Lutter contre les préjugés liés à l’open source
De manière évidente, de nombreuses entreprises utilisent des solutions open source avec des réserves et continuent d’investir d’énormes quantités d’argent, année après année, dans des logiciels traditionnels. En termes stratégiques, cela n’a pas de sens, surtout lorsque l’on voit apparaître sur le marché de plus en plus d’alternatives open source qui offrent les mêmes niveaux de puissance et de fiabilité que leurs équivalents propriétaires, particulièrement coûteux.
J’ai tiré de mon expérience personnelle le constat suivant : les entreprises tendent à utiliser les solutions d’intégration de données open source en premier lieu pour des projets de taille limitée, mais devant la réussite de ces premiers projets, elles étendent progressivement leur utilisation à d’autres domaines. Après avoir fait ce constat, nous nous heurtons souvent aux bons vieux préjugés que les responsables informatiques se sont vus inoculés par les fournisseurs traditionnels : les logiciels open source seraient peu sécurisés, les coûts cachés seraient considérables et lorsqu’ils sont confrontés à des problématiques complexes, les utilisateurs devraient les résoudre seuls. Ces idées reçues sont sans fondement.
http://www.cfo-news.com/Lutter-contre-les-prejuges-lies-a-l-open-source_a16501.html
OpenPLM
OpenPLM est un « Product Lifecycle Management » (Gestion du cycle de vie produit) orienté produit qui fédère tous les métiers d’une entreprise autour d’une GED centrée sur le produit. Il accélère les échanges d’information, diminue les temps de développement, diminue les pertes d’information (un document « master » dans un seul endroit), améliore l’efficience des processus, diminue les mauvaises compréhensions et améliore la qualité. Son orientation « produit » permet de trouver plus facilement les documents, de fédérer tous les métiers d’une entreprise autour d’un même référentiel, d’assurer une traçabilité complète de chaque produit, depuis son développement jusqu’à l’arrêt de sa maintenance, de diminuer les coûts de développements, d’accélérer les développements et d’améliorer la qualité.
MeilleurTaux.com héberge sa messagerie sur le
Cloud sans perturber ses utilisateurs
Spécialiste du courtage sur Internet, MeilleurTaux.com, filiale de la BPCE, propose aux internautes recherchant un crédit des services de mise en relation avec des partenaires bancaires. Si son site Internet est central dans son activité, l’entreprise s’appuie également en France sur un réseau de 132 agences, dont 99 en franchise.
Compte tenu de son métier, les outils d’agenda et de messagerie électronique sont critiques pour MeilleurTaux.com. Jusqu’en 2008, MeilleurTaux.com s’appuyait sur le couple Outlook et Microsoft Exchange administré en interne.
http://www.zdnet.fr/actualites/meilleurtauxcom-heberge-sa-messagerie-sur-le-cloud
Autoscan Network
AutoScan-Network est un logiciel gratuit qui permet de découvrir, scanner et gérer son réseau. Aucune configuration particulière n’est nécessaire pour scanner le réseau. L’objectif principal de ce logiciel est d’afficher la liste des équipements connectés au réseau. Il offre de nombreuses fonctionnalités, telles que le démarrage d’un ordinateur à distance, un scanner de port, un client VNC, la surveillance des équipements, …
La technologie flash d’entreprise révolutionne
l’infrastructure de stockage professionnelle
Les entreprises comptent de plus en plus sur les centres de données pour fournir l’accès aux services, aux applications et aux données. Alors que la demande augmente et que les applications deviennent incroyablement plus complexes, l’infrastructure du centre de données doit fournir d’immenses capacités et un accès rapide aux informations pour faire face aux priorités de l’entreprise. De nos jours, les sociétés peuvent aisément augmenter leur capacité de stockage en ajoutant des disques durs et des baies supplémentaires à leur infrastructure. Malheureusement, les périphériques qui fournissent la capacité la plus élevée échouent à offrir les performances d’E/S nécessaires pour alimenter les systèmes en données en vue de leur traitement. Ils ne cessent de plus d’aggraver les coûts de l’infrastructure de stockage.
