« La formation continue est un droit (loi de 1971) et un devoir (référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation de 2013). Nous y tenons ! », écrit l’APHG. L’association des professeurs d’histoire-géographie réagit aux annonces concernant la réforme de la formation continue. « Quels que soient les ingénieux subterfuges qui ne manqueront pas d’être mis en place (capsules, visioconférences sur l’heure méridienne, en fin d’après-midi, formations indemnisées pendant nos vacances ou communication mensongère pour rassurer le grand public ?), comment imaginer former solidement les enseignants sans le recours aux stages qui nous ont tant apporté et qu’il était déjà si difficile de décrocher, deux jours par an – et ce, alors même que le volume des heures dédiées à la formation disciplinaire initiale, dans le cadre des masters MEEF, est régulièrement réduit ?… Comment mieux signifier le peu d’estime que manifeste le gouvernement pour notre profession ? » L’APHG » se montrera particulièrement vigilante aux annonces et mesures qui viendraient menacer le droit à une formation continue exigeante ».
Voir aussi : la recette de la Cour des Comptes