L’UNSA veut une autre formation pour les enseignants…
La masterisation a-t-elle un avenir ?. »
Evaluation des enseignants : Confusion et anxiété devant les procédés du ministère l Evaluation des enseignants : de mauvaises solutions pour un bon problème l Non-titulaires : La CFDT fait le point l Privé : La FEP s’associe à la journée du 19 mars l Mutation des inspecteurs l Une semaine dans la tasse de l’Expresso.
A Paris les métiers à l’honneur l Olympiades des métiers : Le rôle des experts.
La circulaire sur l’absentéisme publiée au B.O. l Le ministère publie la circulaire sur le DIMA.
La médiation linguistique l Les champs disciplinaires interrogés par une conférence de consensus.
Les nouveaux acteurs dans la conduite des politiques éducatives nationales l Pairform@nce : Quelle évaluation ? …
Une circulaire définit l’épreuve anticipée d’histoire-géo au bac S l SES : L’Apses organise des Etats généraux le 5 février l Arabe : Un nouveau site national de Langue et culture arabes l Berlin capitale des maths.
Le fait du jour
L’UNSA veut une autre formation pour les enseignants
Tirant le bilan de l’échec de la formation des enseignants mise en oeuvre dans le cadre de la masterisation, les syndicats de l’UNSA Education (Se-Unsa, SIEN, SNPDEN, Sur Recherche etc.) et la fédération Unsa Education ont présenté le 3 février un projet de formation des enseignants qui permette de concilier le master et une formation professionnalisante dont la nécessité est apparue évidente même à l’Elysée.
Pour l’Unsa, le système actuel de formation des enseignants, la masterisation, est en échec et celui-ci génère souffrances et dysfonctionnements dans le système éducatif à un point tel qu’il est urgent de la « rebâtir ». En même temps, Patrick Gonthier, secrétaire général de l’Unsa Education, a insisté sur la volonté de son syndicat de faire des propositions réalistes, tenant compte de la situation actuelle et ouvertes au débat.
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La masterisation a-t-elle un avenir ?
Quelques mois après sa mise en place, l’Unsa n’a pas de mal à montrer l’échec de la masterisation, ce nouveau dispositif de formation des enseignants. Le syndicat a-t-il raison de le croire amendable ?
Fruit de négociations laborieuses et pas toujours transparentes entre le gouvernement et les syndicats, le nouveau dispositif de formation des enseignants par la masterisation est clairement en échec. Cet échec se lit, comme le démontre l’Unsa éducation, dans les souffrances des enseignants stagiaires , les tensions de toutes sortes générées dans le système éducatif et surtout dans l’effondrement du nombre de candidats. Celui-ci est non seulement massif (en gros baisse de moitié) il est aussi durable comme le montre le nombre d’inscrits en master. En voulant élever la qualification des enseignants, le ministère s’est mis dans la situation de transformer un concours exigeant en un simple examen, le nombre de candidats correspondant à peu près au nombre de postes dans plusieurs disciplines.
L’alternance est-elle une solution ? Face à cette situation, l’institution croit avoir trouvé la solution dans le développement de formations au master par alternance. C’est ce que nous affirmait le recteur de Versailles, Alain Boissinot, le 19 janvier. Pour lui, la solution c’est de négocier avec les universités la construction de vrais parcours de formation conjuguant professionnalisation et enseignement universitaire. « Dans mon académie j’ai installé des groupes de travail avec les universités », expliquait A. Boissinot. « On va proposer de vrais parcours de formation en alternance ». Mais pour l’Unsa, si ce dispositif est effectivement une réponse au problème, ce ne peut être qu’une réponse partielle conduisant à un concours spécifique. L’alternance ou l’apprentissage suppose un contrat de travail et le nombre de contrats d’assistants d’éducation est insuffisant pour répondre aux besoins du système éducatif.
