LE FAIT DU JOUR
Patrimoine scolaire, patrimoine social : quels facteurs influencent les poursuites d’études dans le supérieur ? …
ÉDITORIAL
Grève : Quelles attentes ?
LE SYSTEME
La formation des enseignants : Une catastrophe garantie mal dissimulée ? l Formation des enseignants : L’erreur l Quel succès pour la manifestation du 6 ? l Chatel annonce des assises académiques de l’illettrisme
L’ÉLÈVE
Les métiers du travail des métaux l Jipli 2010.
LA CLASSE
La souffrance à l’Ecole aux JRES 2010 l Quel rythme de vie pour les élèves ?.
ETABLISSEMENT PARTENAIRE
Quand des lycéens accueillent un critique gastronomique
LA RECHERCHE
PedagoPsy a 10 ans l Humour et enseignement : Rectificatif…
CITOYENNETE
AJ ! : Le rire peut tuer les dictateurs
LES DISCIPLINES
Science-en-jeu : Un monde virtuel pour stimuler l’intérêt pour les sciences l La philo en vidéo avec M-éditer.
Le fait du jour
Patrimoine scolaire, patrimoine social : quels facteurs influencent les poursuites d’études dans le supérieur ?
Bourdieu revisité ? Quels sont les facteurs qui influencent les décisions de poursuite ou d’arrêt des études aux quatre paliers de l’enseignement supérieur ? Quel est le poids de l’origine sociale dans les bifurcations ?
Nadia Nakhili et Magali Jaoul-Grammare ont étudié ces facteurs pour le Céreq de façon précise pour les différents types de l’enseignement supérieur. Et leurs travaux contredisent des études précédentes.
Être issu d’un milieu aisé favorise la poursuite d’études et ce de manière d’autant plus importante que l’on se situe dans le cadre d’études longues (doctorat, classes préparatoires) où les effets de la CSP du père et de la mère semblent s’agréger quel que soit le genre. En revanche, dans le cas des jeunes entrés dans l’enseignement supérieur en IUT ou à l’université, l’impact de l’origine sociale est assez élevé en début de parcours et s’atténue aux paliers intermédiaires : une fois atteint le niveau bac+3, la poursuite d’études en master est indifférente au milieu social. En BTS l’origine sociale n’a pas d’effet sur la poursuite, ce qui souligne la dimension sociale de cet enseignement. Là-dessus le BTS se différencie nettement du DUT où l’origine sociale détermine la poursuite d’études. En université, après bac +3, l’origine sociale n’influe pas la poursuite d’études. Le master s’impose à tous.
Les auteurs soulignent les effets liés aux filières du bac : après un bac +2, si littéraires et scientifiques ont quasiment les mêmes chances de poursuivre leurs études… les bacheliers ES auront davantage tendance à stopper leur parcours. Ils se rapprochent des STT. Avoir une mention au bac a un effet nettement favorable à la poursuite d’études. Le retard scolaire multiplie les risque sde sortie sans diplôme.
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Grève : Quelles attentes ?
Le ministère lui-même le reconnait en annonçant 31% de grévistes au primaire le 7 septembre (le Snuipp estime la participation au double) : la journée du 7 septembre s’annonce de plus grande ampleur que celle du 24 juin 2010. Cette forte mobilisation en début d’année illustre le niveau des attentes.
La manifestation interprofessionnelle a comme mot d’ordre la défense des retraites et le rejet du projet gouvernemental. Le sujet concerne les enseignants. La réforme prévoit d’étendre l’âge de départ en retraite, elle augmenterait les prélèvements diminuant ainsi les revenus et elle revient sur l’avantage accordé aux mères de famille.
Un sentiment de déclassement. Et d’autres préoccupations poussent les professeurs aussi dans la rue. Réforme du lycée mal conduite, aggravation des conditions de travail, sentiment de perdition du système éducatif, autoritarisme ambiant. L’idée qu’on ne se reconnaît plus dans l’Etat. Surtout ce sentiment du déclin du système éducatif public, lentement érodé et mis à mal par plusieurs années de restrictions. C’est ce sentiment de déclassement qui est réellement la signature du moment. A travers lui c’est la politique de suppressions de postes dans l’éducation qui est interrogée. Et c’est tout cela qui remonte le 7 septembre.
Echec au SMA. De nombreuses écoles primaires devraient fermer. Cette perspective fait réagir la Peep qui demande curieusement au gouvernement « ce qu’il entend faire pour assurer la continuité du service public d’éducation » arguant du coût des jours de grève pour les parents. Que peut faire l’Etat de plus que le SMA ? Supprimer le doit de grève ? Cette remarque de la Peep signe simplement l’échec du SMA.
