Ile-de-France | Paris | Seine-et-Marne | Essonne | Hauts-de-Seine | Seine Saint Denis | Val de Marne | Val d’Oise Ile-de-FranceA la rencontre de l’olympisme A l’initiative du Conseil régional, des sportifs franciliens sélectionnés aux jeux olympiques et Paralympiques d’Athènes 2004 et Turin 2006 interviennent dans les lycées et les CFA de la région. Il s’agit de promouvoir le développement de la pratique sportive et des valeurs humanistes de l’olympisme. Pour avoir le privilège d’accueillir dans son établissement les athlètes, les équipes éducatives sont invitées à monter et présenter un projet pédagogique tels qu’un travail pluridisciplinaire sur l’olympisme, des créations artistiques, des animations. Les établissements intéressés peuvent télécharger le dossier d’inscription sur le site de la région. Les dossiers seront retenus par ordre d’arrivée. « Les petits princes d’aujourd’hui ne demandent plus qu’on leur » dessine un mouton « . Ils désirent qu’on leur construise un lycée moderne, accessible et beau. Où ils auront plaisir à apprendre. À travailler. À retrouver leurs camarades de classe. À tout simplement grandir ». Jean-Paul Huchon,président de la région Ile-de-France ouvre par ces mots le catalogue de l’exposition « Construis-moi un lycée ». La région consacre chaque année 400 millions à la construction ou la rénovation d’une centaine de lycées et à l’entretien des 470 établissements franciliens. L’exposition présente les projets architecturaux des derniers édifices réalisés. La qualité architecturale témoigne aussi d’une réflexion sur les usages de ces bâtiments. Poser la question de l’espace de la classe c’est aussi interroger les pratiques pédagogiques. Oser celle des bureaux pour les profs, c’est infléchir le métier lui-même… Deux tables rondes sont prévues : le 5 décembre sur architecture et développement durable et le 13/12 sur fonctionnalité et urbanité. Plus de 300 millions d’euros sont consacrés à l’apprentissage soit près de 10% du budget régional, avec comme objectif d’atteindre 100 000 apprentis en 2010 contre 65 000 actuellement. Pour le conseil régional « gagner le pari de l’avenir c’est miser sur l’apprentissage ». D’abord pour l’entreprise : « recruter un apprenti c’est former un futur salarié » et mieux répondre aux besoins de l’entreprise. Egalement pour l’apprenti : 80% des apprentis trouvent un emploi à l’issue de leur formation. La région présente son programme dans une brochure qui présente précisément les aides versées aux entreprises qui accueillent des apprentis. En Seine-et-Marne, 15 millions d’euros seront consacrés par la région pour offrir le haut débit aux entreprises, aux administrations et aux établissements scolaires. Le réseau de fibres optiques devrait atteindre 1100 km en 2008. ParisLes états généraux parisiens de la restauration scolaire « Je suis Directrice d’une école maternelle en ZEP. Ce débat a été ouvert par les politiques, c’est à eux que je m’adresserai… Pour que l’amélioration du temps de repas se fasse réellement, il faudra transformer les postes de surveillants en poste d’animateurs… C’est du temps pour leurs formations, pas seulement celles des titulaires, celles des vacataires également pour qu’ils aient le temps concret de lire et de décrypter le « guide du surveillant de l’interclasse », et, enfin, du temps de concertations… Il faut aussi un certain respect de ces animateurs en leur permettant de travailler dans de bonnes conditions, notamment en installant des vestiaires adaptés ». Le 20 octobre, la ville de Paris organisait les premiers Etats généraux de la restauration scolaire. Plus de 500 participants : des élus, des directeurs d’école, des parents, des représentants des entreprises de restauration, des médecins… Il a été question du goût, de la lute contre l’obésité, de la qualité gustative et biologique des aliments. Mais aussi des locaux, des problèmes de lavage de mains ou de temps de restauration. Au centre des débats également le temps du midi. « Le temps de midi, appelé interclasse, est un moment important dans la journée de l’enfant car il représente le quart de sa présence à l’école. Ce moment, s’il se déroule bien, est déterminant pour une bonne récupération avant la reprise de la classe » rappelle un responsable d’arrondissement. « À Paris, comme on vous l’a déjà dit, c’est 100 000 enfants qui restent à l’école pendant le temps de midi. Cela représente 75 % des enfants scolarisés. Ils sont encadrés par 6 450 animateurs titulaires, contractuels, vacataires et agents de service ». Les Etats généraux ont décidé la création d’un Conseil parisien de la restauration scolaire et l’élaboration d’un « Guide « . Seine-et-MarneLe département face à la montée des dépenses éducatives Fermeture d’un collège à Torcy Les collégiens de Jean Monnet seront reversés au collège Aragon de Tocy ou au collège Le Segrais de Lognes. YvelinesOdyssée 78 Du 18 janvier au 7 avril 2007, le Théâtre de Sartrouville-CDN et le Conseil général des Yvelines présentent la 6ème Biennale de création théâtrale pour l’enfance et l’adolescence. 