Le KM ( Knowledge Management) à l’heure des
réseaux sociaux d’entreprise
L’arrivée des outils collaboratifs 2.0 et des RSE transcendent la gestion et le partage des connaissances. Identification et mises en relation avec les experts sont recherchées. Apparue dans les années 80 et ayant pris son envol dans les années 90, la notion de KM (Knowledge Management) a atteint aujourd’hui un degré de maturité dans les entreprises. Rares sont en effet les entreprises à se désintéresser totalement des moyens à mettre en œuvre pour gérer, partager et capitaliser les connaissances mais également des savoir-faire. Si l’essor de formations académiques a pu accompagner la création de nouveaux postes dédiés à cette problématique, la montée en puissance du KM est surtout à mettre au crédit d’une prise de conscience généralisée de la part des différents acteurs de l’entreprise.
http://www.journaldunet.com/solutions/intranet-extranet/km-reseaux-sociaux-collaboratif
Les derniers blocs d’adresses IPv4 sont alloués
Pénurie d’IPv4 ? Pas encore, mais l’lana, l’organisme chargé d’allouer aux registres régionaux (RIRs) les blocs d’adresses a épuisé ses stocks. En Europe, le Ripe NCC estime qu’il pourra distribuer des adresses jusqu’en septembre. Ensuite ? Cohabitation et transition grâce au NAT, au LSN et aux nombreuses IPv4 inutilisées.
http://hightech.nouvelobs.com/actualites/depeche/20110205.ZDN3803/les-derniers-blocsl
MyIGSR
MyIGSR ou Interface de Gestion des Sauvegardes et des Restaurations pour MySQL est un outil qui réalise avec simplicité des sauvegardes et des restaurations de vos bases de données MySQL. L’outil prend en compte les contraintes imposées par les directives de vos serveurs PHP.
http://www.igswsoft.com/index.php?affichage=article&id=17270&id_rubrique=75243
Produire du logiciel libre
La plupart des projets de logiciels libres échouent. Nous avons tendance à ne pas trop remarquer les échecs. Seuls les succès attirent notre attention, et le nombre total de projets de logiciels libres est si important que leur visibilité reste forte malgré un taux de réussite relativement faible. De même, nous n’entendons pas parler des échecs car l’insuccès est un non-évènement. Le moment précis où un projet cesse d’être viable n’existe pas : les gens s’en écartent et finissent par l’abandonner. Il se peut qu’à un moment donné un dernier changement soit apporté au projet mais l’auteur, à cet instant, ne sait pas qu’il s’agit du dernier. Comment déterminer la mort d’un projet ? Quand on n’y a plus travaillé activement depuis six mois ? Quand le nombre de ses utilisateurs cesse de croître, sans avoir dépassé celui des développeurs ? Et que dire d’un projet abandonné parce que ses développeurs, se rendant compte qu’ils reproduisaient un travail existant, se décident à rejoindre un autre projet pour l’améliorer en y intégrant une grande partie de leurs travaux précédents ? Le premier projet est-il mort ou a-t-il simplement changé d’adresse ?
http://www.framabook.org/docs/PLL/PLL_creative-commons-by-sa.pdf
De la sauvegarde au plan de reprise d’activité
Difficile aujourd’hui de nier le fait que les entreprises sont de plus en plus dépendantes de leur système d’information et par conséquent, de plus en plus menacées en cas de défaillance. Que ce soit dans le domaine de la sécurité liée aux attaques malveillantes ou plus simplement, lors de la perte de données ou de la panne d’un serveur, le risque est plus ou moins bien estimé, mais paradoxalement assez mal appréhendé. Le constat est simple : la mise en œuvre d’un plan de secours pour assurer la continuité de services, notamment dans les PME, est jugée trop complexe et coûteux. Autre constat alarmant, la plupart des entreprises qui possèdent un PRA (Plan de reprise d’activité), ne testent pas le processus de restauration, comme si la mise en place du système de secours ne pouvait pas subir lui même de défaillance et que le système d’information n’évoluait jamais.
http://portail-des-pme.fr/information-communication/1516-de-la-sauvegarde-au-plan
MSI pour réseau pédagogiques
Un site proposé par Olivier Berthonneau pour partager et regrouper des informations sur l’utilisation des package Microsoft Installer dans un réseau pédagogique.
Project Portfolio Management (PPM) apporte une
réelle valeur
Les partenaires et clients Microsoft présents à Barcelone ont témoigné sur la valeur du Management de Portefeuille de Projet (PPM) et tous en arrivent à la même conclusion: PPM apporte réellement de la valeur au business. Selon le Campana and Schott Group, PPM apporte de la valeur de 3 façons différentes : Il réduit les dépassements de délais (de 37% à 15%) et les dépassements de budget (de 25% à 11%) et augmente le pourcentage de projet qui apporte une vraie valeur économique à l’entreprise. Les meilleures entreprises qui utilisent le PPM le font non seulement pour standardiser les processus et les règles mais aussi pour être en position de réviser souvent leurs priorités si nécessaires en fonction des conditions business, ce qui leur donne un réel avantage compétitif. Il faut remarquer que PPM signifie des choses différentes selon les personnes et souvent amène à des implémentations un peu différentes qui amènent toutes de la valeur : implémenter un processus de priorisation des projets, prioriser les projets et simuler la valeur de différents scénarios pour prendre la meilleure décision ou optimiser l’utilisation des ressources de l’entreprise.
