Par François Jarraud
Le GFEN (Groupe Français d’Education nouvelle) vient de dérouler son congrès, du 6 au 9 juillet : 4 jours de réflexion statutaire, militante et pédagogique à Saint Ouen (93).
Tous les 3 ans un congrès permet aux adhérents et militants de se retrouver pour faire le point et dresser des perspectives pour les 3 années suivantes.. Mais c’est aussi l’occasion pour les participants d’échanger, de se former dans des ateliers et tables rondes organisés dans une ambiance studieuse et conviviale à la fois.
Après les interventions de Jacques Bernardin et de Pierre-Yves Rochex, Dans les ateliers qui ont suivi, le « comment s’organise le rapport à la norme ? » est abordé par la focale des pratiques artistiques, de la langue, de la ponctuation à l’écrit, de l’activité enseignante, etc…
Au 3ème jour, la thématique du partenariat poursuit celles des jours précédents : « Agir collectivement pour s’émanciper ». Les ateliers proposés permettent d’analyser les rapports entretenus par l’éducation nouvelle et des partenaires, ici et ailleurs, dans des actions menées avec des villes, des autres associations, dans des formations de différents professionnels autres qu’enseignants, à l’intérieur du LIEN (réseau international d’éducation nouvelle), etc… L’objet de réflexion de la table ronde est complémentaire : quels enjeux pour la cité… sur quels leviers agir…
Dans le contexte actuel, où les mouvements pédagogiques, et particulièrement le GFEN, voient leur subvention ministérielle diminuer, le congrès a pu montrer le sérieux du travail des militants du GFEN.
Découvrez le congrès
http://cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/gfenCongres2010.aspx
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