Réformer le master. Pour l’Unsa la masterisation peut être sauvée en réorganisant le parcours universitaire des futurs profs, en organisant l’accessibilité en fin de M1 et l’admission en fin de M2 et en instituant une formation professionnelle tout au long de la formation, de L3 au post-concours. La proposition est intéressante et peut en effet permettre une formation équilibrée des enseignants associant un haut niveau disciplinaire à une bonne préparation à l’enseignement.
La masterisation est-elle viable ? Pourtant elle ne répond pas à la question socio-économique posée par la masterisation. D’une part la masterisation allonge la durée de formation universitaire des enseignants. Elle écarte ainsi du métier une partie des candidats qui n’a pas les moyens financiers de s’offrir des études allongées. Surtout on ne voit pas ce qui pourrait amener de jeunes diplômés d’un master à opter pour l’enseignement. Hisser l’enseignement à ce niveau c’est le mettre en concurrence avec des carrières de cadres nettement plus attractives. Pour dire les choses plus clairement, sans une réelle revalorisation salariale des enseignants et une politique de soutien financier aux études, le recrutement des enseignants au niveau du master restera très difficile pour ne pas dire impossible. Le ministère a perçu cela en accordant une revalorisation de début de carrière. Mais elle est tout à fait insuffisante pour attirer des candidats issus de familles favorisées et qui peuvent prétendre à d’autres ambitions. Aujourd’hui l’accès au métier est barré aux enfants des familles populaires par l’allongement de la durée des études. Pour les enfants des familles favorisées, les perspectives professionnelles sont dérisoires par rapport à l’investissement que représente le master et aux perspectives qu’il ouvre. Si on veut revenir sur l’échec de la masterisation, il ne suffira pas d’améliorer le cursus de formation. Il faudra aussi se décider à donner aux enseignants des salaires et des conditions de travail de cadre.
Evaluation des enseignants : Confusion et anxiété devant les procédés du ministère
De rectifications en précisions, on commence à y voir un peu plus clair dans la nouvelle politique d’évaluation des enseignants que le ministère veut mettre en place. Reste que la façon extraordinairement brouillonne et violente avec laquelle les choses sont menées ne cesse de nuire au dispositif envisagé.
L’envoi à quelques dizaines d’établissements d’un courrier de la direction des ressources humaines du ministère annonçant la mise en place de bilans de carrière en urgence a suscité de nombreuses réactions syndicales, des inquiétudes, des démentis ministériels, des explications. Au bout du compte la volonté ministérielle se dessine.
Pacte de carrière. L’administration proposera aux enseignants ayant 2 ans et 20 ans d’ancienneté des « entretiens de carrière » en mars avril, le dispositif annoncé dans le courrier ministériel étant considéré comme une « phase de test ». L’entretien après deux ans sera l’occasion de « vérifier la maitrise dans l’exercice du métier ». Après 20 ans, il portera sur « une éventuelle mobilité fonctionnelle ». Ces entretiens, qui s’inscrivent dans le « pacte de carrière » voulu par Luc Chatel, seront réalisés par l’inspecteur dans le primaire ou le conseiller pédagogique (CPC) ou même le directeur d’école. Mais de sources syndicale on annonce que le ministère revient sur la participation des CPC et directeurs. Dans le secondaire c’est le chef d’établissement qui en sera chargé.
Une nouvelle évaluation. D’autre part, à partir de 2012, un nouveau dispositif d’évaluation des enseignants sera mis en place en remplacement dela notation actuelle. Il reste à définir mais il pourrait se rapprocher de l’entretien de carrière puisque le courrier envoyé par le ministère l’affirmait.
Une démarche contre-productive. Le Snuipp demande aux enseignants de ne participer à ces entretiens que s’ils sont volontaires. Il demande aux CPC et directeurs de refuser de les faire. Du coté de l’UNSA, le SNPDEN, syndicat des chefs d’établissement, estime que l’idée de ces entretiens n’est pas révoltante en soi.C’est déjà ainsi que sont évalués les chefs d’établissement. Mais il ne voit pas comment techniquement il sera possible de passer de la gestion de masse des enseignants à une gestion individuelle. P Roumagnac, pour le SIEN, syndicat d’inspecteurs, « le fait de mener de tels entretiens ne s’improvise pas et ni les chefs d’établissement, ni les inspecteurs ne sont formés pour cela. La généralisation brutale de la démarche apparait donc totalement contre-productive ». Après l’expérimentation surprise, le ministère vient d’inventer l’évaluation à la hussarde. Qui évaluera sa précipitation brouillonne, sa brutalité, sa capacité à créer le désordre, son incapacité à négocier et mobiliser ?
