Dossier spécial
Pour une initiation
Sur ce site personnel, les deux premières rubriques consacrées à notre sujet, « Qu’est-ce que c’est ? » et « Technique de l’épigraphie » constituent une bonne introduction.
Le site propose en outre une dizaine d’exemples (une tombe d’enfant,un extrait du cadastre d’Orange, plusieurs inscriptions adressées à des dieux…) avec, pour chacun: une photo ou la retranscription du document, le développement de l’inscription, le lexique et, enfin, la traduction. Chacune de ces étapes nécessite un clic, si bien que tout n’est pas donné d’emblée : ce site semble donc tout à fait adapté à un usage direct avec les élèves.
http://cestboubou.free.fr/sommaire.htm
Même principe de présentation sur Lacus Curtius (en version un peu plus « adulte »… et en anglais ou en italien): photographie, puis, lorsqu’on clique sur l’ampoule, développement et traduction. Le site propose un corpus pour trois degrés de difficulté.
http://www.ukans.edu/history/index/europe/ancient_rome/E/Roman/Texts/Inscriptions/home.html
Un outil remarquablement utile aux débutants comme aux confirmés: une table alphabétique des abréviations épigraphiques.
http://asgle.classics.unc.edu/abbrev/latin/
Une bibliographie de premier secours :
http://www.ac-versailles.fr/pedagogi/Lettres/bibepigr.htm
Des inscriptions sur le net
Le site qui s’impose est celui d’Alain Canu: On pourra commencer par lire les précieuses mises au point illustrées sur des sujets qui donnent lieu à de nombreuses inscriptions: les carrières sénatoriales et équestres sous l’Empire, les tria nomina et la titulature impériale. On trouve ensuite un catalogue d’inscriptions classées en rubriques (épitaphes, monuments…) et sous-rubriques (épitaphes de gladiateurs, d’enfants, de soldats…).
ATTENTION, utilisez Internet Explorer; avec Netscape, certains liens sont inopérants.
http://www.noctes-gallicanae.org/Epigraphie/sommaire.htm
Un choix de liens opéré par l’indispensable François Giroud: des études approfondies sur des inscriptions de toutes régions, parmi lesquelles « une nouvelle inscription lyonnaise concernant un naute du Rhône » ou « A propos d’un décurion de Lodève ».
http://www.retiarius.org/dos/epig.php
Le Professeur Clauss de l’université de Francfort a constitué une impressionnante banque de données d’inscriptions latines. Le site (en allemand ou en anglais) propose un moteur de recherche en fonction notamment de la province ou des termes employés. Les inscriptions sont données sous forme développée.
Ce site, d’aspect un peu austère, semble particulièrement intéressant lorsqu’on veut établir un corpus d’inscriptions destinées, par exemple, à une même personne ou divinité.
http://www.rz.uni-frankfurt.de/%7Eclauss/
Séances et séquences pour la classe
Marc Campana (académie d’Amiens) présente une étude détaillée de plusieurs inscriptions funéraires.
http://www.ac-amiens.fr/academie/pedagogie/lettres/Latgrec/inscriptions_funeraires.htm
L’étude des inscriptions et graffiti de Pompéi est une étape de ce projet original qui propose une comparaison des images du jeu « Pompei: la colère du volcan » avec des reconstitutions et images de ruines de Pompéi.
http://www.dfj.vd.ch/gybur/BRANCHES/latin/POMPEI/index.htm
Sur Pompéi toujours, rappelons la travail de Christine Tasin qui amène les élèves à traduire une douzaine d’inscriptions:
http://webpublic.ac-dijon.fr/pedago/lettres/espapro/pedago/langanc/col/pompei/pompei.htm
Un questionnaire qui invite à déchiffrer le texte figurant sur la colonne Trajane:
http://www.ac-versailles.fr/pedagogi/Lettres/ctrajane.htm
Pour aller plus loin
Une bibliographie extrêmement complète est disponible sur le site de la BCS:
http://bcs.fltr.ucl.ac.be/EpiD2.html