LE FAIT DU JOUR
L’Unesco s’engage pour les Tice
ÉDITORIAL
2008 : Le « nouveau métier » ?
LE SYSTEME
Carte scolaire : Ce que nous apprend l’exemple belge l 2008 : Le ministre noté l Deux semaines d’éducation résumées l Pas d’école Jack Lang
L’ÉLÈVE
Bac : Modification des épreuves anticipées l En Angleterre, le podcast vaut la dissert
LA CLASSE
Le programme du Forum Retz Le Monde
LA RECHERCHE
PédagoPsy, le nouveau site de J. Nimier l Décrochage : Le quartier pas seulement l’école
CITOYENNETE
Sarkozy et l’Eglise
LES DISCIPLINES
Maternelle : La directrice et le rapport Bentolila l Histoire – Géo : 15% des élèves de 3ème n’acquièrent pas les bases l Cinéma : Le Prix Cannes 2008
LES TICE
Angleterre : Les profs « trous de sécurité » dans les fichiers élèves l Faille dans Real Player
Le fait du jour
L’Unesco s’engage pour les Tice
« Les Standards de compétences TIC des enseignants offriront un outil qui aidera les décisionnaires politiques et les développeurs de formation pour les enseignants à organiser leur utilisation des technologies de l’information et de la communication ». L’Unesco présentera le 8 janvier à Londres ses directives pour l’intégration des Tice à l’enseignement à une centaine de ministres de l’éducation.
Selon le Directeur général de l’UNESCO, Koïchiro Matsuura, » ces standards consistent en des modules qui aideront les formateurs à hiérarchiser leurs besoins et à concevoir des programmes adaptés à des besoins et des ressources spécifiques, reflétant la conviction de l’UNESCO que les pays doivent piloter l’organisation éducationnelle ». Les standards sont déjà proposés en ligne et un site Internet permettra un suivi des formations proposées dans les pays.
La démarche de l’Unesco vise d’abord à sensibiliser les gouvernements à l’importance de l’enjeu. « Les enseignants doivent être préparés à permettre aux étudiants de s’emparer des avantages que la technologie peut apporter ». Concrètement, l’organisation a ciblé des compétences que les enseignants doivent acquérir. Par exemple, « savoir quand et comment utiliser les tice en classe », « utiliser les tice en classe entière ou en groupe », « acquérir des savoirs pédagogique sur le web », « être capable d’aider ses collègues », « être capable de créer des communautés virtuelles pour apprendre continuellement ». Une dernière partie ouvre des pistes pour monter des formations professionnelles capables d’atteindre ces objectifs.
Le communiqué Unesco et l’accès aux standards
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2008 : Le « nouveau métier » ?
Ce sera sans doute l’événement principal de l’année pour le million d’enseignants que compte la France :le rapport de la commission Pochard sur le métier d’enseignant, attendu fin mars, et les décisions qui le suivront.
A l’évidence, elles arriveront dans un contexte défavorable pour les enseignants. Alors que la commission doit statuer sur la rémunération et les conditions d’exercice du métier, le cadre budgétaire est déjà voté et laisse peu d’ouverture si ce n’est du coté du « travailler plus » et des heures supplémentaires. Pire encore, l’accumulation de mauvais résultats du système éducatif français aux enquêtes internationales (Pisa, Pirls) peut être exploitée politiquement pour imposer des réformes violentes. Enfin l’Ecole est sous la pression constante de lobbys réactionnaires particulièrement influents à droite (même quand ils se réclament de l’extrême-gauche !) qui peuvent faire craindre tous les dérapages.
