Cinq conseils pour faire l’auto-diagnostic de votre entreprise
En bon chef d’orchestre, le dirigeant doit en permanence être à l’écoute de son environnement et capable d’en interpréter les signes. L’environnement du chef d’entreprise est composé de tous les acteurs qui déterminent l’évolution de son activité, à l’extérieur (les clients, les concurrents, la réglementation, les fournisseurs…), comme à l’intérieur (les collaborateurs, l’espace de travail, le mode de management…). Autant d’éléments qui constituent des émetteurs et auxquels le dirigeant doit être attentif et réceptif pour piloter son entreprise. Car c’est par la bonne compréhension des différents facteurs agissant sur la vie de l’entreprise que passe l’auto-diagnostic et que se fondent les conditions de son efficacité.
http://www.lentreprise.com/3/2/5/article/16833.html
Émotions au travail : leur donner la juste place
Entre inquiétude et joie, anxiété et colère, on peut vite se laisser déborder par ses émotions au bureau. Comment les dompter et les utiliser à bon escient ? Comment réagir face à un collaborateur émotif ?
http://www.journaldunet.com/management/vie-personnelle/dossier/gerer-emotions-au-travail/
La sous-traitance des tâches liées aux nouvelles technologies
En 2006, 29 % des entreprises d’au moins dix salariés confient à des prestataires extérieurs des fonctions requérant des personnels spécialisés dans les technologies de l’information et de la communication (TIC). Cette sous-traitance est assurée en premier lieu par des prestataires situés en France : seules 8 % des entreprises qui sous-traitent ce genre de tâches les confient à des sociétés situées à l’étranger, et 3 % hors de l’Union européenne ; il s’agit dans ce cas plutôt d’entreprises appartenant à des secteurs étroitement liés aux nouvelles technologies. Seules 2 % des entreprises signalent des difficultés de recrutement de spécialistes en TIC, principalement par manque de postulants qualifiés ; les prétentions salariales trop élevées sont bien moins souvent évoquées. La décision de sous-traiter est alors liée à ces difficultés de recrutement.
http://www.insee.fr/fr/ffc/ipweb/ip1183/ip1183.html
Scop toujours !
37 862 salariés, 3,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires, 1 827 entreprises coopératives …. Les entreprises en coopérative plaisent de plus en plus aux créateurs d’entreprises à la recherche d’un modèle économique basé sur le partage des bénéfices et la démocratie. En 2007, plus de 270 scop (société coopérative de production) ont ainsi été créées, soit deux fois plus qu’en 2006 !
Le 34ème congrès national des scop, organisé par la Confédération Générale des Scop a souhaité mettre en lumière les avantages de ce système coopératif, encore mal connu.
http://www.lentreprise.com/1/2/5/article/16849.html
Comment agissent les institutions ?
Les institutions auraient-elles disparu ? C’est en tout cas le sentiment que donne tout un pan de la sociologie actuelle, notamment les auteurs attachés à décrire la nouvelle condition de l’individu contemporain. Chez des chercheurs comme Jean-Claude Kaufmann ou Zigmunt Bauman par exemple, l’émergence d’un individu libre (pour le meilleur ou pour le pire) de se définir, de choisir ses orientations, de « s’inventer », a pour cause principale la perte d’influence des institutions. On oppose à l’époque actuelle une période où, jusque dans les années 1960, l’individu était « tenu » par les institutions (État, Église, école…), qui l’enserraient et lui dictaient ses manières d’agir et de penser.
Mais ne produit-on pas une double caricature en contrastant ainsi un « ancien monde » quadrillé par des institutions omnipotentes et un monde contemporain totalement désinstitutionnalisé ? L’erreur de ces auteurs provient sans doute de la volonté de trouver une « clé » unique pour expliquer un vaste et complexe processus historique.
http://www.scienceshumaines.com/comment-agissent-les-institutions-_fr_15438.html
Autorité de la concurrence : indépendante oui, mais efficace ?
C’est une des rares propositions de la commission Attali à avoir donné lieu à une mesure concrète : la loi de modernisation de l’économie, que le gouvernement soumettra au Parlement fin juin, prévoit la création d’un régulateur unique en matière de contrôle antitrust, l’Autorité de la concurrence. La question est technique, mais l’enjeu est capital puisqu’il en va de la façon dont l’État lutte contre des pratiques anticoncurrentielles (abus de position dominante, ententes…), dont l’ultime victime est le plus souvent le consommateur.
En l’occurrence, parler d’une autorité nouvelle paraît exagéré : il s’agit en réalité de transférer une vingtaine d’enquêteurs de la Direction nationale des enquêtes de concurrence (DNAC) – relevant de la Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF), un service du ministère de l’Économie -, au Conseil de la concurrence, qui est une autorité de régulation indépendante. On veut ainsi mettre fin à un système bicéphale qui serait devenu obsolète, dans lequel l’administration d’État mène l’enquête tandis que l’autorité indépendante décide d’éventuelles sanctions, et rendre la régulation française plus conforme aux normes européennes.
La réalité s’avère plus compliquée et les conséquences inquiétantes pour la qualité du contrôle concurrentiel. Tant du point de vue de la détection des pratiques anticoncurrentielles que de la capacité de l’Autorité à mener des enquêtes.
Les clés d’un management gagnant
Réunir plutôt qu’opposer style directif et style participatif : telle est la solution pour mieux manager des équipes aux multiples personnalités.
http://www.journaldunet.com/management/expert/26844/les-cles-d-un-management-gagnant.shtml
Le développement durable, une réalité non négociable
Pour Sylvie Ouziel, directrice général de l’activité conseil en France et au Benelux d’Accenture, le développement durable est «une réalité non négociable». Longtemps considéré comme une contrainte, il constitue aujourd’hui une véritable opportunité aux yeux des entreprises. Ainsi, 82% de celles ayant répondu à l’enquête, estiment que le développement durable constitue un facteur de différenciation. C’est même une opportunité de création de valeur et de développement d’activité pour plus de la moitié des entreprises. Et seulement 5% le considèrent comme une menace.
http://www.emarketing.fr/Magazines/ConsultArticle.asp?ID_Article=25295
56% des français tiennent une voire plusieurs liste de tâches
Les Français mal organisés et peu productifs ? Une étude Microsoft Windows Mobile –leader des solutions logicielles mobiles pour smartphone grand public et professionnel- conduite au niveau mondial sur 8 027 personnes par Kelton Research, institut de sondages indépendant, vient battre en brèche cette réputation et révèle que plus de la moitié des Français sont des adeptes des listes de tâches et sont ainsi globalement bien organisés. Par ailleurs, ils sont parmi les plus nombreux à s’attaquer en premier à la tâche la plus difficile et à laisser trainer les choses le moins longtemps !
http://www.cfo-news.com/56-des-francais-tiennent-une-voire-plusieurs-liste-de-taches_a5724.html
Baccalauréat 2008 en Polynésie
Le sujet 2008 de Management des organisations pour la Polynésie.
http://www.des.pf/view.php?1181239377-682217&PHPSESSID=781f622b27fc4ab6d7aeadc9abd4d52f