Evaluation des enseignants : de mauvaises solutions pour un bon problème
A la suite des révélations du Café sur les projets de retirer l’évaluation des enseignants aux inspecteurs, Pierre Frackowiak revient sur le problème de l’évaluation, et analyse les dangers qu’une telle réforme ferait encourir à l’Education Nationale, et plaide pour un processus plus concerté et plus soucieux de faire progresser le système.
« Il était nécessaire et même urgent de réformer l’évaluation des enseignants. Il était nécessaire de redéfinir les missions des enseignants. Il est incontestable qu’il n’y a pas de projet alternatif sur ce problème complexe, ni dans les syndicats, ni dans les projets politiques (hors l’UMP). Il aurait été d’autant plus souhaitable d’engager une concertation, une réflexion collective avec des experts, avec les enseignants et avec les inspecteurs et chefs d’établissement. Il aurait été souhaitable de prendre le temps de mettre en œuvre l’intelligence collective, de consulter les parents et les partenaires de la communauté éducative. Une fois de plus, les choses se font dans la précipitation, dans la recherche d’effets d’annonces, dans le bricolage au coup par coup alors que notre pays a besoin d’un grand projet éducatif neuf, cohérent, réellement et clairement inscrit dans un projet de société lisible et mobilisateur. »
Lisez la tribune de Pierre Frackowiak
Non-titulaires : La CFDT fait le point
La CFDT fait le point sur les négociations avec le ministre de la fonction publique sur la titularisation des non-titulaires après les réunions de décembre et des 19 et 26 janvier.
Privé : La FEP s’associe à la journée du 19 mars
« Les coupes vont être saignantes » annonce la Fep Cfdt, premier syndicat du privé sous contrat, dans un communiqué du 3 février. Le syndicat appelle les enseignants du privé à participer à la journée d’action organisé par le collectif « L’éducation est notre avenir » le 19 mars. La FEP s’associe également à la journée de grève et de manifestation lancée par la FSU le 10 février. Un préavis a été déposé.
Mutation des inspecteurs
Le B.O. du 3 février publie une note organisant les opérations de mutation des IEN exerçant dans les spécialités « enseignement du premier degré », « enseignement technique », « enseignement général » et « information et orientation ».
Une semaine dans la tasse de l’Expresso
Les articles les plus lus cette semaine dans L’Expresso :
Réforme du Lycée : Patrick Allal : Faire confiance pour ne pas stériliser la réforme
Rencontres nationales pour l’école maternelle du GFEN
La main à la pâte : Des prix pour soutenir l’enseignement intégré des sciences
Rapport du HCI : Un peu, beaucoup, à la folie… Pas du tout ?
Etudier une oeuvre littéraire avec Facebook
A Paris les métiers à l’honneur
Ca y est ! Porte de Versailles, les finales nationales des Olympiades des métiers ont démarré, en présence de pas de moins de 3 ministres. Pendant 2 jours encore, les visiteurs arrivant au salon des métiers peuvent aller voir les finalistes en action, s’informer auprès des conseillers Onisep ou COP et faire connaissance avec les représentants des filières de formation.
Olympiades des métiers : Le rôle des experts
Alors que les candidats aux finales nationales des Olympiades des métiers sont en pleine compétition, nous avons sollicité experts et jurés pour mieux comprendre comment s’effectuera la sélection de l’équipe qui ira représenter la France à Londres en octobre 2011.
La classe
La circulaire sur l’absentéisme publiée au B.O.
