuses », il n’est nul besoin d’un organisme extérieur au ministère pour obtenir des évaluations fiables. Il faut que les politiques en acceptent le risque…
Le rapport du HCE est très critique sur les indicateurs de la LOLF et sur les évaluations ce1 – cm2. Peut-on vraiment parler d’indicateurs « trompeurs » ?
Il me semble tout d’abord qu’il faut se réjouir que le HCE pose la question de l’évaluation des acquis des élèves.
Il le fait au nom d’un principe général : la politique éducative, comme « toute politique publique doit faire l’objet d’une évaluation transparente et objective » ; et il examine l’application de ce principe général à une question qu’il estime – à juste titre – essentielle: dispose-t-on d’un indicateur permettant de juger de l’efficacité de notre système éducatif au regard de l’objectif ambitieux d’une maîtrise du socle commun par tous les élèves, à la fin de la scolarité obligatoire ? Ce double souci, général et particulier, le conduit à examiner les indicateurs disponibles, à la fois, du point de vue de leur qualité méthodologique (donnent-ils une évaluation transparente et objective de ce qu’ils prétendent apprécier?) et du point de vue de leur pertinence quant à l’objectif retenu (rendent-ils compte de la maîtrise du socle commun ?).
Quel avenir pour le système éducatif ? demande la FSU
« Face aux évolutions de la société, aux défi s économiques, écologiques, culturels et scientifiques, qu’attend-on aujourd’hui de l’Ecole ? Quelle place, quels objectifs, quel statut, quels moyens faut-il lui donner pour qu’elle joue tout son rôle dans la formation de citoyens, aptes à assurer le développement d’une société de la connaissance et du progrès pour tous ? Comment l’Ecole peut-elle contribuer à dépasser la corrélation entre inégalités sociales et scolaires ? » La FSU organise le 28 septembre un colloque à Paris pour tenter une réponse. Elle s’organise autour de deux tables rondes. La première réunit Christian Baudelot et Jacques Bernardin/ La seconde reunit Bruno Jullliard, Philippe Meirieu, Jacques Grosperrin et Sylvain Canet pour un échange plus politique.
Le Snep dénonce une autre affaire de fichier
Après Montreuil, Orléans-Tours. Après les élèves et leurs parents, les profs. Après l’établissement, tout un rectorat. Le Snep Fsu dénonce un questionnaire adressé par l’académie d’Orléans-Tours aux nouveaux enseignants leur demandant de donner des renseignements confidentiels comme « les antécédents familiaux de dépression et troubles psychiatriques ».
Une grève pour « inverser le cours des choses » pour C Lelièvre
« Je doute qu’il y ait beaucoup de grévistes. On ne se mobilise pas forcément avec la gravité des situations, mais en fonction de ce qu’on va obtenir. Et les enseignants savent que ce qu’ils n’ont pas obtenu jusqu’alors, ils ne vont pas l’avoir là », écrit C Lelièvre sur son blog. « Mais c’est une mobilisation importante parce qu’elle est un signe à l’ensemble des candidats à la présidentielle et aux élections futures. Avec la présidentielle, le rapport de force s’est déplacé sur le plan politique. Je ne crois pas que beaucoup de Français pensent que des postes pourraient être créés à la rentrée. Mais sans croire au Père Noël, ils sont nombreux à se dire que l’on peut faire autrement que de diminuer les postes régulièrement. Il faut inverser le cours des choses et les priorités. »
Présidentielles : La « droite populaire » veut « promouvoir le libre choix des familles »
Entre Vichy et Washington, faudrait choisir… Libre choix pour les familles, autonomie des établissements mais renforcement idéologique du poids de l’Etat. C’est un des paradoxes des « propositions pour 2012 » que 40 députés de la « droite populaire » font à Nicolas Sarkozy. D’après Le Point, la frange extrémiste del’UMP, regroupée autour de personnalités comme C Vanneste ou T Mariani, veut « rappeler les valeurs du sarkozysme ». Un rappel qui ressemble plutôt à une destruction de l’Etat républicain.
Pour l »Ecole, il s’agit à la fois de libéraliser el système à l’américaine, avec la promotion de la liberté scolaire et du libre choix des familles, pouvant aller probablement jusqu’au chèque éducation, l’autonomie des établissements, tout en affirmant un contrôle étatique renforcé : « respect des symbole sd ela République, renforcement de la notation, ‘est à dire effacement du socle, contrôle de conformité des manuels scolaires.