L’Ecole suspendue. Cette journée laissera le pays, engoncé dans les affaires et les provocations depuis plusieurs semaines, dans l’attente. Que fera le gouvernement devant une forte mobilisation ? A-t-on la capacité à se faire entendre ? La fin du quinquennat Sarkozy sera-t-elle être une suite de conflits ? Au-delà de ces questions, l’Ecole a ses attentes spécifiques qui se sont rarement manifestées comme en ce début d’année. Réussira-t-elle à se faire entendre ?
La liste des manifestations du 7 septembre
La formation des enseignants : Une catastrophe garantie mal dissimulée ?
Pierre Frackowiak, inspecteur honoraire, revient sur la question de la formation des enseignants et sur la façon dont elle est mise en œuvre actuellement. « On sait que la formation sur le tas fait l’impasse sur toute une série de savoirs nécessaires : la psychologie des enfants et des jeunes, le développement des apprentissages et le fonctionnement du cerveau, l’histoire de l’école, la sociologie, la pédagogie. Certes la formation précédente en IUFM était trop légère et insuffisante. De là à la supprimer intégralement comme c’est le cas, il y a un gouffre dans lequel le système éducatif va plonger allégrement avec la complicité de prétendus experts zélés faisant fi du stress croissant des enseignants ».
Lisez la tribune de P Frackowiak
Formation des enseignants : L’erreur
Dans Le Monde du 6 septembre, Raymond-Philippe Garry, ancien président de la Conférence des directeurs d’IUFM, raconte la mise à mal de la formation des enseignants et à mort des IUFM de Jospin à CHatel. « L’Etat, deuxième erreur, n’a pas su, en tant qu’employeur, imposer un véritable cahier des charges pour les futurs masters enseignants, notamment en imposant que ceux-ci, comme pour d’autres métiers, aient une véritable composante professionnelle lors de la dernière année de formation, comme c’était le cas dans les IUFM (année de stage en alternance complète). »
Quant aux IUFM, il en dresse un bilan positif. « Des nombreux échanges que nous avions eus à l’époque avec les chefs d’établissements et les inspecteurs, il ressortait clairement que lors des quinze dernières années (1990-2005), les enseignants étaient mieux formés que les quinze années précédentes. Certes il n’est pas question de nier que, comme dans tout centre de formation nouveau, des dérives minimes mais bien mises en exergue n’avaient pas eu lieu, mais les experts honnêtes reconnaissaient l’avancée dans la formation. »
Quel succès pour la manifestation du 6 ?
Combien de grévistes le 6 septembre ? A l’appel du Snes, des enseignants des collèges et lycées ont fait grève. Ils protestent contre » la lassitude des personnels face à la politique budgétaire, sociale et éducative du gouvernement » et la » dégradation majeure des conditions d’enseignement pour les élèves et pour les personnels ». Le Snes annonce 30% de grévistes. Le ministère parle de 6%.
Chatel annonce des assises académiques de l’illlettrisme
Recevant le 6 septembre les correspondants académiques en charge de la prévention de l’illettrisme, Luc Chatel leur a demandé d’organiser des assises académiques cet automne. Ils devront aussi s’appuyer davantage sur l’association « Lire et faire lire ».
En mars 2010, Luc Chatel avait défini son plan de lutte contre l’illettrisme. Le ministre reprend à son compte les conceptions traditionnalistes de Xavier Darcos sur l’apprentissage de la lecture qui valorise le par cœur, la mémorisation de mots hors contexte, la récitation. Mais c’est en s’appuyant sur des fondations privées (Total, Fondation Bettencourt Shueller…) qu’il entend soutenir l’action d’associations comme l’Apfee.
Une politique qui se conjugue mal avec d’autres décisions : la suppression de nombreux postes Rased, la chute du taux de scolarisation de 2 à 3 ans, la hausse du nombre d’enfants par classe en maternelle et en CP.
Le plan de lutte contre l’illettrisme
Les métiers du travail des métaux
Que fait un forgeron ou un soudeur ? Quelles sont les conditions de travail d’un technicien de fonderie ? Y a-t-il des débouchés dans la serrurerie ?… L’Onisep se penche sur ces questions dans une brochure destinée aux collégiens.
Chaudronniers, fondeurs, ferronniers d’art… les métiers du travail des métaux sont variés, à la fois manuels et de haute technologie. Les machines utilisées demandent des compétences de plus en plus pointues. Les réalisations ? Avions, consoles de jeux, portails, automobile… Les possibilités d’emploi se trouvent essentiellement dans les PME mais aussi dans les grandes entreprises de l’aéronautique, du BTP… : 3/4 des entreprises ont moins de 20 salariés.