On sait pourtant que le métier d’enseignant est pénible. Selon le ministère, le professeur du secondaire travaille 39 h 47 par semaine. Aux 18h 46 d’heures d’enseignement, s’ajoutent 21 heures consacrées aux préparations, corrections, suivi des élèves, rencontres avec les parents ou encore réunions avec les collègues. Le rappel de ces chiffres, la pénibilité des heures de cours affirmée par 83% des enseignants, montrent d’ailleurs les limites du slogan « travailler plus pour gagner plus ». La pénibilité du métier est aussi liée à l’isolement de l’enseignant, à l’émiettement des temps de formation, au climat scolaire souvent lourd dans nombre d’établissements. Les experts ont pu mettre en avant une complexification croissante du métier, liée aux réformes, génératrice d’un « malaise enseignant » que les études officielles confirment. Selon une étude de l’Esen, « 9 enseignants sur 10 reconnaissent l’existence d’un malaise interne. 6 sur 10 se sentent personnellement concernés ». Il touche particulièrement les enseignants les plus expérimentés, le cap des 20 ans de métier étant déterminant ». Pour C. Maroy, « les enseignants vivent des sentiments de déprofessionalisation ou de tensions entre leurs orientations normatives et celles des politiques… La surcharge de travail peut aussi être paradoxalement liée dans ces contextes aux tentatives des enseignants de satisfaire simultanément les demandes officielles et leurs propres conceptions du métier ».
C’est dire qu’en isolant la question du métier d’enseignant de celle plus générale de l’Ecole, la démarche gouvernementale ajoute à ces contradictions et à ces tensions. A quoi bon augmenter le temps de présence des enseignants dans les établissements si , en même temps, on ne vise pas la démocratisation scolaire c’est-à-dire le collège unique ? A quoi bon imposer aux enseignants de vrais travaux d’orientation scolaire si on accentue la ségrégation et la sélection scolaire ? Comment « professionnaliser » le métier en vantant le modèle du prof traditionnel et l’enseignement frontal ? Comment réformer la formation des enseignants sans aborder la question des publics scolaires, des savoirs à transmettre et de l’école démocratique ?
Faut-il s’en tenir au statu quo ? Dans ces conditions la tentation est forte de se cramponner à l’existant et de refuser tout changement. Cette position est pourtant intenable. D’abord parce que les valeurs de l’Ecole imposent qu’elle poursuive sa démocratisation ce qui aujourd’hui passe par sa transformation radicale. D’autre part parce qu’il serait inacceptable de perpétuer le « malaise enseignant ». Enfin parce qu’une réforme bien menée doit pouvoir dégager les moyens qui lui sont nécessaires même dans un cadre budgétaire contraignant. Entre toutes ces exigences, cherchons la route.
Sur le Café, conférence surle métier
Carte scolaire : Ce que nous apprend l’exemple belge
Il y a quelques semaines les médias belges, et même au-delà, montraient les queues formées à la porte de quelques écoles de la Communauté française de Belgique par des parents souhaitant inscrire leur enfant. Dans ce pays où les parents disposent d’un libre choix total de l’école, ce phénomène résultait de l’application d’un nouveau texte qui oblige les établissements scolaires à ouvrir le même jour un registre d’inscription numéroté afin de lutter contre les discriminations. La mesure vise à obliger les écoles à mettre fin à la sélection et à prendre les enfants par ordre d’arrivée. Quelques semaines plus tard, Benoît Galand (UCL) publie, sur le site de l’association Changements pour l’égalité, une étude sur les « inscriptions scolaires et la mixité sociale ».
Pour nos lecteurs belges, soulignons que l’étude apporte une étude très fine des refus d’inscription. « La réputation de l’école dont est issu l’élève et le bulletin constituent les principales sources de « priorisation » des inscriptions dans certaines écoles, viennent ensuite l’origine sociale et ethnique » écrit B. Galand et il rapporte plusieurs cas de discrimination ethnique ou sociale qui justifient la démarche de la Communauté française.