Moins d’une semaine après son rejet unanime par le CSE, la circulaire sur l’absentéisme est publiée au bulletin officiel.
Coup de force et scélératesse. Phénomène rarissime :le 27 janvier c’est à l’unanimité que le Conseil supérieur de l’éducation a rejeté la circulaire d’application de la loi Ciotti instituant la suspension des allocations familiales pour les familles d’élèves absentéistes. C’est par bravade que le ministre fait publier moins d’une semaine plus tard ce texte au Bulletin officiel. Cela illustre la dégradation du climat social dans l’institution.
Une approche strictement répressive. La circulaire n’aborde la question de la lutte contre le décrochage scolaire que sous l’angle répressif. La circulaire décrit précisément le rôle répressif que doivent tenir les différents acteurs : CPE, chef d’établissement, inspecteur d ‘académie. On ne trouvera dans ce texte aucune information et encore moins de politique éducative de lutte contre le décrochage scolaire alors même que l’inefficacité des politiques répressives est démontrée. Très clairement ce texte fait honte à l’institution éducative.
L’Ecole prise au piège de la démagogie
Le ministère publie la circulaire sur le DIMA
Annoncé en 2008, mis en place en 2009, le DIMA fait l’objet d’une circulaire d’application du décret publié au Journal Officiel le 31 décembre 2010. Il permet de sortir de classe des jeunes de 15 ans pour les faire entrer en pré-apprentissage.
Le « dispositif d’initiation aux métiers par alternance (DIMA) permet d’envoyer en CFA des jeunes de 15 ans. Ce dispositif déroge donc à l’enseignement obligatoire. Quoiqu’en dise le texte, il exclut du bénéfice du socle commun les élèves en difficulté. Il les oriente vers une porte de sortie anticipée sans leur offrir de possibilités réelles d’accès à l’emploi comme le montrent les études du Céreq sur l’apprentissage. Ce texte est tout à fait cohérent avec la loi Ciotti qui considère le décrochage scolaire comme une forme de délinquance. Il apporte aux difficultés scolaires la seule réponse de l’exclusion.
Etablissement partenaire
La médiation linguistique
« Parmi les propositions du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues, la consécration de la médiation linguistique comme compétence communicative spécifique est sans doute celle qui a le moins retenu l’attention des didacticiens et des décideurs institutionnels. Or, placer les activités de médiation au coeur de l’apprentissage des langues vivantes constitue certainement l’une des avancées les plus originales et significatives du CECRL« . L’Université Paris Créteil organise le 30 mars un colloque sur la médiation linguistique et la didactique des langues.
Les champs disciplinaires interrogés par une conférence de consensus
Organisée par l’IUFM de Créteil, le 9 février, la 7ème conférence de consensus opposera et rassemblera des enseignants-chercheurs sur la thématique « Épistémologie, savoirs et champs disciplinaires ».
Le principe de la conférence de consensus consiste à exprimer le dissensus qui se fait jour au sein d’une communauté scientifique à propos d’une question controversée et à tendre vers la réduction de ces divergences. Un jury, réuni sous l’autorité d’un président, participe aux débats ; il assure la médiation entre la diffusion des résultats de la recherche et les prescriptions adressées aux formateurs d’enseignants. La conférence entendra notamment François Dosse (tournant pragmatique et herméneutique en histoire), JL Martinand (penser les activités éducatives en sciences et techniques), E Weider (le bilinguisme à l’école) etc.
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La recherche
Les nouveaux acteurs dans la conduite des politiques éducatives nationales
La prochaine séance du séminaire scientifique international sur les transformations des états éducateurs en Europe dirigé par Agnès Van Zanten, Patricia Legris et Xavier Pons, aura lieu le 10 février à 17h à Sciences Po Paris. Elle s’intéressera aux nouveaux acteurs dans la conduite de spolitiques éducatives nationales avec une communication de Stephen Ball (université de Londres) sur l’activité des entreprises multinationales en éducation et un exposé d’Agnès Van Zanten sur le rôle des grandes écoles dans la mise en oeuvre des politiques scolaires. Le séminaire se réunira au 98 rue de l’université , salle Annick Percheron.
