Par Olivia Poivre
- Les profs documentalistes divisés sur le numérique
- Une éducation aux médias « renouvelée »
- Les Cdi et l’ère du numérique
- Moocs : premier retour d’expérience
- De nouveaux thèmes pour les Tpe
60 % des professeurs documentalistes estiment qu’il serait bon d’instituer un enseignement de l’information-documentation assuré par le professeur documentaliste, révèle une enquête réalisée par la Fadben. Elle a porté sur plus d’un millier de professeurs documentalistes répartis entre collèges et lycées.
Selon elle, « la moyenne hebdomadaire de séances avec des groupes classes, avec ou sans collaboration, est de 7 heures, avec des écarts entre collège (7,6 h) et lycée (6 h) ou lycée professionnel (5,7 h). « En ce qui concerne les questions posées sur l’avenir de la profession », note encore la Fedben, « la première interrogation est sujette à un important débat. Ainsi, si près de 40 % des professeurs documentalistes sont favorables à la prise en charge des fonctions de « référent pour les usages pédagogiques numériques », 40 % y sont opposés, tandis que près de 20 % ne se prononcent pas.
L’enquête
http://www.fadben.asso.fr/Professeurs-documentalistes-et.html
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Jeudi 13 décembre, à la Gaïté Lyrique, Vincent Peillon, le ministre de l’éducation nationale a présenté sa stratégie pour « Faire entrer l’école dans l’ère numérique ». Le changement porte notamment sur l’éducation aux médias et à l’information, éducation qui, selon lui, conditionne l’accès à tous les autres savoirs. Il faut « repenser globalement ce que doit être une éducation aux médias adaptée aux supports et outils de communication contemporains, et en particulier à définir les nouvelles compétences et connaissances nécessaires à une véritable maîtrise de l’information». C’est une belle idée qui pourrait bien nous intéresser. Qui va s’en occuper et quelle place pourraient avoir les professeurs documentalistes dans cette éducation aux médias « renouvelée » ?
Comprendre le monde numérique
Non seulement l’éducation aux médias doit permettre aux élèves de « comprendre et d’avoir un regard critique sur les contenus des médias » mais elle doit aussi « leur faire acquérir les connaissances et les capacités à créer avec ces technologies, à co-construire leurs savoirs, à partager leur production, à communiquer, en pleine conscience de leur responsabilité sous leur identité numérique ». Dans cette école refondée imaginée par le ministre, les élèves doivent avoir la possibilité de « maîtriser et comprendre les outils qu’ils utilisent chaque jour » et d’acquérir de nouvelles connaissances et compétences pour vivre dans notre société où la technologie évolue rapidement. L’éducation aux médias « renouvelée » serait partagée par tous les enseignants, introduite dans les programmes d’enseignement… et le professeur documentaliste ?
Un rôle sous-estimé du professeur documentaliste
Deux documents laissent à penser que le rôle pédagogique du professeur documentaliste dans l’éducation aux médias et à l’information n’est pour l’instant pas vraiment pris en compte.
Petit retour en arrière : En mars 2012, la Fadben publiait son manifeste militant pour la reconnaissance de la mission pédagogique des professeurs documentalistes. En septembre 2012, une question parlementaire, mentionnant le manifeste de la Fadben, était posée sur la reconnaissance et la formalisation des contenus d’enseignement des professeurs documentalistes. Ce mois ci, la réponse à la question ne laissait planer aucun doute. Pour résumer, cette réponse rappelle que l’éducation aux médias est dans tous les programmes, que le professeur documentaliste fait partie de l’équipe pédagogique et qu’il lui appartient d’inscrire sa progression dans la politique documentaire de l’établissement et de prendre appui sur les enseignements et les dispositifs. En d’autres termes : débrouillez-vous, la situation actuelle ne change pas.
