Des QCM pour les élèves de 1ère STG
Comment vérifier que nos élèves travaillent régulièrement et progressent dans l’acquisition des connaissances ? Sans doute en les questionnant sans cesse, en vérifiant que les notions du dernier chapitre sont apprises et comprises. Mais comment interroger tous les élèves, personnaliser le résultat sans être trop consommateur de temps pour les élèves (temps effectif de ces contrôles pris sur les séances de travail) et pour l’enseignant (temps de préparation puis de correction) ?
Une des réponses possibles : un test interactif sous informatique. En complément des évaluations traditionnelles, je vous propose un outil simple, fiable, rapide et peut être ludique pour mesurer l’acquisition des connaissances. Chaque test nécessite moins de 10 minutes et donne lieu à une évaluation sommative (sachant qu’une évaluation formative est parfaitement possible en exploitant pleinement la correction détaillée et en proposant à l’élève de refaire plusieurs fois l’exercice pour mesurer ses progrès).
http://crcf.ac-grenoble.fr/index.php?tg=articles&topics=98
Bénéfices et gains de la dématérialisation de factures
Cette 3ème édition de l’étude de MARKESS International permet de mettre en lumière une progression de la dématérialisation de factures au sein des entreprises et des organisations du secteur public. En 2008, elles sont 47% à indiquer dématérialiser tout ou partie de leurs factures entrantes et/ou sortantes. Alors que le secteur privé s’est lancé dans de tels projets depuis quelques années déjà, les organisations de la sphère publique (administrations centrales et locales, organismes sous tutelle ou rattachés à l’Etat, etc.), moins matures, s’y investissent aussi désormais. Pour rappel, 45% des entreprises du secteur privé avaient déjà sauté le pas en 2007 contre 52% désormais en 2008.
L’avance prise par des secteurs pionniers de la dématérialisation de factures tels que la distribution et certaines industries (automobile, agro-alimentaire, etc.) est également confirmée. L’étude révèle aussi la forte montée en puissance d’entreprises opérant sur des secteurs tels que les télécommunications, les services d’utilité publique (eau, gaz, électricité, gestion des déchets, etc.), le transport ou la logistique. Le secteur de la banque/assurance rattrape aussi son retard en la matière.
Enfin, la dématérialisation des factures s’étend à toute taille d’organisations, les plus grandes restant largement les plus matures (avec près de 3 entreprises sur 4 de plus de 2 000 employés concernées en 2008, contre 53% en 2007). La dématérialisation progresse parmi les entreprises de taille moindre, avec notamment 38% des PME pour lesquelles elle est effective en 2008, contre 32% en 2008.
http://www.cfo-news.com/Benefices-et-gains-de-la-dematerialisation-de-factures_a6870.html
La comptabilité matricielle
Le cas présenté est un outil pédagogique à destination des professeurs qui doivent dispenser un module de méthodologie comptable. Sur un même document – la matrice – les élèves enregistrent les flux, élaborent le grand-livre, établissent la balance et réalisent les documents de synthèse. Les élèves peuvent alors s’approprier l’organisation comptable de l’entreprise.
Il est destiné à tout public s’initiant à la comptabilité.
http://crcf.ac-grenoble.fr/index.php?tg=articles&idx=viewa&topics=102&article=537
Le profit contre la croissance ?
La croissance des profits réalisés par les grandes entreprises suscite de vifs débats ces dernières années. De nombreux commentateurs considèrent que les politiques dispendieuses de distribution de dividendes et de rachats d’actions qui bénéficient aux seuls actionnaires sont de nature à compromettre l’investissement et donc la croissance des entreprises. L’analyse du comportement des grands groupes cotés en France nuance fortement ce point de vue. On constate bien un basculement dans la répartition des gains au profit des actionnaires, mais il se fait surtout au détriment des créanciers, sans mettre véritablement en cause les ressources d’autofinancement. De fait, les directions d’entreprises cherchent à concilier les intérêts à court terme et à long terme des actionnaires, les premiers étant liés à la redistribution des bénéfices, les seconds à la croissance de l’entreprise. Et c’est surtout le poids de la contrainte de rentabilité qui pèse sur l’investissement, notamment à travers l’effet de levier fondé sur un écart entre le taux de rendement économique du capital et le taux d’intérêt à long terme. Dans ce contexte, la crise des subprimes risque de pénaliser plus encore l’investissement et au-delà la croissance des grandes entreprises.
http://www.strategie.gouv.fr/revue/IMG/pdf/article_HS7RDTYG3.pdf
Les sujets et corrigés de la session 2008 du DCG
Les sujets (version Word) et les corrigés (version PDF) de la session 2008 du DCG.