En revanche, la technologie flash d’entreprise présente le potentiel suffisant pour améliorer de manière notable la rentabilité et les performances de l’infrastructure de stockage. Développée à l’origine dans les années 80, la technologie flash est peu onéreuse. Il s’agit de mémoire informatique non volatile qui peut être effacée et reprogrammée de manière électrique. Les récentes avancées technologiques font rapidement évoluer la technologie flash qui, de simple outil, devient pour l’entreprise une solide alternative de stockage capable de rééquilibrer les performances du système et celles des E/S de stockage.
http://livreblanc.itespresso.fr/?mod=download&category=91&id=337
Comment Strato a pu se dispenser de construire un
troisième datacenter
L’hébergeur allemand Strato n’opère que deux data centres. L’un de 800 mètres carrés à Karlsruhe pour les sites, les blogs et les wikis grand public. L’autre, de 4 000 mètres carrés divisé en 5 salles, à Berlin, pour les applications intranet, bases de données et web-shops des PME sur serveurs dédiés, administrés ou virtualisés.
Le premier centre héberge plus de 4 millions de noms de domaine pour le compte de plus de 1,4 million de clients de six pays européens, dont la France. Le second accueille à ce jour quelque 35 000 serveurs, dont la moitié sont virtualisés avec la solution Virtuozzo de l’Américain Parallels.
http://datacenter.silicon.fr/reportage-comment-strato-a-pu-se-dispenser-de-construire
Méthodes agiles : Le renouveau des relations
client/fournisseurs en ingénierie
Malgré leurs 15 ans d’existence, les méthodes agiles font aujourd’hui couler beaucoup d’encre. Leurs engagements, à savoir la livraison d’un projet informatique de qualité, l’amélioration des relations entre les fournisseurs et les clients sans oublier la réduction des coûts et des délais, sont en bonne voie… L’avantage des méthodes agiles réside avant tout dans le fait qu’elles mettent en avant une démarche plus pragmatique que les démarches traditionnelles, en impliquant au maximum le client et ses réels besoins sans fonctionnalités superflues. Toutefois, un gros travail d’audit et d’évangélisation reste à faire car ces méthodes sont sous exploitées dans les SSII et les entreprises, un peu moins chez les éditeurs qui les utilisent depuis longtemps. Enfin, si les gains sont bien identifiés, la mise en place des contrats et de la facturation n’est pas encore très aboutie.
http://www.lemondeinformatique.fr/dossiers/lire-methodes-agiles-le-renouveau
Le département informatique, figure de proue de
l’écologie en entreprise
Le département informatique des entreprises est le plus légitime pour aider ces dernières à mener à bien leurs campagnes de développement durable. En interne comme en externe, estime le Technology Business Research dans une étude. Selon le cabinet, les responsables technologiques ont en effet déjà démontré que l’adoption de mesures plus écologiques pouvait être rentable pour l’entreprise. « Si le développement durable est le prochain défi des sociétés, les services informatiques l’ont d’ores et déjà intégré dans leur fonctionnement », expliquent les spécialistes. « Une adoption qui n’est pas liée à l’image que cela peut renvoyer mais aux profits financiers que cela engendre pour l’entreprise ».
http://atelier.net/articles/departement-informatique-figure-de-proue-de-lecologie
La sécurité des accès au routeur
Un cours vidéo de 5 minutes sur la sécurité des accès au routeur via les systèmes Radius et Tacas.
http://www.orange-business.tv/2010/11/les-5-minutes-du-professeur-audenardl
Infrastructures virtuelles : six risques à gérer
En facilitant les opérations d’administration et en concentrant l’infrastructure sur un petit nombre de machines physiques, la virtualisation fait peser de nouveaux risques sur le système d’information.
http://www.indexel.net/infrastructure/infrastructures-virtuelles-six-risques-a-gerer