Deezer fait tout pour la musique
La vie est belle pour le premier portail d’écoute de musique à la demande. Lancé le 24 août 2007, Deezer fait en effet partie de ces sites d’un genre nouveau. Pionnier sur son activité et avançant dans un cadre juridique en construction, le site fédère, mois après mois, une communauté de plus en plus nombreuse et il est déjà accessible en seize langues. Pourtant, le parcours de Deezer, moins d’un an après son démarrage, n’a pas été un long fleuve tranquille. Lancé en juin 2006 dans l’illégalité sous le nom de Blogmusik, le concept imaginé par Daniel Marhely, associé du site, n’est pas du goût de tous. Il s’agit de pouvoir partager sa musique avec ses amis par le biais d’un moteur de recherche, capable d’héberger les morceaux disponibles sur les sites web, les blogs, etc. Une initiative qui ne plaît pas de prime abord à la Sacem, l’organisme chargé de redistribuer les droits d’auteur. Elle obtient la fermeture de la plateforme en janvier 2007, arguant du non-respect des obligations légales liées à la redistribution des droits. Qu’à cela ne tienne. Le site revient sur le devant de la scène, cette fois sous une autre identité, et après que des partenariats importants avec l’industrie musicale ont été signés. Deezer est né et peut se targuer d’être un site de streaming, «gratuit et légal».
http://www.ecommercemag.fr/Magazines/ConsultArticle.asp?ID_Article=24912
Bilan e-commerce au 1er trimestre 2008
Selon le bilan trimestriel de la Fédération du e-commerce et de la vente à distance, les ventes sur internet ont progressé de 30%, en France, au cours des trois premiers mois de l’année.
Au cours du trimestre, le chiffre d’affaires de l’ensemble des sites marchands a progressé de 30% par rapport au même trimestre de 2007. Au total, le montant des ventes en ligne peut être estimé à 4,9 milliards d’euros sur la période.
Dans un contexte de ralentissement général de la consommation, la croissance des ventes en ligne reste soutenue, malgré un fléchissement observé par rapport à 2007 (+35%). Le maintien de la croissance s’explique par l’arrivée de nouveaux clients : + 3,1 millions d’acheteurs sur un an, et le niveau de confiance qui continue de progresser : 62,4% des internautes ont confiance dans l’achat en ligne (60,8% au T1 2007).
A noter qu’au cours du trimestre, le chiffre d’affaires a progressé plus vite que le nombre de transactions. Le montant moyen par transaction s’affiche en hausse à 94 euros contre 91 euros il y a un an.
Sur les trois premiers mois de l’année, l’indice iCE 30, destiné à mesurer la croissance des sites leaders du e-commerce, a augmenté de 20% par rapport au 1er trimestre 2007.
Les sites de ventes aux particuliers (hors tourisme) enregistrent une croissance de 16% sur un an. Les ventes en ligne de produits mode et textile s’affichent en hausse de 18%, tandis que les produits techniques progressent de 13%.
S’agissant du e-tourisme, les agences de voyage en ligne maintiennent le cap. Leur chiffre d’affaires augmente de 25% au cours du trimestre. Une tendance conforme à celle observée l’an dernier.
Enfin, les sites de ventes aux professionnels enregistrent, à nouveau, la plus forte croissance trimestrielle : + 30%.
http://www.fevad.com/index.php?option=com_content&task=view&id=375&Itemid=730#ice
Contrat de franchise : les précautions à prendre avant de signer
Choisir une bonne franchise n’est pas facile. Mais, dans tous les cas, un impératif s’impose : s’informer et prendre conseil aussi bien sur le plan juridique que financier.
http://www.lentreprise.com/1/4/article/16309.html
La blogosphère courtisée par les marques
Ils seraient environ 100 millions au niveau mondial. Et près de 10 millions dans l’Hexagone, qui se place d’ailleurs au quatrième rang mondial en ce domaine. Ils ? Ce sont ces journaux intimes en ligne, mieux connus désormais sous le nom de blogs. Et, dans ce maillage impressionnant de sites web personnels, une réalité émerge. Celle d’un marché en pleine mutation et de plus en plus perméable au discours marketing. Car, si la demande est réelle de la part des entreprises pour infiltrer ces réseaux de leaders d’opinion, du côté des blogueurs également, les contenus se professionnalisent. «Les blogs s’adressent aux marques qui ont un capital client important et cherchent à communiquer en marge de la voie commerciale habituelle», souligne Philippe Duhot, directeur d’Opt-in Power, agence de communication virale. Des relations d’un genre nouveau que certains comparent aux relations presse.
http://www.ecommercemag.fr/Magazines/ConsultArticle.asp?ID_Article=24905
Le prédictif au chevet de la productivité
Le prédictif a eu son heure de gloire. En effet, dans les années quatre-vingt-dix, la naissance des opérations de télémarketing a contribué à favoriser l’adoption de moteurs à appels sortants et à prouver l’utilité de ces derniers. Aujourd’hui ces moteurs trouvent toujours leur place au coeur des centres de contacts internalisés et outsourcés. Et permettent de réaliser de la prise de rendez-vous, de la qualification de fichiers, du recouvrement ou encore des missions de vente. Dans ces différents contextes, les outils améliorent la productivité des agents. «Ils assurent une industrialisation de V activité», atteste Gil Monin, directeur commercial de Vocaloom. Pour autant, tous les fournisseurs s’accordent à dire que le prédictif n’entre pas en conflit avec la qualité des appels. «Il faut jouer sur la productivité et sur la satisfaction client. L’enjeu est de trouver un équilibre et de concilier ces paramètres», affirme Gabriel Fransconi, responsable des ventes applications chez Avaya. L’objectif premier des solutions prédictives est de diminuer les durées d’attente entre deux communications téléphoniques. Ces temps peuvent être réduits à environ quinze secondes.
