Le document unique : formalisation de l’évaluation
des risques professionnels
En France, on estime à 20 000 le nombre de décès imputables chaque année au travail. Les accidents de travail entrainent chaque année la perte de 48 millions de journées d’arrêt de travail, ce qui équivaut à la fermeture d’une entreprise de 130 000 salariés pendant 1 an !!! Le coût des accidents de travail en France en 2008 s’élève à 3,4 milliards d’euros, soit plus de 25% d’augmentation entre 2000 et 2008. En 2007, l’INRS en collaboration avec Arts et Métiers ParisTech a évalué le coût social du stress en France à 2 à 3 milliards d’euros. Ces chiffres conduisent aujourd’hui les entreprises à placer la maîtrise des risques professionnels au centre de leurs préoccupations.
http://qualite.6ero.fr/post/Le-document-unique-%3A-formalisation
La vidéocollaboration ? Oui, mais à condition de se
voir
Alors que les progrès technologiques de ces dernières années permettent aux entreprises de disposer de moyens de communications de plus en plus réalistes – comme la téléprésence et le partage de documents- et à des coûts moindres, l’usage reste modeste, notamment en France. C’est ce que nous révèle une étude menée par Ipsos en août dernier. Même si l’intérêt de la collaboration vidéo est très largement reconnu, les salariés français sont 54 % à déclarer disposer de tels outils dans leur entreprise mais ne pas les utiliser. Et seuls 6 % de ceux interrogés affirment avoir recours à la vidéoconférence au moins une fois par semaine, contrairement au 15% des 11 autres pays interrogés. Pourtant, les spécialistes des télécoms assurent que la technologie est mature. Quels peuvent alors être les éléments à prendre en compte pour favoriser l’appropriation de ce procédé par les collaborateurs ?
http://atelier.net/columns/videocollaboration-oui-condition-de-se-voir
Télétravail : les conseils à suivre, les pièges à éviter
Isolement, perte de concentration ou difficultés à distinguer vie privée et vie professionnelle sont autant de syndromes que peut ressentir le télétravailleur. Respecter certaines règles quand on travaille depuis chez soi permet de rester productif et intégré dans l’entreprise.
http://www.journaldunet.com/management/efficacite-personnelle/travail-a-domicile
Air France KLM optimise ses impressions et sa
gestion documentaire
« Il y a cinq ans, notre parc d’imprimantes était hétérogène, il y avait des scanners qui trainaient ici ou là… » se souvient Jean-Claude Cathelineau, directeur aux achats de systèmes d’information chez Air France KLM. Face à cette situation, OptiPrint 1 et 2 avaient pour buts d’atteindre l’excellence en terme de services autour du document (impression, partage, accès…), d’innover autour du circuit du document et de prendre en compte la responsabilité sociétale et environnementale (RSE) de la compagnie. Ce dernier point consistait notamment à diminuer considérablement le nombre d’impressions. Bien entendu, tout cela s’accompagne d’une volonté claire de baisser les coûts.
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-air-france-klm-optimise-ses
Comment s’organiser pour bien travailler chez soi …
et faire tourner son activité
Une foule de conseils pratiques pour commencer une activité professionnelle à son domicile : le choix du lieu, l’aménagement de l’espace de travail, son organisation personnelle (horaires…).
http://www.zevillage.net/2010/05/lecon-3-comment-sorganiser-pour-bien-travailler
Changer de carrière ? A condition de bien réfléchir et
se préparer
Certains signes ne trompent pas : la crise économique touche à sa fin et l’on peut y voir l’occasion idéale pour changer de poste, surtout si de lourdes charges de travail et un niveau de stress élevé subsistent. Et si l’objectif recherché était en fait non pas d’obtenir un nouveau poste, mais plutôt de changer radicalement de carrière ? Pour pouvoir se consacrer à sa passion, saisir de nouvelles opportunités dans un secteur à fort potentiel de croissance, ou encore trouver une voie mieux adaptée à ses compétences… La question mérite réflexion. Le cabinet de recrutement Robert Half apporte quelques recommandations essentielles pour mener à bien cette analyse. En effet, si changer de carrière s’impose comme une évidence, il est essentiel de préparer ce « nouveau départ » et de s’y engager en toute connaissance de cause, après mûre réflexion… Noëmie Cicurel, Directrice chez Robert Half International France, prodigue ici 6 conseils pour envisager au mieux cette réorientation.
http://www.cfo-news.com/Emploi-Changer-de-carriere-A-condition-de-bien-reflechir
Fâché avec l’orthographe ? Réagissez !
