Dans son numéro 70, « Recherches », revue de didactique et de pédagogie du français, pose la question des connivences. « La détection et la prise en compte par l’enseignant de ces phénomènes connivents, qu’ils soient relationnels, socioculturels, langagiers ou liés aux implicites scolaires et aux savoirs plus ou moins partagés, peuvent aider à penser l’enseignement et à mettre en place des dispositifs d’apprentissage. » Quelques exemples : Florence Charles éclaire la place de la connivence dans la réception par 4 classes différentes d’un même album humoristique, Catherine Mercier montre comment faire repérer aux élèves dans les fables les clins d’œil de l’auteur pour les amener eux-mêmes à les mettre en œuvre, Sophie Dziombowski crée dans la classe une forte complicité lexicale à travers le dispositif « adopte un mot » et sa déclinaison poétique …
La connivence au cœur des apprentissages ?
