Le fils du printemps, de Cristovão Tezza – Traduit par Sébastien Roy – Cristovão Tezza nous raconte l’histoire d’un père et de son fils trisomique. Sans aucune trace de sentimentalisme ou de commisération, le discours du narrateur sur le père est surprenant. Entraîné par l’analyse sèche des sentiments intimes et des émotions avortées, le lecteur découvre l’originalité de ce point de vue qui transforme l’expérience humaine en littérature. Le père du petit Felipe n’a pas de nom, il a été hippie, a fait du théâtre, est un écrivain qui accumule les refus d’éditeurs, vit aux crochets de sa femme, dans une position d’adolescent prolongé. La naissance d’un enfant atteint du syndrome de Down va le placer en face d’une réalité qui le remet en cause. La distance littéraire exceptionnelle de ce texte a valu à l’auteur les prix les plus prestigieux de la scène littéraire brésilienne – Editions Métailié – septembre 2009 – 204 pages – ISBN-10: 2864246910 – ISBN-13: 978-2864246916 – 17€
Nos derniers articles
Retrouvez sur cette page une sélection de 10 ressources pédagogiques relayées cette semaine dans le Café pédagogique. Un utile panorama d’outils numériques pour la classe La Drane de la
Retrouvez sur cette page une sélection de 10 articles sur l’actualité de l’éducation publiés cette semaine. Une professeure porte plainte contre Nicolas Sarkozy pour diffamation et préjudice moral « J’ai
« C’est une attaque syndicale inadmissible et une remise en question de la liberté d’expression syndicale » explique Patrice Chapat après la commission administrative paritaire académique (CAPA) qui s’est tenue vendredi 15 novembre.
Si les arguments de fond contre les groupes de niveaux ne manquent pas, c’est un argument de forme qui a été retenu par le Conseil de l’Etat qui pourrait annuler
« S’orienter cela s’apprend » dit Frédérique Alexandre-Bailly, la directrice générale de l’Onisep. L’orientation est une préoccupation majeure et partagée par les familles, les équipes pédagogiques et les élèves. Elle est un
Si beaucoup de professeur.es quittent ou aimeraient quitter la profession, exprimant une fatigue, d’autres embrassent le métier de professeur.e dans une seconde carrière. Et avec plaisir. Le Café pédagogique s’entretient