Pourquoi on subit René La Taupe depuis mai
Vous n’avez pas pu passer à coté du phénomène « René La Taupe » : ce mammifère à la voix plus qu’agaçante est présent sur les plus grandes chaînes et stations de radios françaises. Avec deux titres à son actif, « Merde » (2009) et « Mignon mignon » (2010), la taupe qui chante squatte les premières places des classements des titres les plus téléchargés en France et est l’un des tubes de l’été 2010. Pour ceux qui ne sauraient pas de quoi je parle, voici le clip du titre « Mignon mignon ».
http://www.rue89.com/2010/08/31/marketing-pourquoi-on-subit-rene-la-taupe-depuis
Acheteurs-marketeurs : une collaboration difficile à
mettre en place
Selon une étude d’Accenture, les directions marketing sont aujourd’hui confrontées à des budgets trop limités. Si les acheteurs peuvent toutefois les aider à optimiser leurs coûts, de nombreux obstacles freinent la mise en place d’une telle collaboration.
http://www.decision-achats.fr/Article-A-La-Une/Acheteurs-marketeurs-une-collaboration
Les réseaux d’enseignes dans les services
En 2007, 44 200 points de vente spécialisés dans la fourniture de services sont regroupés au sein de 450 réseaux. Ils réalisent 52 milliards de chiffre d’affaires, soit 13 % du chiffre d’affaires des secteurs où ils sont présents, mais dans certains secteurs ils représentent beaucoup plus, jusqu’à 88 % dans le cas des réseaux d’agences de travail temporaire. Ces derniers concentrent à eux seuls 43 % du chiffre d’affaires des réseaux de services. Ils sont aussi les plus grands par leur nombre de points de vente, avec les réseaux de location automobile et les réseaux d’agences immobilières. Trois types d’organisation dominent dans les réseaux de services : 44 % des points de vente sont sous contrat de franchise, 35 % sont détenus par la tête de réseau et 13 % sont organisés en groupement. Dans la moitié des réseaux, plusieurs formes d’organisation coexistent, le plus souvent magasins intégrés et sous franchise. Les réseaux intégrés sont prédominants dans les services aux entreprises, la franchise dans la coiffure et les groupements dans les réseaux d’agences de voyage.
http://www.insee.fr/fr/ffc/ipweb/ip1299/ip1299.pdf
Les relations contractuelles au sein des réseaux du
commerce
Pour se développer, les entreprises commerciales tendent à s’organiser en réseau. Pérennes ou limitées dans le temps, contraignantes ou distendues, les relations entre les membres d’un réseau sont définies contractuellement, qu’il s’agisse des prestations proposées par la tête de réseau ou des obligations des points de vente indépendants. Quatre classes de relations se dégagent. Pour certains réseaux, notamment en franchise ou en commission-affiliation, les liens sont nombreux et diversifiés. À l’opposé, quelques réseaux reposent sur des relations contractuelles plus distendues. Entre les deux, certains réseaux, en particulier les groupements, se caractérisent par l’importance des engagements financiers de leurs membres ; d’autres, comme les réseaux majoritairement intégrés, sont davantage structurés autour d’une stratégie « produits ».
http://www.insee.fr/fr/ffc/ipweb/ip1310/ip1310.pdf
Repenser la « culture client » et… l’appliquer pour
de bon !
Alors qu’elle devrait être placée au coeur même du code génétique des entreprises, la Gestion de la Relation Client progresse trop lentement dans ses principes et ses pratiques. onséquence : les entreprises passent à côté d’un formidable levier de croissance et de fidélisation de leur clientèle. Mais pour combien de temps encore ?
http://www.e-marketing.fr/TribuneExpert/ConsultTribuneExpert.asp?ID_Article=90
Web tracking B2B
Les enjeux du web b2b se déplacent progressivement de la génération de trafic à la génération concrète de business. Directement issu d’un usage essentiellement B2C – le web analytics -, le web tracking B2B consiste à identifier les organisations qui visitent un site web. Il permet de segmenter son visitorat pour une analyse plus fine, puis de mettre en place des actions marketing et commerciales pertinentes pour rentabiliser les investissements web.