Mais plus généralement, l’étude de B. Galand donne à voir ce que peut être un système éducatif où n’existe aucune carte scolaire et qui garantit aux parents la liberté totale de choix. Une situation que la France va connaître à la rentrée prochaine. Le libre choix peut-il avoir un impact sur la mixité sociale à l’école ? B. Galand montre que « concernant les établissements scolaires, le libre choix des familles a pour conséquence de les mettre en concurrence pour capter les élèves…Plus précisément, les recherches en sciences de l’éducation montrent que cette mise en concurrence a généralement pour effet d’inciter les écoles à sélectionner les publics les plus rentables » c’est-à-dire les élèves les mieux adaptés àl’Ecole, c’est-à-dire généralement ceux des milieux favorisés. Le mouvement est renforcé par les démarches des parents de milieu défavorisé. « Schématiquement, les parents peu ou pas scolarisés et/ou vivant dans une certaine précarité économique tendent à privilégier le critère de proximité, l’école du quartier ». Sans dispositif compensateur, le libre choix augmente la ségrégation scolaire. La Belgique réussit d’ailleurs, Pisa 2006 l’atteste, à être encore plus inégalitaire que l’école française.
Quels correctifs apporter ? Imposer la tenue de registre d’inscriptions,pour la raison qui vient d’être donnée, semble insuffisant à B. Galand. Alors la discussion se porte en Belgique sur d’autres solutions. D’abord la « gestion collectives des préférences » c’est-à-dire une gestion par bassin scolaire. Ensuite un financement modulé selon le degré de mixité sociale. Enfin « la création d’un véritable tronc commun dans les premières années du secondaire. L’idée centrale est d’offrir à tous les élèves une véritable formation commune qui ne soit pas calquée sur la filière générale, mais prépare à l’ensemble des filières, ce qui en fait une structure scolaire permettant davantage des choix positifs et un véritable travail d’orientation progressive ».
Ce qu’apporte l’étude de B. Galand c’est la confirmation que la mesure envisagée par le gouvernement français pour lutter contre la ségrégation sociale qui accompagne le retrait de la carte scolaire, à savoir la priorité donnée aux boursiers dans le choix de l’établissement, a peu de chance d’être efficace.
2008 : Le ministre noté
Le Monde annonce que les ministres du gouvernement Fillon seront évalués par le cabinet d’audit Mars & Co. « Sur la feuille d’évaluation de Xavier Darcos », écrit le quotidien, « on trouve le nombre d’heures supplémentaires réalisées par les enseignants et l’ancienneté des enseignants en zep ». La première mesure est à lier à la réduction des postes d’enseignants, la seconde à l’installation de véritables équipes pédagogiques en zep. A partir de ces critères, que vise X. Darcos : redoubler ou monter en classe supérieure ?
Article du Monde
Deux semaines d’éducation résumées
Durant les vacances, le Café a maintenu sa veille. Deux numéros de l’Expresso ont été publiés. Parmi les nouvelles importantes : le rapport sur la série S, le rapport Gross sur l’éducation artistique et culturelle, le nouveau calendrier du bac et ses conséquences, la réforme du B2i. Le Café a publié également pendant les vacances « le Guide 2008 du web pédagogique » et un entretien vidéo avec Nathalie Mons.
Pas d’école Jack Lang
Selon Le Figaro, le tribunal administratif de Lille a annulé la décision du conseil municipal de Beuvry-la-Forêt (59) de donner le nom de Jack Lang à une école de la ville. Le tribunal estime que l’appellation enfreint le principe de neutralité politique.
Bac : Modification des épreuves anticipées
Le Journal Officiel du 4 janvier publie un arrêté modifiant l’organisation des épreuves anticipées. Une modification principale : elle donne la possibilité « sous réserve de n’ avoir pas subi les épreuves anticipées l’ année précédente », de subir à la même session du baccalauréat toutes les épreuves, y compris les épreuves anticipées à l’exception toutefois de l’épreuve de travaux personnels encadrés » aux candidats agés de 20 ans (au lieu de 22 ans).
Pour comprendre, le texte de référence datant de 1993
En Angleterre, le podcast vaut la dissert
Les lycéens anglais pourront présenter dès 2009 une nouvelle épreuve, les « media studies ». Dans cet enseignement, on ne leur demandera pas de disserter mais de créer un objet médiatique (film, animation, publicité) et de décrire à travers un blog, un podcast ou un DVD leur démarche.