Le second document minimisant le rôle du professeur documentaliste dans l’éducation aux médias est un projet de référentiel de compétences professionnelles des professeurs documentalistes. Ce référentiel entre dans le cadre de la mise en place des Ecoles supérieures du professorat et de l’éducation (ESPE) et devrait permettre de fixer les compétences attendues des futurs enseignants. Dernièrement, les syndicats et la Fadben ont été invités par la DGESCO et la DGRH pour échanger autour ce projet…
Ce qui est attendu du professeur documentaliste
Dans ce projet de référentiel, le professeur documentaliste est le « garant » de l’éducation aux médias et à l’information. Comment doit-on comprendre ce terme de « garant » ? Il participe à la mise en œuvre de l’éducation aux médias et à l’information dans l’établissement en concertation avec les équipes pédagogiques. Les compétences attendues sont d’identifier « les apprentissages propres à l’éducation aux médias et à l’information à mettre en place et les compétences à faire acquérir aux élèves » et de « définir une stratégie pédagogique permettant la mise en place des objectifs de l’éducation aux médias et à l’information ». Le professeur documentaliste est juste là pour prêter main forte aux enseignants. Il « coopère », « contribue », « facilite », « accompagne », etc… en fournissant le contexte et les aides nécessaires aux enseignants et aux élèves et en veillant à une cohérence des apprentissages. Le professeur documentaliste n’est pas en charge de cette éducation : il veille à son bon déroulement. Il peut cependant lui arriver d’intervenir auprès des élèves, à la demande des enseignants ou de sa propre initiative, mais ce sera seulement « à travers des situations pédagogiques correspondant aux objectifs des programmes des diverses disciplines ». Comme d’habitude, le professeur documentaliste reste fortement dépendant du bon vouloir de ses collègues. Mais ce projet de référentiel, qui comporte de nombreux autres points fâcheux non mentionnés ici, n’est pour l’instant qu’un projet. Il est en cours de construction et sera sûrement modifiés suite à la consultation des syndicats et de la Fadben. Pas de panique mais restons tout de même vigilants…
Où le changement doit-il se situer ?
Que ce soit dans la réponse du ministère à la question parlementaire ou dans le discours de V. Peillon, l’éducation aux médias serait facilitée par les ressources et les espaces. Elle « trouvera les moyens de s’exercer dans des espaces documentaires repensés, accessibles tout au long de la journée ; elle sera l’occasion de développer l’autonomie et la responsabilité des élèves dans des activités de recherche, de production et de communication. » et il faut « offrir des ressources variées, imprimées et numériques, au sein d’espaces de ressources dans des espaces où les élèves peuvent se cultiver, satisfaire et développer leur curiosité, effectuer leur travail scolaire, lire et écrire… ». Les centres de connaissances et de culture pointraient-ils encore le bout de leur nez ?
Il est étonnant que l’on veuille développer une éducation aux médias et à l’information « renouvelée » sans s’appuyer plus fortement sur le professeur documentaliste. Certes, l’éducation aux médias et à l’information se situe transversalement à toutes les disciplines scolaires mais l’intégrer dans les différents programmes d’enseignement est-il vraiment suffisant ? Sera-t-elle réellement dispensée, partagée par tous, dans toutes les classes et tous les établissements ? Ne va-t-on pas faire l’impasse ou la survoler parce que le temps manque, qu’il faut boucler le programme ou que tel ou tel examen est bien plus important ?
Il n’est pas possible de vouloir développer une réelle et solide éducation aux médias et à l’information uniquement en l’intégrant dans les programmes, en fournissant des ressources et en permettant un accès à ces ressources n’importe où et n’importe quand. Il faut plus que cela. Si l’on veut se donner les moyens d’une éducation aux médias et à l’information « renouvelée », nous pouvons peut-être commencer par utiliser les moyens humains existant déjà dans chaque établissement : le professeur documentaliste. L’éducation aux médias est quand même une de ses préoccupations majeures, elle est au cœur de ses missions et il a même été formé pour cela ! Faire du professeur documentaliste le super pilote de la mise en œuvre de l’éducation aux médias, le veilleur de son bon déroulement, pourquoi pas, mais le partage n’est pas équitable. Comme ses collègues, le professeur documentaliste doit pouvoir bénéficier d’un temps pour transmettre ses savoirs, un temps bien défini, institué qui lui permettrait de travailler sans être dépendant de ses collègues et de programmer sereinement ses enseignements.
Il ne s’agit pas de lui confier la totalité de l’éducation aux médias et à l’information, il s’agit juste de réellement partager cette éducation entre tous, professeur documentaliste compris parce que c’est lui aussi un enseignant. On connaît la situation actuelle des professeurs documentalistes, leur difficulté à travailler régulièrement avec toutes les classes ou à respecter une progression faute de temps ou d’élèves… il ne faudrait pas que l’histoire se répète.
L’article de l’Expresso du Café Pédagogique à l’occasion de l’intervention du Ministre
http://cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2012/12/14122012Ar[…]
Sur le site du ministère, le dossier de presse
http://www.education.gouv.fr/cid66449/faire-entrer-l-ecole-dans-l[…]
Le discours de V. Peillon
http://cafepedagogique.net/lexpresso/Documents/docsjoints/Di[…]
Sur le site de l’Assemblée Nationale, question parlementaire et réponse du ministère
http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-3988QE.htm
Le projet de référentiel des compétences professionnelles des professeurs documentalistes
http://cafepedagogique.net/lemensuel/lenseignant/documentation/[…]
Sur le site du snes, un article sur le projet de référentiel
http://www.snes.edu/Professeur-documentaliste-le.html
Sur le site du Se-Unsa, un article sur le projet de référentiel
http://www.se-unsa.org/spip.php?article5284
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« Ce qui a le plus changé au cours des vingt dernières années concerne deux points essentiels qui remettent en cause le CDI : la dématérialisation/délocalisation, la complexification ». Bruno Devauchelle revient sur le rôle pionnier des CDI dans l’informatisation. La montée en puissance de la numérisation et des réseaux remet en question le rôle des CDI. « Le numérique apporte de l’incertain de l’inattendu, de l’inconnu dans un univers, le monde scolaire, qui par définition tente de s’y opposer. Les professeurs documentalistes sont désormais en première ligne face aux jeunes ».