http://blogs.orange-business.com/live-france/2011/01/project-portfolio-management
Comment externaliser la gestion de ses e-mails
C’est une tendance qui ne cesse d’être confirmée : l’e-mail est un moyen de contact de plus en plus utilisé par les clients comme par les entreprises. Dans presque tous les secteurs, ce canal continue de gagner progressivement du terrain, aux dépens du canal téléphonique. Or, pour répondre à cette demande croissante, le recours à un prestataire externe suscite un engouement grandissant. En observant de plus près le phénomène, on s’aperçoit que l’externalisation prend tout son sens lorsque les entreprises ne peuvent (ou ne savent) pas gérer en interne ces flux de messages électroniques, qu’ils soient entrants ou sortants. L’appel à un outsourceur se fait dès lors que l’entreprise manque des compétences requises ou qu’il est plus économique – à court, moyen ou long terme – de recourir à des forces extérieures. Mais un constat s’impose : recevoir et envoyer des e-mails ne se fait plus à la légère et l’époque où cette tâche était dévolue aux stagiaires est bien révolue. Or, les outsourceurs se sont forgés une véritable expertise dans la gestion des flux de courriels, une gestion de plus en plus lourde et complexe. Mais pour réussir cette délégation, encore faut-il respecter certains principes.
http://www.e-marketing.fr/Relation-Client-Magazine/Article/COMMENT-EXTERNALISER
Sécurité de l’information, même les PME peuvent
être déstabilisées
L’investissement dans des dispositifs de sécurité (pare-feux, solutions anti-virus, techniques de chiffrement, alarmes, dispositifs biométriques…), mais aussi la formalisation de politiques de sécurité (gestion des mots de passe, des profils et des contrôles d’accès…) sont des éléments essentiels de la sécurité des entreprises. Pour autant, aucune entreprise ne peut se considérer définitivement à l’abri d’une fuite d’information, qu’elle soit délibérée ou non. Car trop souvent, on a tendance à considérer les mesures techniques comme la parade ultime et de fait infaillibles. Or il n’en est rien, il restera toujours un maillon faible : l’homme. A l’intérieur, comme à l’extérieur de l’entreprise. Peu importe les mesures et politiques de sécurité mises en place, leur efficacité repose principalement sur les bons comportements de l’utilisateur et le respect des procédures. Et dans les faits, toute organisation peut être victime de la négligence ou de la malveillance de ses collaborateurs ; certains diront que les règles sont faites pour être contournées, d’autres que ces règles nuisent à leur productivité… Les salariés ne sont d’ailleurs pas les seuls concernés, certains chefs d’entreprises peuvent aller jusqu’à eux-mêmes provoquer les dommages !
http://www.itespresso.fr/tribune-libre-securite-de-linformation-meme-les-pme-peuventl
Comment optimiser le suivi de ses commandes ?
Après avoir été parmi les premiers à développer la commande en ligne de bouquets, Florajet continue de s’affirmer en pionnier sur le marché de la transmission florale. Avec le concours d’Orange Business Services, cette PME déploie actuellement une solution de suivi des commandes sur terminal BlackBerry auprès de son réseau de fleuristes. L’utilisation de cette application va fluidifier le mode de fonctionnement au sein du réseau. Une fois la commande passée par téléphone ou Internet par le client, elle est automatiquement transmise sur le mobile-GPS du fleuriste le plus proche géographiquement du destinataire du bouquet. Les BlackBerry étant interfacés avec son système central de gestion, Florajet et son réseau de fleuristes peuvent alors suivre les commandes en temps réel et s’assurer des livraisons. Une vraie avancée par rapport à l’actuelle gestion des demandes par fax qui n’offre pas un tel niveau de précision pour la traçabilité. En envoyant des informations vers les fleuristes en « mode push », Florajet traite ses commandes avec un maximum de réactivité. Un avantage concurrentiel pour une PME dont la promesse est de livrer les bouquets en quatre heures partout en France. Cette solution permet enfin de prendre une photo du destinataire à la réception des fleurs, puis de l’envoyer vers la messagerie du commanditaire. La technologie se met alors au service de l’émotion.
http://www.blogs.orange-business.com/business_mag/2011/01/comment-optimiser
11 bonnes pratiques pour réduire son budget
informatique
Suite à la crise financière de 2008, près d’une direction informatique sur deux (42 %) a dû réduire fortement son budget 2009. Heureusement, la conjoncture s’est quelque peu améliorée en 2010, si bien que 83 % des DSI prévoient d’augmenter à nouveau leur budget en 2011. Cependant, la crise a laissé des traces : licenciements, arrêt de projets en cours, réduction des investissements. Les DSI continuent à se serrer la ceinture et les chantiers de réduction des coûts lancés en 2009 sont toujours d’actualité. Voici 11 conseils de professionnels pour réduire le coût de votre système d’information.
http://www.indexel.net/management/11-bonnes-pratiques-pour-reduire-son-budget