« Fréquemment » s’écrit-il avec un seul m ou deux ? Le « cent » de « trois cents euros » prend-t-il un s ou non ? Au bureau que ce soit en envoyant un e-mail à un collègue, un compte rendu de réunion à la direction ou une proposition commerciale à un client, les occasions de faire des fautes d’orthographe ne manquent pas. Des pièges qu’il est d’autant plus nécessaire de déjouer que notre orthographe est bien souvent le premier critère selon lequel quelqu’un qui ne nous connaît pas va nous juger. Voici quelques règles bien utiles à réapprendre.
http://www.journaldunet.com/management/vie-personnelle/faute-orthographe
Quels documents sont éligibles à l’archivage
électronique ?
Selon l’article 1316-1 du Code civil, un document électronique a la même force probante qu’un écrit sur support papier à condition que son auteur soit dûment identifié et que le document soit établi et conservé dans des conditions de nature à en garantir l’intégrité. Ainsi, pour être recevable en tant que preuve, un document électronique doit garantir l’identification de son auteur ainsi que son intégrité pendant tout son cycle de vie, c’est-à-dire de son établissement jusqu’à la fin de la durée de son archivage.
http://www.jurisexpert.net/quels-documents-sont-eligibles-a-larchivage-electronique-2/
A quelles conditions l’employeur peut-il accorder des
titres-restaurant ?
Un employeur peut mettre en place un système de titres-restaurant dans son entreprise, afin de faciliter la restauration des salariés (du privé) ou employés (du public) pendant la journée de travail. Ainsi, l’entreprise participe aux frais de restauration de son personnel salarié, dans le cas où elle n’a pas mis en place de dispositif propre de restauration collective ou lorsqu’elle a mis en place un tel dispositif mais que les salariés ne peuvent pas en bénéficier compte tenu de la localisation de leur poste de travail.
Le titre-restaurant à une valeur faciale non monétaire, ce qui implique l’interdiction du rendu de la monnaie sur la valeur de ce titre lorsque le montant de la dépense n’atteint pas la somme due. L’employeur contribue financièrement à l’acquisition par le salarié des titres-restaurant – la contribution patronale étant comprise entre 50% à 60% de la valeur faciale du titre dans la limite de 5,21 euros- sachant que cette contribution est dans une certaine limite exonérée de cotisations de sécurité sociale et affranchie d’impôt sur le revenu pour le salarié.
Enfin, pour acquérir ces titres-restaurant, l’employeur doit s’adresser à l’une des sociétés émettrices spécialisées opérant sur le marché national pour commander les titres, rappelle la Commission nationale des titres-restaurant.
http://www.net-iris.fr/veille-juridique/actualite/25797/a-quelles-conditions-employeur
L’e-communication des PME
Souvent considérée comme « la danseuse » de l’entrepreneur, d’après le terme consacré, la communication est généralement le poste comptable abandonné en temps de crise économique. Cependant, un récent sondage de l’UDA (Union des annonceurs) a montré que même si 60 % des sociétés membres ont réduit leurs dépenses de communication en 2009 à cause de la crise, la plupart ont en réalité abandonné des postes comme l’achat d’espace en presse écrite, TV, Radio, panneaux, pour se tourner vers un média plus accessible pour communiquer : internet. Certaines PME l’ont bien compris et en tirent aujourd’hui tous les bénéfices. Alors, pourquoi pas la vôtre ?
http://www.netpme.fr/communication/1896-e-communication-pme.html