« Les élèves de LP ont plus que les autres pâti de la fermeture des établissements et des difficultés liées à la mise en oeuvre de la continuité pédagogique », écrivent dans un communiqué commun une large intersyndicale (CGT Éduc’action, SE UNSA, SNALC, SNETAA FO, SNUEP FSU, SUD Éducation). « Ces élèves dont une majorité est issue des milieux populaires et confrontée à des difficultés économiques, sociales et familiales sont parmi les principales victimes de la fracture numérique et un grand nombre d’entre eux·elles sont aujourd’hui décrocheur·euses ». L’intersyndicale demande la remise en question des familles de métier, une réforme récente qui réduit le nombre des secondes professionnelles et remplit de façon maximale les classes en regroupant les spécialités. « Il faut redonner du temps à l’enseignement disciplinaire pour rattraper le retard pris dans les cursus menant aux diplômes. Ce temps peut être trouvé par l’allègement des dispositifs introduits par la réforme de la voie professionnelle.. Cette augmentation des capacités d’accueil demande des moyens humains qui se traduisent par plus de personnels présents dans les établissements, à tous les niveaux. Ces postes doivent être budgétaire ».
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