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« L’usage généralisé des portables et autres gadgets électroniques permettra la mise en place d’un système de formations personnalisées via un Plan d’Année Scolaire mis à jour par un professeur référent. Avec les «digital kids», le parcours unique pour une même classe d’âge ne fera plus sens, donc on leur proposera des chemins d’apprentissage plus adaptés à leurs compétences » prophétise, depuis les Rencontres d’Autrans, Mario Asselin, dans Libération du 12 janvier. « Surtout, l’élève deviendra aussi producteur de contenu et progressera en mettant son travail et ses réflexions en ligne. Il en fera ainsi profiter la communauté éducative (élèves, professeurs, parents) qui elle-même renverra ses expériences. L’école devra reconnaître qu’il y a pleins de façons d’acquérir des connaissances. D’où la mis en place d’un «professeur répondant», de l’école à l’université, disposant d’un agrégateur pédagogique ». Le quotidien évoque également l’histoire des « Réseaux buissonniers du Vercors », un groupe pionnier dans l’innovation pédagogique appuyée par les TICE. |
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