Les propositions de corrigés correspondent au millésime de la session.
http://crcf.ac-grenoble.fr/index.php?tg=articles&idx=viewa&topics=100&article=534
L’impact du franchissement des seuils d’effectifs sur différentes cotisations ou contributions Urssaf
La loi de modernisation de l’économie vise à neutraliser, à titre expérimental au titre de 2008, 2009 et 2010, l’impact financier du franchissement de seuils d’effectifs par les entreprises.
http://www.urssaf.fr/images/ref_Urssaf&vs_2008_RG_trimestre.pdf
La rentabilité des entreprises en France selon leurs tailles et leurs potentialités de croissance
La détérioration de la profitabilité des entreprises en France, qui se manifeste depuis 1999 par une baisse progressive du taux de marge mesuré dans le cadre de la comptabilité nationale, a jeté un doute sur la rentabilité des entreprises françaises, et notamment des PME. En effet, la croissance soutenue des profits des grandes entreprises depuis 2003 s’explique avant tout par leur dimension internationale, ce qui fait craindre que ce soit surtout les PME qui pâtissent d’une contraction de marge. La comparaison des performances de rendement entre les grandes entreprises et les PME menée dans cet article conduit à un jugement beaucoup plus nuancé. Certes, on assiste bien à un redressement de la rentabilité des grands groupes cotés en France depuis 2003, comparable à ce qui se passe pour leurs homologues étrangers. En revanche, il est nécessaire d’introduire des distinctions pertinentes dans l’analyse du comportement des PME. Toutes les PME ne disposent pas des mêmes potentialités pour croître, accéder aux marchés d’exportation, innover ou s’adosser à la dynamique des grands groupes. Ce constat est important parce qu’il conduit à recommander aux pouvoirs publics de moins considérer les PME comme un tout, et de s’intéresser davantage à leurs stratégies afin d’identifier les obstacles qu’elles rencontrent et les mesures susceptibles de les atténuer.
http://www.strategie.gouv.fr/revue/IMG/pdf/article_HS7BDRDT4.pdf
La signature bancaire est-elle le seul garant de la sécurisation des paiements ?
En aucun cas, la signature bancaire n’engage le signataire sur le caractère fondé du paiement, même si en France et à l’étranger, Tresofi by Sidetrade a constaté que de nombreuses entreprises assimilaient systématiquement la validation du transfert avec le contrôle du contenu des fichiers.
Cette décharge de responsabilité sur le signataire bancaire, ne traduit-elle pas une défiance à l’égard des gestionnaires de la chaîne de paiement depuis le Bon à Payer ?
Pour sécuriser l’intégralité de la chaîne de paiement et respecter la séparation des tâches, il est impératif de confier explicitement la responsabilité du contrôle des « zones de risque » aux personnes situées en amont de la phase de paiement. Ces contrôles vigilants apportent aux signataires bancaires l’assurance que les paiements à signer ont été correctement vérifiés en amont.
Impôts en retard : que risquez-vous ?
Que vous ayez laissé passer la date de dépôt de votre déclaration ou une échéance de règlement, il y a toutes les chances pour que le fisc ne vous oublie pas et vous inflige des sanctions fiscales. Il en est de même si vous commettez une erreur dans votre déclaration. De quoi vous inciter au civisme fiscal.
http://interetsprives.grouperf.com/article/0657/ms/intprims0657_6922.html
Le Saas révolution technologique ou effet de mode ?
Thématique du moment, le « Software as a service » ou Saas n’en finit pas de faire parler de lui. En effet, après une longue phase d’internalisation des infrastructures et plates-formes informatiques, les DSI semblent désormais s’orienter massivement vers une approche externalisée de type Saas. Ainsi, le Gartner prévoit que le marché du Saas devrait tripler d’ici 2011 pour atteindre plus de 19,3 milliards de dollars. Mais avant d’explorer les raisons d’un tel succès, il convient dans un premier temps de donner une brève définition de ce que représente le modèle Saas.
http://www.cfo-news.com/Le-Saas-revolution-technologique-ou-effet-de-mode-_a6878.html