Les autres propositions développent les thèmes sécuritaires et xénophobes. Suppression du CDI, fichier des allocataires sociaux, carte d’identité biométrique, référendums d’initiative populaire, fin du droit à la naturalisation, délit d’outrage à la nation…
Dans Le Point
La géolocalisation, un défi aux libertés
Alors que 20% des Français possèdent un smartphone équipé d’un GPS, L’actu et la CNIL ont réalisé un numéro spécial pour expliquer les dangers de la géolocalisation. Il montre l’intérêt commercial à localiser en permanence nos déplacements et à adapter les offres commerciales à notre personnalité. Mais la géolocalisation permet aussi la surveillance permanente exercée par les parents ou le patron. Un excellent numéro pour réfléchir en classe ou en famille.
Rendez-vous au 9ème Forum de la visite scolaire
Pour la 9ème année consécutive, Universcience organise le mercredi 28 septembre 2011 à la Cité des sciences et de l’industrie le Forum de la visite scolaire. Ce rendez-vous annuel propose aux membres de la communauté scolaire et éducative de découvrir, en un seul jour et sur un seul lieu, l’offre pédagogique de plus de 130 institutions culturelles : musées, châteaux, monuments historiques, parcs de loisirs, centres de science, organisateurs de voyages scolaires, transporteurs…Une occasion unique de rencontrer les acteurs de la visite scolaire et d’élaborer les projets de sorties pour l’année à venir.
Le public est chaque année de plus en plus nombreux à fréquenter le Forum : 2000 visiteurs en 2007, 2900 en 2010. Un succès grandissant également auprès des exposants : 60 participants en 2007, 120 exposants en 2010 (dont 20 nouveaux inscrits). Comme chaque année, on y retrouve les sites culturels incontournables comme la RMN, le Louvre, le Musée du Quai Branly, le Futuroscope, le Château Royal de Blois, Océanopolis, Vulcania… La liste détaillée des exposants est en ligne sur le site.
L’entrée au Forum de la visite scolaire est libre et gratuite sous réserve d’une inscription à partir de juin 2011. Une attestation de présence est fournie aux enseignants sur demande. L’inscription au Forum offre également la possibilité de visiter les nouvelles expositions de la Cité des sciences et de l’industrie le 28 septembre 2011.
Le reportage sur le forum 2010
Les TICE efficaces à l’Ecole ?
Au débat relancé récemment par Internet Actu, Bruno Devauchelle apporte un axe d’analyse tout à fait enrichissant. « Repenser la scolarisation,c’est surtout repenser l’apprendre en société. Or les TIC se sont invitées dans le débat en apportant un nouveau contexte communicationnel et informationnel dont on observe qu’il se construit sous nos yeux chaque jour et sous l’impulsion de groupes (sociétés,chercheurs,innovateurs,techniciens…) qui n’ont que peu avoir avec le monde scolaire. Dès lors le monde scolaire demande des comptes selon son modèle initial et demande donc à vérifier l’efficacité des TIC. Faut-il en retour se poser la question de l’efficacité de l’école ? Sachant qu’elle a l’exclusivité (ou quasiment) de la construction officielle des connaissances chez les plus jeunes,cette question n’a pas de sens. Alors le recours aux comparaisons internationales via les études des organismes ad hoc vient apporter sa pierre de critiques au système en place et donc d’évaluation de son efficacité. La peur et les attaques nombreuses de ces évaluations amènent inévitablement à révéler le fond de la question: le modèle de la scolarisation ne peut pas être remis en cause », explique-t-il. « Chaque fois qu’un enseignant tente d’innover,on lui renvoie la question de l’efficacité de l’innovation. La question posée aux TIC n’est donc pas nouvelle. Elle n’est que révélatrice de la montée progressive d’une remise en cause plus fondamentale de la manière de concevoir un système permettant aux jeunes d’une société d’apprendre et de s’intégrer qui ne soit pas un modèle de scolarisation…mais bien un modèle d’accès à la connaissance tout au long de la vie…
Dis moi dix mots : Un concours 2011-2012 rousseauiste
« Je suis né à Genève, en 1712 d’Isaac Rousseau, Citoyen, et de Susanne Bernard, Citoyenne », écrit Jean-Jacques Rousseau dans la première page de ses Confessions. Le concours « Dis-moi dix mots » rend hommage au philosophe des Lumières inventeur de l’autobiographie, dont on célèbrera en 2012 le tricentenaire de la naissance.
Comme chaque année sont proposés dix mots à partir desquels les élèves doivent réaliser une production littéraire qui peut prendre différentes formes (texte, son, vidéo, diaporama, affiche, site internet …). Le concours permet un travail intéressant sur le lexique, cherche à stimuler la créativité, lance une dynamique de projet dans un cadre qui peut être transdisciplinaire.