http://blogs.orange-business.com/live-france/2010/07/web-tracking-b2b—le-guide.html
Définir correctement son offre commerciale
La tentation la plus courante : présenter l’offre la plus large possible. En augmentant la taille du filet, on pense que l’on va pêcher davantage de poissons. Sauf que, dans le business, cela ne fonctionne pas ainsi. « Bien élaborer son offre passe par des instants de renoncement », assure Frédéric Vendeuvre, directeur associé du cabinet de conseil en management commercial Halifax Consulting. Comment être crédible lorsqu’on se dit expert en tout ? Sans compter que, en se positionnant comme une entreprise qui a les moyens de proposer une expertise transversale, on se met inutilement en concurrence.
http://www.lentreprise.com/1/2/4/dossier/23211
Les missions des travel managers
Vendeur, acheteur, ingénieur, technicien, marketeur… presque tous les représentants des différentes «familles» de l’entreprise voyagent ou sont susceptibles de voyager. Aujourd’hui, rares sont les cadres qui n’effectuent aucun déplacement professionnel au cours d’une année, rejoints depuis longtemps par bien d’autres catégories de salariés. Dans ce contexte, les entreprises doivent être capables de faire voyager leurs collaborateurs en toute sécurité, avec un temps minimum de trajet, dans des conditions adaptées à leur mission, tout en générant une dépense contrôlée. Mais l’appréciation des niveaux de confort, de leurs coûts, n’est pas toujours uniforme selon les interlocuteurs de l’entreprise.
http://www.decision-achats.fr/Images/Breves/ALaUne/1846/file/livreblanc
Les comportements des acheteurs sont différents
selon les pays
Les entreprises sont sans cesse à la recherche d’une optimisation de l’espace. Néanmoins, c’est la fin du tout open space. Ainsi, les sociétés privilégient les espaces ouverts avec des postes de travail de deux ou quatre personnes, pour recréer une ambiance plus confidentielle. La création de zones collaboratives pour des échanges rapides et informels, intégrés au sein de ces espaces ouverts, ainsi qu’une diversification de l’espace, sont d’autres tendances fortes dans l’aménagement des bureaux. Parallèlement, l’acoustique est davantage prise en compte, tout comme le besoin de rangements de proximité. La demande va également vers plus de technologies sur les plans de travail (intégration d’écrans plats, vidéoconférence, etc.).
http://www.decision-achats.fr/Articles-A-La-Une/Susanne-Danzer-Bene
Le M-Couponing : aller toujours plus loin dans la
dématérialisation de l’offre commerciale
Véritable outil marketing, le coupon promotionnel, édité à 7 milliards d’exemplaires chaque année en France, connaît un succès jamais démenti. Il fait partie intégrante de la relation commerciale des marques, distributeurs, sites Internet.
Si Internet a permis de dématérialiser l’émission du coupon, on parle de e-coupon, l’utilisateur doit continuer de l’imprimer pour le faire valoir en magasin. Aujourd’hui, le m-couponing ou coupon sur mobile veut aller plus loin en supprimant entièrement le support papier.
Le bon de réduction sur mobile se développe ainsi de plus en plus, à la faveur d’un environnement technologique plus adapté, mais de nombreuses contraintes subsistent. Le m-couponing a fait son apparition aux États-Unis et au Japon, il y a maintenant plus de 5 ans.
http://www.fidelead.fr/Le-M-Couponing-aller-toujours-plus-loin-dans-la-dematerialisation
La Croissanterie dématérialise la fidélité
Comment se démarquer sur le terrain tendu de la restauration rapide ? À l’effet d’annonce produit par un gadget dans l’air du temps, Julien Leblond, directeur marketing de La Croissanterie, a préféré une réflexion en profondeur basée sur le besoin déclaré de ses clients. Une démarche atypique pour un résultat remarquable nourri par les attentes des clients. La carte qui manque sera celle qui compte !
http://www.fidelead.fr/La-Croissanterie-dematerialise-la-fidelite_a4844.html