Parmi les premières fonctions qui ont été informatisées au sein de l’établissement scolaire, le centre de documentation figure en bonne place. Dès le début des années 80 les tiroirs de fiches cartonnées ont été progressivement mis au rebut et remplacées par l’ordinateur. A peine les ordinateurs avaient-ils envahi les bureaux de l’administration qu’ils ont aussi pris place sur le bureau d’accueil des CDI. Depuis cette époque, l’informatique, puis le numérique n’a eu de cesse d’envahir la société et les CDI sont devenus des « terres d’accueil » de ces machines encombrantes qui concurrençaient l’espace dédiés presqu’exclusivement au livre. Le développement des salles informatiques dans des lieux éloignés du CDI a parfois été un objet de discussion surtout lorsqu’elles concurrençaient la fonction d’accès à l’information. Inéluctablement la généralisation numérique a concerné non seulement la « gestion de stock », non seulement l’accès à quelques ressources numérisées. Rappelons que les premiers CD ROM multimédia se diffusent à partir du début des années 1990 et qu’Internet se généralise progressivement dans les établissements à partir de 1995 et surtout à l’aube du XXIè siècle. L’un des rôles clés du CDI a été aussi et depuis longtemps, l’éducation aux médias. Face à l’envahissement des médias de masse, en particulier la télévision, l’importance de cette mission est allée croissante et l’arrivée du numérique n’a fait que l’enrichir, la diversifier, mais aussi la redéfinir.
Dans cette mission de mise en contact direct avec les « documents », instituée en 1974, il y a quelque chose de précurseur. L’impulsion de ce développement porte en elle le projet qu’Internet, vingt années plus tard viendra confirmer : la mise en relation directe de l’individu avec le document (sous toutes ses formes) sera au coeur de l’éducation. Non seulement le document est devenu accessible en tout lieu et en tout temps, mais son accès s’inscrit dans un potentiel relationnel porté par le deuxième pilier du numérique : la communication, l’interaction humaine. Là encore, la logique institutionnelle de définition du CDI a bien pris en compte cette possibilité (même si c’est à voix basse) et les lieux se prêtent à cette possibilité que la classe traditionnelle interdit a priori. Ce qui a le plus changé au cours des vingt dernières années concerne deux points essentiels qui remettent en cause le CDI : la dématérialisation/délocalisation, la complexification.
– Les livres, les supports traditionnels du savoir ont une matérialité lourde (de la pierre au papier, un livre reste lourd à transporter). La numérisation des contenus de ces supports en a rendu l’accès beaucoup plus facile et le stockage beaucoup moins encombrant. Le passage d’un lieu consacré aux supports papier (principalement) à un lieu numérisé pose la question même de l’existence d’un lieu, d’une localisation. S’il n’y avait le potentiel pédagogique spécifique du lieu et de son organisation, il est probable qu’il serait appelé à disparaître à assez brève échéance. Mais ce n’est pas qu’un lieu c’est aussi une fonction essentielle : celle de médiation, médiatisation. Les possibilités du numérique mobile, appuyés par les logiques informatiques de disponibilité en tout lieu et en tout temps, touchent inévitablement les fondements même de cet espace « privilégié » et les acteurs qui y travaillent.
– Etre en contact direct avec des documents ne pose pas de problème tant que ces documents sont choisis et structurés pour l’institution dans laquelle ils sont utilisés. Le CDI a longtemps participé de la « scolarisation des savoirs » de par ses missions et ses moyens. Dès lors que le contrôle amont des documents n’est plus possible, apparait l’extrême complexité des documents dont on ne sait ni d’où ils viennent, ni quand ils ont été élaborés etc. De plus la prééminence de l’écrit imprimé dans l’ensemble des supports a été remplacée par des documents multimédias aux codes pas toujours stabilisés, aux grammaires complexes, et aux polysémies nombreuses. En d’autres termes, l’éducation aux médias et à l’information (EMI) devient un enjeu central. Il dépasse largement les limites de l’Ecole, ne se réduit pas à des techniques informatiques ou documentaires pas plus qu’au sens critique ou à la citoyenneté. Le numérique a fait entrer de la complexité dans l’Ecole, le CDI est au premier chef concerné par les tensions que cela engendre dans l’ensemble du système scolaire.