Après avoir développé le thème de la solidarité en 2010-2011 (« Dis-moi dix mots qui nous relient »), le concours 2011-2012 se place sous le signe de l’écriture de soi et invite à explorer l’intime. Les inscriptions à l’édition 2011-2012 du concours des dix mots ouvrent le 1er octobre.
Dans le Café mensuel de septembre
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
Colloque doctoral de l’éducation et de la formation du CREN
Les 25 et 26 novembre, le CREN organise deux journées d’échanges destinées aux doctorants du Centre de recherche en éducation de Nantes. L’ensemble du colloque est organisé autour de 5 problématiques : les analyses de pratiques, les langues, les politiques éducatives, les processus et temporalités, les savoirs et didactiques. Au total, un peu moins d’une centaine d’interventions sont attendues. On peut citer par exemple, celle d’E Schneider sur le paysage scriptural des adolescents, d’Anne Jusso sur le travail collectif des enseignants du second degré, de Benjamin Gesson sur la formation de la construction identitaire des enseignants, ou de B. Noel-Lepelletier sur la résistance des collégiens à l’acte d’écrire. Inscriptions jusqu’au 21 octobre.
Les présidentielles sous le regard du Cevipof
Le Cevipof, le plus célèbre des centres de recherche sur la vie politique, ouvre son site dédié aux présidentielles. Outre un rappel des données statistiques de cette élection, outre un rappel des conférences et débats, le site donne accès aux analyses du Cevipof sur la sociologie des électorats. A ne pas perdre du regard jusqu’à l’échéance (et après).
Les rouleaux de la Mer Morte sur le net
S’il est un document patrimonial ce sont bien les rouleaux de la Mer Morte. Ces documents ont renouvelé l’approche du judaïsme et du christianisme en permettant de mieux connaître le contexte de rédaction des récits des deux religions. Un nouveau site permet le déchiffrage interactif de 5 rouleaux en araméen, grec ou hébreu.
Sur Culture Math
CultureMATH fait sa rentrée en publiant deux nouvelles conférences du grand dossier du centenaire de l’Apmep : « L’effet papillon. Du chaos aux prévisions météo et projections climatiques », par Camille Marini et « Le nom et la chose en mathématiques: un débat qui traverse les sciences », par Philippe Boulanger.
Tout au long de cette nouvelle année scolaire CultureMATH continuera à mettre à la disposition des enseignants un espace de discussion sur le thème Quelles mathématiques pour le module Méthodes et Pratiques Scientifiques en classe de seconde.
Le 11 septembre décrypté par Lyonel Kauffman
« En définitive, le 11-Septembre s’inscrit-il en continuité ou en rupture avec ce qui précède? Est-il, à l’égal d’Hiroshima (l’âge atomique), un événement iconique fondateur d’un nouvel âge ou la continuité d’un âge plus ancien? » Lyonel Kauffman nous invite à réfléchir à notre abord de l’événement dans sa chronique mensuelle sur le site du Café.
Dans le Café mensuel de septembre
le Cafe
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
L’Expresso directement sur votre site !
Vous nous l’avez demandé par téléphone, par courriel, par fax : comment afficher sur mon site personnel les informations quotidiennes de L’Expresso ? Le webmestre du Café vous propose deux solutions simples qui nécessitent juste le copier-coller de quelques lignes.
Vous pouvez ainsi faire bénéficier les visiteurs de votre site d’une information quotidienne et leur permettre d’être les premiers informés dans leur établissement.
RSS : Le retour
Le changement de plate-forme avait mis à mal les fils RSS du Café. Ils sont maintenant pleinement rétablis. Vous pouvez vous abonner aux flux simplement en cliquant sur l’icône RSS en bas de page. Et cela pour chaque rubrique du Café.
Participer au Café ?
Il y a bien des façons d’aider le Café : lui manifester son soutien, lui apporter son obole, lui passer des informations. Il y a aussi écrire dans le Café. Si vous vous retrouvez dans les orientations du Café, si vous souhaitez participer à une aventure unique de mutualisation, contactez-nous !
Le Café en chiffres
Le Café pédagogique compte plus de 150 000 abonnés à ses différentes éditions. Au mois de mai 2007, nous avons reçu 611 728 visiteurs qui ont généré plus de 28 millions de hits.
Le Café à la carte
Si vous découvrez Le Café Pédagogique, sachez que vous pouvez recevoir chez vous, dès parution et gratuitement, « L’Expresso », le flash quotidien d’actualité pédagogique et toutes les éditions du Café pédagogique.