A l’occasion de la journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes, la FSU affirme son engagement pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles et « une culture du viol encore prégnante dans notre société ». Elle rappelle le contexte du procès des 51 violeurs de Gisèle Pélicot. Pour elle, « le rôle du service public de l’Éducation est central pour la prévention. L’indispensable éducation à la sexualité et à la vie affective doit permettre d’identifier les victimes et de lutter contre les violences sexistes et sexuelles en déconstruisant les stéréotypes qui objectivent les corps des femmes et des filles ».
La FSU exige 2,8 milliards d’euros pour une loi intégrale et exige une politique publique et des actions concrètes. La FSU a publié un livret « pour faire connaître les droits statutaires en matière de sécurité au travail et les responsabilités et obligations des employeurs pour faire cesser les violences ».