La classe
Le programme du Forum Retz Le Monde
Chaque année, le Forum Retz Le Monde de l’éducation est un moment d’échange attendu. En 2008, son thème central sera « comment l’école peut-elle s’adapter à chaque élève ? ». « L’école ne pourra parvenir à la réussite pour tous qu’en s’adaptant à chaque élève ». Ce qui amène les organisateurs à poser la question des effets des Tic sur les modes de pensée des élèves.
La recherche
PédagoPsy, le nouveau site de J. Nimier
« PedagoPsy, car je voudrais mettre l’accent sur son interdisciplinarité ». Jacques Nimier présente son nouveau site en rappelant la dimension interdisciplinaire de son site sur « les facteurs humains dans l’enseignement et la formation ». ‘Le nom de ce site veut donc montrer que j’essaie de me situer à l’interface de la Pédagogie et de la Psychologie, de la Psychosociologie et bien sûr des Sciences de l’Education dans un système qui étudie les facteurs humains en jeu dans l’enseignement… Enfin au moment où deux cultures s’opposent, celle, traditionnelle dans l’enseignement, qui veut former les élèves à l’esprit critique, à la rationalité, à la transmission de connaissances rationnelles, et celle, transmise principalement par les médias, les images, l’imaginaire, des connaissances simplement suggérées, je cherche à montrer l’indispensable prise en compte de la dialectique entre le symbolique et l’imaginaire et également l’erreur de croire qu’on peut évacuer complètement l’imaginaire dans toutes connaissances, dans toutes décisions particulièrement en ce qui concerne l’enseignement et la formation. J’essaie de montrer que c’est en le prenant en compte dans les personnes (fantasmes) et dans la société (imaginaires collectifs, idéologies) qu’on peut justement être moins tributaire de cet imaginaire et que c’est en l’analysant (et non en le niant) qu’on peut créer un véritable esprit critique chez nos élèves (et en nous -mêmes! ); c’est aussi cet imaginaire qui est à l’origine de la créativité chez nos élèves. Cette dernière est si importante pour notre pays ».
Ces thèmes sont particulièrement illustrés dans les pages du site de J. Nimier qui s’affirme comme un des meilleurs sites pédagogiques francophones.
Décrochage : Le quartier pas seulement l’école
Magnus Lofstrom, université du Texas, publie sur le site de l’IZA, une étude sur le décrochage des lycéens afro-américains et hispaniques. On ne sera pas surpris qu’il démontre l’influence de la pauvreté dans le risque de décrochage. Il met aussi en évidence les difficultés en anglais. Surtout il met en évidence un troisième facteur peu cité jusqu’ici : celui du quartier. « Nos travaux suggèrent que les caractéristiques du voisinage, simplement mesurées par la localisation de l’école et la composition ethnique des élèves, contribuent davantage au risque de décrochage des Afro-Américains que les caractéristiques de l’école comme les dépenses par élève ou le ratio professeur / élèves ». Il met donc en évidence l’impact des ghettos sociaux et ethniques dans l’échec scolaire. Une dimension qui échappe à l’école mais qui renvoie à l’exigence de la mixité sociale.
Citoyenneté
Sarkozy et l’Eglise
« On n’est pas prêtre à moitié, on l’est dans toutes les dimensions de sa vie. Croyez bien qu’on n’est pas non plus Président de la République à moitié… Je comprends les sacrifices que vous faites pour répondre à votre vocation parce que moi-même je sais ceux que j’ai faits pour réaliser la mienne ». C’est par cette vision que N. Sarkozy a ouvert son discours du Palais du Latran à Rome le 20 décembre. Discours où il demande « l’avènement d’une laïcité positive » c’est-à-dire qui « facilite la vie quotidienne des grands courants spirituels ».
