Les résultats des lycées
Le ministère publie les indicateurs de résultat des lycées. Outre les données brutes de réussite aux examens, ils permettent d ‘évaluer « l’effet établissement » c’est-à-dire la « valeur ajoutée » par établissement. Les indicateurs ont fait l’objet de critiques récentes et devraient prochainement être modifiés.
http://indicateurs.education.gouv.fr/
http://cafepedagogique.studio-thil.com/lexpresso/Pages/2005/03/index150305.aspx
Premiers sujets du bac 2005 !
Quelles sont les grandes tendances du bac 2005 ? Les sujets du bac 2005 sont en ligne. Certes ce ne sont que ceux de Pondichéry (Inde), le premier centre français à organiser le bac 2005. Sur le site du lycée, grâce à la diligence de Dimitri Jacquier-Roux, on peut consulter les sujets de philosophie, histoire-géo, math, anglais des séries générales ainsi que ceux de physique-chimie de S et littérature de L. Les autres sujets suivront. En série STT COG et ACA on peut consulter ceux de philosophie, étude de cas, math et LV1. Bien entendu, ces sujets ne sont pas ceux qui seront utilisés lors des épreuves métropolitaines. Mais ils constituent un bon entraînement et donnent des indications sur les orientations des jurys de cette année. Ainsi en 2003, l’épreuve de math de Pondichéry annonçait la « surprenante » épreuve métropolitaine.
Le site a été mis à jour le 5 avril avec la publication des sujets de l’épreuve anticipée de français , de nouvelles épreuves de spécialité et de LV2. A noter également la publication d’un corrigé de l’épreuve de STT sur le site de H. Sliwak.
http://www2.ac-toulouse.fr/lyc-francais-pondichery/
Le bac 2004
Le ministère publie les chiffres définitifs de la session 2004 du baccalauréat. Avec 79,7% de reçus, 2004 est en retrait par rapport à 2003 mais en progression légère au regard de 2002 et 2001. 62% d’une génération a obtenu le bac, 32% pour le bac général. On observe un écart important entre académies (71% de reçus à Créteil, 86% à Rennes) et entre les sexes (82% pour les filles; 77% pour les garçons) mais ces différences s’atténuent.
ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/dpd/ni/ni2005/ni0509.pdf
http://www.adobe.fr/products/acrobat/readstep2.html
Calendrier du bac dans les DOM
Le B.O. du 31 mars publie le calendrier des épreuves du bac 2005 en Guadeloupe, Guyane, Martinique et Réunion. Le bac général commencera le 8 juin dans l’atlantique et le 10 à lla Réunion. Le bac technologique, le 7 et le 9.
http://www.education.gouv.fr/bo/2005/13/MENE0500542N.htm
Réformer le bac, pourquoi faire ?
« Moderniser, pour moi, ça signifie changer les modes d’évaluation. Mais qui dit changer les modes d’évaluation dit changer la pédagogie : l’un ne va pas sans l’autre. On change les modes d’évaluation pour suivre les évolutions dans les démarches pédagogiques ». Dans un entretien accordé aux Dossiers de l’enseignant, une publication du Se-Unsa, André Legrand, ancien directeur des lycées et collèges, explique pourquoi il faut faire évoluer le bac.
« De nouveaux modes d’évaluation comme le contrôle en cours de formation appellent une modification de la relation enseignant-enseigné. Ce processus de «modernisation» doit donc s’accompagner d’une réflexion globale sur l’ensemble du fonctionnement du système, à la fois sur la relation pédagogique, les objectifs poursuivis, les contenus pour les atteindre et les moyens les plus adéquats pour mesurer si les élèves ont atteint ces objectifs… On le voit, cette «modernisation» des baccalauréats ne peut pas être seulement une réflexion organisationnelle et structurelle qui serait motivée par des impératifs pratiques et financiers. On passerait alors complètement à côté d’une «modernisation» levier de changement. On réforme le bac parce qu’on a une vision pédagogique, pas pour faire des économies ! »
http://www.se-unsa.org/page_dossier.html
Les séries ES championnes de la réussite en licence
Une note ministérielle reprend les travaux de P. Girardot, D. Prouteau, C. Teissier et M. Tomasini, présentés dans L’Expresso du 14 février. « Parmi les bacheliers généraux, les lauréats d’un baccalauréat ES réussissent davantage en un an (leur licence) que les bacheliers L ou S. » Des résultats qui varient cependant selon les disciplines d’inscription et les universités : les écarts entre elles sont très importants. A noter en page 4 un intéressant tableau qui affiche la probabilité de réussite de la licence en un an selon la discipline et le type de bac.
ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/dpd/ni/ni2005/ni0508.pdf
http://cafepedagogique.studio-thil.com/lexpresso/Pages/2005/02/index140205.aspx
http://www.adobe.fr/products/acrobat/readstep2.html
Les CPGE intégrées aux universités ?
Selon Le Monde, la Conférence des présidents d’université propose d’intégrer aux universités les clases préparatoires aux grandes écoles aujourd’hui en lycée. Parmi les enjeux : la reconnaissance universitaire des formations CPGE et… les moyens importants dont disposent les CPGE.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3226,36-629087@51-629156,0.html