Les formations du CAP au BTS sont passées en revue. Les emplois à venir vont s’adresser à des candidats de plus en plus qualifiés, notamment de niveau BTS. Une formation par la voie de l’apprentissage est « un plus » pour entrer dans ce secteur.
Jipli 2010
Accusées de favoriser les dérives sectaires, les associations de parents qui instruisent à domicile leur enfant réagissent en tenant un événement : la Journée internationale pour la liberté de l’instruction (JIPLI), qui est programmée le 15 septembre.
« La JIPLI est l’occasion de réaffirmer le droit des parents à choisir le mode d’instruction à donner à leurs enfants… que ce soit dans un établissement public, privé sous contrat ou hors contrat, ou bien dans la famille ». Les associations se plaignent de la vision quasi criminelle qui est jetée sur l’instruction à domicile et renvoient le ballon à l’éducation nationale. « Une nouvelle circulaire va remplacer d’ici la fin de l’année 2010 celle de 1999 dont l’introduction précisait : » Chaque année, plusieurs milliers d’enfants échappent à l’École de la République. Trop souvent, ces enfants sont maintenus dans un état d’inculture, d’ignorance, ou pire encore, embrigadés, aliénés, maltraités. » Cette réalité n’a jamais été celle des familles qui font le choix de ce mode d’instruction. Il est plus que temps de lever ce postulat à l’origine de multiples abus perpétrés à l’égard des familles lors des contrôles pédagogiques. Les résultats de ces contrôles menés depuis plus de 10 ans et la médiatisation croissante montrent bien que ce mode d’instruction est un choix pédagogique, philosophique à part entière même si ces dernières années le nombre de familles qui déscolarisent leurs enfants dans l’urgence ne cesse de croître en raison d’un système scolaire de plus en plus inadapté (violences, uniformisation des programmes, …) »
La classe
La souffrance à l’Ecole aux JRES 2010
« Nous souhaitons aborder le thème de la souffance à l’école tant cette question nous est apparue, lors des deux premières éditions, comme un élément central dans le processus de production de l’échec scolaire – et aussi comme l’un des indicateurs les plus inquiétants de notre « Baromètre du rapport à l’école des enfants des quartiers populaires ». Résoudre la question de la souffrance à l’Ecole nous semble être une des clés de l’amélioration de notre système éducatif, notamment au collège. » L’Afev organise le 22 septembre à Paris la troisième Journée nationale du refus de l’échec scolaire.
Pour cette Journée, l’Afev a fait appel à Marcel Ruffo et Claire Brisset, ancienne Défenseure des enfants. Pour le pédopsychiatre la souffrance scolaire est bien réelle. « La souffrance liée à l’école est très forte : 44% des consultations que nous avons en pédopsychiatrie sont dues à des difficultés scolaires. Est-ce que chaque fois ces problèmes devraient relever de la pédopsychiatrie, je ne suis pas sûr. Il y aurait des réflexions à avoir avec les enseignants, les psychologues, les artistes, les acteurs associatifs… Il y a chez ces enfants l’idée qu’ils déçoivent leurs parents, ne répondent pas à leurs attentes, sont moins bons que leur frère ou leur sœur… C’est une situation à laquelle je suis confronté sans arrêt. » Mais pas de stigmatisation d el’Ecole. « L’école est le meilleur des soins psychologiques, c’est ce qui est spécifiquement humain. L’école t’apprend à être toi, et pour être toi tu as besoin de l’autre. «
Quel rythme de vie pour les élèves ?
Alors que le ministre a réuni un comité chargé de travailler à la refonte des rythmes scolaires, la Ligue de l’enseignement consacre à ce sujet un copieux dossier où se mêlent enjeux et contributions. Bruno Suchaut, François Testu, Anne-Sophie Benoit, Thierry Cadart, Gwenaëlle Hamon éclairent sous des angles différents cette question. Car le propre de cette question c’est d’engager toute la société, les rythmes scolaires rythmant la vie nationale.
Chatel recadre le temps scolaire
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La recherche
PedagoPsy a 10 ans
A quoi ça sert d’animer un site pédagogique ? Jacques Nimier répond à cette question à l’occasion des 10 ans de PedagoPsy. « Il m’a donné bien du plaisir durant ces 10 années: par tous les messages que vous m’avez envoyés, vos réactions, vos demandes mais également par le travail d’apprentissage, jamais terminé, qu’il m’a fallu faire pour chercher à le complexifier, le rendre plus utilisable, moins « linéaire » et plus « circulaire »… L’apprentissage peut, en effet, donner du plaisir (à tout âge!) et nous, enseignants, pouvons être à la source du plaisir de nos élèves dans ce domaine ».