http://www.relationclientmag.fr/Magazines/ConsultArticle.asp?ID_Article=25049
L’union de l’opérationnel et de l’analytique
Les outils de gestion de campagnes marketing permettent d’élaborer les offres, de cibler les clients/prospects, de construire le plan des campagnes et de répartir le travail entre les acteurs du marketing et les différents canaux de relation avec le client/prospect. Dans les années 90, ils étaient baptisés EMA (Enterprise Marketing Automation), puis EMP (Enterprise Marketing Platform). Une évolution liée à la fonction marketing, un métier en mutation, qui a dû s’adapter à des rythmes de vie accélérés et s’accommoder des changements de comportement des consommateurs. «De plus, la généralisation des technologies Internet a modifié en profondeur non seulement les systèmes d’information des entreprises, mais également les modes d’échange et de communication avec les clients/consommateurs. Cela notamment avec la multiplication des canaux d’interaction, la mise en oeuvre de concepts anglo-saxons comme le one-to-one, le Permission Marketing…», précise François Laxalt, directeur marketing de Neolane. En ce sens, les outils de gestion de campagnes marketing se différencient des progiciels de CRM. «Les solutions de CRM intègrent des fonctions de gestion de campagnes limitées dès qu’il s’agit de communiquer sur des canaux innovants, même via l’e-mail qui s’est pourtant largement démocratisé. Leur capacité est encore plus critique quand il faut les combiner avec des canaux traditionnels», déplore Christophe Cousin, fondateur de Café CRM.
http://www.emarketing.fr/Magazines/ConsultArticle.asp?ID_Article=25389
Ce que voient les yeux du consommateur
Détecter une nouvelle offre, trouver un produit bien précis… Nos yeux nous guident mais capturent également toutes sortes d’informations qui nous influencent inconsciemment. Pour mieux comprendre ce phénomène, l’eye tracking détecte où le regard se pose et permet donc de déterminer ce qui attire l’attention, y compris les couleurs. Découvrez ce que voient les consommateurs et comment vous pouvez en tirer un avantage concurrentiel pour vos produits et points de vente.
http://www.journaldunet.com/management/marketing/dossier/marketing-visuel/
Combien valons-nous ?
S’il est une profession qui a formidablement évolué, c’est bien celle des achats. Pendant longtemps confinés à des tâches plutôt administratives, les acheteurs ont tout d’abord gagné leurs galons de négociateurs. Puis, progressivement, ils sont allés plus loin en intégrant les concepts de coût total de possession, d’approche sur le cycle de vie ou d’analyse de la valeur, comme bases de véritables stratégies d’achats. Aujourd’hui, les achats représentent l’une des fonctions les plus en pointe de nos entreprises et administrations :
– en pointe pour l’utilisation des outils électroniques, avec le développement des places de marchés, des outils de maîtrise des dépenses, de dématérialisation ou de Sourcing ;
– en pointe encore sur la mondialisation avec l’ouverture à toutes les régions du globe, directement ou au travers de bureaux d’achats ;
– en pointe enfin sur les grands mouvements de fond de l’économie moderne : la qualité il y a quelques années, le développement durable aujourd’hui.
Alors, comment se valorise une profession qui a connu une telle évolution ces 20 dernières années ?
http://www.michaelpage.fr/productsApp/newtech/etudeRem-Achats.pdf
Comment fixer la part variable de la rémunération
La rémunération variable est dans l’univers commercial, un outil de management et de motivation précieux. «C’est un levier qui doit être en adéquation avec la stratégie de l’entreprise», précise Christophe Lasserre Ventura, directeur associé de Primeum, société de conseil en rémunération. «Pour cela, la direction commerciale va devoir tenir compte des spécificités qui sont propres à sa société ou à son marché avant de définir la part du variable dans la rémunération des vendeurs», poursuit Thierry Magin, directeur associé de MCR Consultants, cabinet conseil en stratégie de rétribution. Ainsi, il est toujours utile de savoir ce qui se fait chez ses concurrents. «Mais il faut prendre les résultats de ce benchmark avec prudence, assure Christophe Lasserre Ventura. Car des chiffres identiques peuvent cacher des règles de calcul et des niveaux de fixe et de variable au final différents». Non seulement il existe assez peu d’études détaillées sur la rémunération des commerciaux, mais elles sont souvent imprécises. Pour que leurs résultats soient pertinents, il faudrait qu’elles se réfèrent aux sociétés qui sont en concurrence directe par secteur. Un travail de titan rarement réalisé. «Voilà pourquoi les entreprises sont souvent les mieux placées pour effectuer ce travail de veille, notamment celles qui connaissent un turnover important et rencontrent beaucoup de candidats», note Thierry Magin.
http://www.actionco.fr/Magazines/ConsultArticle.asp?ID_Article=25352
Mapa et Spontex s’intéressent aussi aux hommes
En janvier dernier, Mapa et Spontex, deux marques du groupe Hutchinson, ont effectué avec Ipsos un sondage auprès de 569 personnes vivant en ménages et issues d’un échantillon représentatif de la population française. Si ces marques interrogent souvent les consommateurs, la répartition des tâches ménagères au sein du couple a rarement été étudiée de si près. Les résultats montrent un fossé entre le comportement et la perception des hommes et des femmes. Un phénomène qui n’empêche pas les marques de différencier doucement mais sûrement leur approche de ces deux cibles.