Par François Jarraud
Comment trouver une colo, un correspondant linguistique : des pistes pour aider les parents
Langues : Trouvez des correspondants du monde entier
Adepte d’échanges transfrontaliers ? L’information a paru au BO n°4 du vendredi 24 janvier 2008: le programme franco-allemand « Heinrich Heine » a vu le jour: il s’agit d’un séjour individuel d’élèves de seconde en Allemagne dans le cadre de la certification d’allemand de niveau « B1 » en 2008. Il prévoit un séjour de 3 à 6 semaines avec projet pédagogique:
Student of the World , présentant des activités ayant trait aux échanges et à la recherche d’un correspondant, on peut s’y inscrire gratuitement pour avoir un accès complet aux diverses activités : blogs, forums, jeux …
Le programme H Heine
http://www.education.gouv.fr/bo/2008/4/MENC0800059N.htm
Student of the world
http://www.studentsoftheworld.info
Le Code à l’école ?
Selon Le Figaro, un rapport officiel recommanderait que l’Ecole apprenne le code de la route aux jeunes. La mesure se heurte, d’après le quotidien, à de vives résistances aussi bien du coté des auto-écoles que de celui des collèges. Pourtant elle est appliquée dans certains pays au bénéfice des moins riches.
Article du Figaro
http://www.lefigaro.fr/actualites/2008/04/02/01001-20080402ARTFIG003[…]
Les colos, c’est bon pour grandir !
Mercredi 16 avril ce sera la journée des colos. D’avril à juin, des actions locales iront au devant des parents pour leur faire découvrir les séjours collectifs de proximité. Pour la JPA, qui pilote la campagne, « partir en vacances sans ses parents, en toute sécurité, permet à l’enfant de développer sa capacité à s’ouvrir aux autres ». La campagne vise à faire connaître l’offre et aussi à accompagner les parents dans leur recherche y compris pour trouver les financements nécessaires.
La campagne
http://www.vacances-loisirs-jeunesse.net/INTRO.html
Tchad : Les enfants et l’Ecole victimes du conflit
« Assis sur une natte en plastique, dans une salle de classe en plein air d’un camp pour personnes déplacées par les violences, situé à la périphérie de la ville de Goz Beida, dans le sud-est du Tchad, Ibrahim Abdoulaye Moussa a toutes les raisons d’être attentif pendant les cours. « Je vais à l’école pour sauver mon pays », dit le jeune garçon, qui fait partie des quelque 180 000 Tchadiens déplacés, disséminés à travers la vaste région semi-désertique de l’est du Tchad. « Je rêve d’être président » ». Ibrahim fait partie des rares enfants scolarisés dans ce camp. Il a 14 ans et est en Ce1.
Dans un article de l’IRIN, l’Unicef explique que la demande d’éducation est très faible dans une population analphabète à 90%. L’insécurité, la modestie des salaires (67 dollars) n’incite guère à embrasser la carrière d’instituteur. Les maîtres présents dans le camp ont reçu une formation de 10 jours.
Article IRIN