A cette occasion PedagoPsy publie un gros dossier sur Edgar Morin. « Sa pensée devrait intéresser tout particiulièrement les enseignants. En effet ses réflexions sont parmi celles qui peuvent redonner du sens à l’école et aux changements actuels ». Parmi les bienfaits attendus : « une autre vision des disciplines, une autre approche des processus d’explication et de compréhension, une attention à la notion d’erreur et d’illusion, un « cadre » dans lequel insérer nos enseignements ». Bon anniversaire Pedago Psy !
Humour et enseignement : Rectificatif
« On dit : « un ton professoral », « un cours magistral », «un ton docte ». L’enseignement n’est-il donc fait que de sérieux, voire d’esprit de sérieux ? » Le CORHUM un centre d erecherche sur le comique, organise en octobre un colloque international sur l’humour et l’enseignement. Parce que si l’enseignement est sérieux, « l’humour vient souvent pousser la porte de la salle de classe ». Le colloque étudiera le recours à l’humour en classe y compris dans ses impasses, « l’humour dans les instructions officielles » etc. Vous avez jusqu’au 1er mars 2011 pour envoyer vos contributions.
Citoyenneté
AJ ! : Le rire peut tuer les dictateurs
Attention rire tue les dictateurs! Dans bien des pays où les droits humains sont bafoués, l’humour de la rue est le dernier rempart avant le découragement ou la terreur. La revue d’Amnesty internationale invite Riad Sattouf, dessinateur de BD franco- syrien et réalisateur du film Les beaux gosses, et évique avec lui la puissance dévastatrice du dessin humoristique. Cette petite revue est parfaitement accessible aux lycéens.
Les disciplines
Science-en-jeu : Un monde virtuel pour stimuler l’intérêt pour les sciences
Comment donner du goût pour les sciences ? A cette vieille question, Science-en-jeu tente d’apporter une réponse révolutionnaire.
Science en jeu est une initiative soutenue par les institutions scientifiques et pédagogiques québécoises. « Il s’inscrit dans le cadre du Renouveau pédagogique québécois », nous dit l’équipe de Créo, réalisatrice de Science en jeu. « Le monde est axé sur l’acquisition de compétences transversales et disciplinaires, tout en étant associé à l’orientation professionnelle et au développement d’une culture scientifique. L’approche choisie s’articule autour de la résolution de problèmes et de la découverte par le jeu, ce qui est fort pertinent pour rejoindre la génération numérique d’aujourd’hui, qui a des attentes et des compétences différentes de celles des générations précédentes, puisqu’elle baigne dans les nouvelles technologies depuis toujours ».
Science en jeu offre des situations d’apprentissage complexes destinées aux jeunes du primaire et du secondaire. Immergé dans un univers à la Second Life il navigue de laboratoire en scientifique pour mener des expériences et répondre à des questions. Il a accès à des jeux développés par Créo, comme Sayansi, un jeu sur le développement international, ou Forestia, un jeu où l’on doit gérer de façon durable une forêt. Pour réussir les activités, l’élève peut aussi collaborer avec d’autres jeunes par clavardage. Pour l’enseignant c’est un peu déroutant. Mais c’est une adresse à faire découvrir aux élèves. Il reste ensuite à imaginer des usages pédagogiques. Faites nous remonter vos impressions et projets !
La philo en vidéo avec M-éditer
Les éditions M-Éditer mettent progressivement en ligne, gratuitement, leur catalogue de vidéos de sciences humaines en général et de philosophie en particulier sur Youtube.
Les trente premieres vidéos sont particulièrement adaptées au programme de terminale : la vérité, morale et politique, le mal totalitaire etc. Les prochaines vidéos : Que faisons-nous de notre finitude ? par Joël Gaubert; De l’authenticité ou comment devenir soi-même ?, Caroline Baudoin; Memento mori, philosophie du K.-O., Pascal Taranto; Le bonheur et la mort, Jean-Marie Frey; De quoi parlons-nous exactement lorsque nous parlons d’euthanasie ?, Jacques Ricot.
le Cafe
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
L’Expresso directement sur votre site !
Vous nous l’avez demandé par téléphone, par courriel, par fax : comment afficher sur mon site personnel les informations quotidiennes de L’Expresso ? Le webmestre du Café vous propose deux solutions simples qui nécessitent juste le copier-coller de quelques lignes.
Vous pouvez ainsi faire bénéficier les visiteurs de votre site d’une information quotidienne et leur permettre d’être les premiers informés dans leur établissement.
RSS : Le retour
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