Pairform@nce : Quelle évaluation ?
L’INRP publie un rapport de suivi du dispositif de formation Pairform@nce mis en place par l’INRP et l’éducation nationale. Rédigé par Luc Trouche, Sophie Soury-Lavergne, Ghislaine Gueudet et Catherine Loisy, il décrit les nouveaux parcours réalisés en 2009 et suit des stagiaires et fait le bilan de la démarche.
« Notre expérience propre, au sein du dispositif INRP-Pairform@nce, nous incite à penser que le caractère profond et durable des développements professionnels induits, aussi bien pour les concepteurs que pour les formateurs et les stagiaires, « vaut » cet investissement, et vaut qu’il soit poursuivi », conclut le rapport. « Le travail réalisé depuis trois ans, dans Pairform@nce, mais aussi dans plusieurs projets européens où il est question de parcours de formation, nous conduit à penser un nouveau projet, qui permettrait de croiser différents modèles de parcours et différents types d’assistants méthodologiques, dans la perspective d’un « incubateur de modèles de parcours de formation », permettant en retour d’enrichir le programme Pairform@nce, peut-être dans le sens de parcours plus simples et plus flexibles ».
Les disciplines
Une circulaire définit l’épreuve anticipée d’histoire-géo au bac S
Une circulaire publiée au B.O. du 3 février définit l’épreuve anticipée d’histoire-géographie du bac S. Elle apporte peu de modification à l’évaluation traditionnelle dans cette série.
Le B.O. publie 4 textes relatifs à l’épreuve anticipée, dont 3 arrêtés dont le Café a rendu compte le 17 janvier. Le texte nouveau est une circulaire qui organise l’épreuve anticipée qui sera mise en place en série S dès la session 2013 du bac, c’est à dire en juin 2012. « La durée totale de l’épreuve est de quatre heures. L’épreuve comprend deux parties. Dans la première partie, le candidat rédige une composition en réponse à un sujet d’histoire ou de géographie. La deuxième partie se compose de deux exercices, l’un en histoire, l’autre en géographie : en histoire : analyse d’un ou de deux document(s); en géographie : il s’agit soit de l’analyse d’un ou de deux document(s), soit d’une production graphique (réalisation d’un croquis ou d’un schéma d’organisation spatiale d’un territoire) ». L’épreuve a un coefficient 3. La circulaire définit également l’oral de contrôle de 20 minutes.
Arrêté sur les épreuves anticipées
Ces textes commentés dans l’Expresso du 17 janvier
SES : L’Apses organise des Etats généraux le 5 février
L’Association des Professeurs de Sciences Économiques et Sociales (APSES) organise des états généraux des Sciences Économiques et Sociales (SES) le samedi 5 février 2011 à Paris. Une première table ronde réunira Louis CHauvel, PN Giraud et des enseignants et élève sur la question de la formation citoyenne des lycéens. La seconde table ronde sur « les finalités et contenus du programmed e SES » réunira S Beaud, S Bonnéry, J Guin et A Orléan.
Arabe : Un nouveau site national de Langue et culture arabes
Sous l’autorité de l’Inspection générale, le nouveau site de Langues et culture arabe s’appuie sur l’expérience du site académique de Versailles , devenu la source de référence pour les enseignants des autres académies. Le nouveau site offrira de nouvelles fonctionnalités et donnera à la discipline davantage de visibilité.
Berlin capitale des maths
Le 1er février, l’Union mathématique internationale (IMU) a procédé à l’inauguration de son premier siège permanent à Berlin. L’IMU, qui compte 70 pays membres, s’efforce de promouvoir la coopération internationale dans ce domaine et de développer l’enseignement et la recherche des mathématiques dans le monde. Par ailleurs, elle décerne la prestigieuse médaille Fields, considérée comme le Prix Nobel des mathématiques.
Article de l’ambassade d’Allemagne
le Cafe
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