L’inexorable montée en puissance de l’édition numérique multimédia interactive, associée à des environnements numériques de travail, relayée par des pratiques sociales centrées de plus en plus sur des terminaux mobiles connectés ne peut rester sans conséquences. La récente mise en place de logiciels de documentation en ligne, puis de portails documentaires (de type e-sidoc) fait écho au développement des moteurs de recherche et des outils de syndication et de curation. On peut penser qu’une lutte s’est engagée, surtout si l’on suit les débats des professionnels du secteur. Mais il faut ici interroger plus largement les conséquences de cette évolution et sortir d’une vision par trop analytique qui ferait d’une analyse en silo de chacune des parties une vision globale du système. Derrière cette question du numérique et du CDI se trouve la question du rôle de la scolarisation dans la société. En proposant d’aller vers une dénomination nouvelle (CCC, Centre de culture et de connaissance), le ministère de l’éducation tente d’entraîner l’ensemble du système à une réflexion globale et à moyen terme. Cette réflexion porte aussi bien sur les cloisonnements disciplinaires (inexistants au CDI) que sur le sens des apprentissages dans un contexte scolaire renouvelé par le numérique.
On peut aisément comprendre les inquiétudes légitimes des personnels de documentation, enseignants « comme les autres », mais enseignants « pas comme les autres ». L’évolution de l’environnement info-documentaire et communicationnel a touché non seulement les supports, mais aussi les usages et les comportements des utilisateurs. Quand à l’entrée d’une bibliothèque universitaire (ou de certains CDI) le premier mot qui croise le regard est celui « d’exclusion » à la suite d’une liste de comportements qui associent la consommation de nourriture à l’usage non modéré des outils numériques, et quand on regarde l’attitude des jeunes vis à vis de leur environnement on ne peut que comprendre qu’il soit très délicat, en ce moment, de tenir une posture assurée. Car au fond, le numérique apporte de l’incertain de l’inattendu, de l’inconnu dans un univers, le monde scolaire, qui par définition tente de s’y opposer. Les professeurs documentalistes sont désormais en première ligne face aux jeunes, avant même qu’ils ne soient élèves. Tant qu’ils y resteront seuls, leur mission ne pourra être comprise. Le numérique impose de repenser l’organisation scolaire dans sa globalité. Il ne peut avoir une place différente au CDI et dans les autres espaces de l’établissement si l’on veut qu’il fasse sens. L’enjeu des prochaines années est probablement de concilier les deux univers principaux : celui de la classe et celui de la relation au document. Cela ne peut se faire séparément : d’une part les enseignants documentalistes séparément des enseignants des autres disciplines et de l’organisation scolaire; d’autre par le monde scolaire de la réalité sociale environnante et des nouveaux modes d’apprendre qui s’imposent chaque jour un peu plus. Si invention pédagogique il peut y avoir, avec le numérique, on peut penser qu’avec le CDI, ou les CCC, il y a d’abord à inventer.
Bruno Devauchelle
Toutes les tribunes de B Devauchelle
http://cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/2012_BDev[…]
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Quel avenir pour les MOOCS ? Ces dispositifs d’enseignement à distance connaissent un grand succès actuellement dans le supérieur et même dans le secondaire. Une étude britannique portant sur l’université d’Edimbourg, citée par le BE Royaume Uni, recadre nettement le sujet.
En effet, l’efficacité des MOOCS est revisitée par cette enquête. Elle établit que » seulement 12% des étudiants inscrits ont passé avec succès l’ensemble des évaluations ». Une efficacité faible mais qui doit tenir compte du fait que les MOOCS de l’université d’Edimbourg ont attiré plus de 300 000 étudiants ce qui est considérable.
Ce que relève l’étude c’est la très forte hausse du volume de travail des enseignants qui » passe du simple au double ». « L’aspect auto-géré d’un Mooc s’avère trompeur, car une fois le cours initié, il demande en fait d’avantage de temps à ses administrateurs. A titre d’exemple, le rythme requis de huit heures par semaine pendant les cinq mois de préparation du cours de e-learning a quasiment doublé pendant les cinq semaines du programme ». L’étude revient aussi sur la pédagogie utilisée : il faut moins de cours vidéo et finalement davantage d’enseignement a distance traditionnel même si cela ne plait pas aux étudiants. De la même façon, le rapport relève que » le ratio professeur élève était de un pour 8000, et, quelle que soit l’ardeur avec laquelle le professeur interagit sur les forums, il n’en résulte qu’un faible ressenti du côté des élèves ». L’évaluation des élèves, qui prennent souvent le cours en route, pose aussi problème.
L’étude
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/73110.htm
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« Individuel et collectif » s’impose comme un thème nouveau dans les 3 séries L, S et ES. En ES c’est « l’argent » qui fait son entrée. En L « Lumière, lumières » et en S « Matière et forme ».
Au BO
http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officie[…]
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