Deux semaines plus tard ce discours n’en finit pas de susciter des réactions chez les enseignants et particulièrement ce passage : « dans la transmission des valeurs et dans l’apprentissage de la différence entre le bien et le mal, l’instituteur ne pourra jamais remplacer le curé ou le pasteur, même s’il est important qu’il s’en approche, parce qu’il lui manquera toujours la radicalité du sacrifice de sa vie et le charisme d’un engagement porté par l’espérance ».
Les disciplines
Maternelle : La directrice et le rapport Bentolila
« Il faudrait que les pédagogues et philosophes de renom se penchent un peu sur ce que peut être la réalité d’un petit enfant et qu’ils cessent de considérer leur monde comme étant la référence de ce qui existe en France ». Dominique Théret est directrice d’une école maternelle et élémentaire du nord de la France. S’appuyant sur cette expérience, elle réagit au rapport Bentolila sur la maternelle.
Lire l’article dur le site du Café
Sur le Café, le texte du rapport (pdf)
Sur le Café, l’analyse de P. Boisseau
Article de Pierre Frackowiak sur le rapport Bentolila
Le rapport Bentolila dans L’Expresso
Histoire – Géo : 15% des élèves de 3ème n’acquièrent pas les bases
« 15 % des élèves (groupes 0 et 1) n’ont pas acquis les compétences et les connaissances minimales pour faire un travail efficace en histoire, géographie et éducation civique. On peut penser que ces lacunes dépassent d’ailleurs la discipline (maîtrise de la langue française pour la compréhension et la production écrite…) » Après son étude sur les compétences en histoire-géographie en CM2, la Depp (ministère) publie une recherche sur les compétences en fin de 3ème. Selon elle 15% des élèves quittent le collège avec un niveau très faible.
« Plus de la moitié des élèves », écrit la Depp, » ont mémorisé les repères attendus à l’examen et ont, de plus, des connaissances sur certaines parties des programmes antérieurs. Ils ont un vocabulaire plus précis et élargi qui leur permet un bon niveau de compréhension des documents et des textes longs. Ils peuvent ainsi travailler sur des documents plus difficiles et complexes. Ils maîtrisent la lecture cursive de textes longs ainsi que la lecture analytique de tous les types de documents auxquels ils commencent à donner du sens, soit pour « interpréter » (avec « guidance ») notamment sur le programme de troisième, soit pour réaliser des cartes et croquis ».
Trois points discriminent les élèves. Le premier concerne le travail à la maison : son importance est corrélée à un fort taux de réussite. Le second concerne les questions ouvertes, toujours plus difficiles que les QCM. C’est que finalement la réussite en histoire-géo est liée à la maîtrise de compétences plus générales et particulièrement à celle de l’écriture. « La compétence rédactionnelle (et a fortiori celle de construire des croquis) est sous-tendue par d’autres opérations intellectuelles (généraliser, synthétiser, argumenter) et, inversement, ces opérations sont révélées par la compétence rédactionnelle (c’est-à-dire la maîtrise de la langue française) : laquelle fait écran à l’autre ? »
Cinéma : Le Prix Cannes 2008
Les polémiques venues du choix du film 4 Mois, 3 Semaines et 2 Jours de Cristian Mungiu pourle Prix de l’éducation nationale 2007 n’ont pas atteint le prix. L’éducation nationale annonce le lancement du prix 2008. Le film primé est signalé aux enseignants et aux lycéens et est accompagné d’outils pédagogiques, dont un DVD réalisé par le Cndp.
les tice
Angleterre : Les profs « trous de sécurité » dans les fichiers élèves
Une nouvelle étude met en doute la sécurité des fichiers élèves en Angleterre. Selon BBC News, la moitié des écoles auraient des dispositifs de sécurité inadaptés. Par exemple elles autorisent les enseignants à emporter à la maison les fichiers.
Faille dans Real Player
Selon Secuser, un defaut de sécurité touche Real Player. Aucun correctif n’est disponible pour le moment.
le Cafe
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