325 représentations dans 70 villes pour découvrir 6 spectacles en famille et en classe. 6 pièces de théâtre spécialement créées pour les enfants et adolescents des Yvelines à partir de 6 ans. Petit Pierre, Jamais avant, Les sifflets de monsieur Babouch, les malices de Plick et Plock, Etre le loup , L’assassin sans scrupules : ces spectacles ont été imaginés et créés pour les enfants de 6 à13 ans et permettent un premier contact avec l’univers du théâtre. Hauts-de-SeineP@ss 92 étendu aux collégiens de 4ème puis de 3ème A la rentrée 2007 il sera proposé également aux élèves de 3ème. Un site pour les enseignants du département Pour réaliser ses projets de classe, exploiter les ressources locales, participer aux événements du département, connaître les dispositifs d’aide, le site Education Hauts-de-Seine apporte informations et réflexions aux enseignants altoséquaniens. Cette version du Conseil général est critiquée par la Fcpe 92 qui dénonce l’absence de concertation. » La FCPE 92, constate qu’une fois encore, le Président du Conseil général n’a pas cru devoir informer les fédérations de parents ni même les maires des communes concernées, du développement d’un dispositif qui ne correspond en rien aux demandes de la communauté scolaire. Il s’abrite dernière un bilan qu’il estime positif de l’initiative menée dans les 12 premiers collèges, mais dont aucun conseil d’administration n’a eu connaissance. La FCPE 92 réaffirme que pour lutter contre les comportements inciviques et protéger les élèves il faut, dans les établissements, des adultes formés porteurs d’une mission éducative ». http://cdpe92.apinc.org/cdpe92/index.php?200[…] Seine Saint DenisUn bracelet contre le mariage forcé « Pour que le mariage forcé ne soit plus une fatalité. Un bracelet porteur du message « C-mon coeur qui choisit » accompagne la démarche engagée par le Conseil général de la Seine-Saint-Denis contre les mariages forcés. Cet objet est inspiré par l’élan de solidarité que les jeunes, filles et garçons, manifestent à l’égard de leurs camarades en risque d’être mariées contre leur gré. Ce bracelet doit renforcer la prise de conscience du droit des femmes à l’autonomie. Sa large diffusion permettra d’en faire un support pour l’affirmation de la liberté d’aimer ». Le Conseil général lance une opération de sensibilisation des jeunes contre le mariage forcé. Espace 93 lance un concours destiné aux 12-25 ans. Ils doivent imaginer un récit pour lutter contre les discriminations. Date limite d’envoi le 28 février. Val de MarneLe Val-de-Marne réfléchit à un projet éducatif départemental » Comment agir ensemble sur les conditions de réussite ? A quelles conditions les actions des collectivités peuvent-elles permettre aux élèves d’entrer dans les apprentissages scolaires ? » Le Conseil général du Val de Marne a organisé le 24 novembre un colloque sur le projet éducatif départemental. Il a été question de la parentalité, du périscolaire, de la vie des élèves dans les établissements et des enjeux de la démocratisation de l’éducation. Le colloque a réuni parents et acteurs de l’éducation pour aborder ces différents points. Chaque atelier était suivi par des experts : Agnès Van Zanten et Catherine Agulhon pour l’atelier sur la parentalité et les inégalités, Serge Pouts-Lajus pour celui sur le périscolaire, Stéphane Wahnich pour celui sur la vie des élèves. Jean-Yves Rocheix a encadré le travail sur la démocratisation de l’éducation. « Nous voulons, sans nous substituer à l’Etat, contribuer à la réussite de tous les jeunes val-de-marnais, en particulier celles et ceux qui vivent » dans les territoires les plus défavorisés », a indiqué Christian Favier, Président du conseil général, en ouverture de la séance plénière. Il s’agit bien pour le Conseil général de « franchir un pas » en prenant en charge dans sa globalité les collégiens. Le Conseil général des collégiens s’est réuni le 12 décembre. Six projets ont été présentés : un court métrage favorisant de « nouveaux comportements » en faveur des handicapés, un vidéo clip contre les drogues, une exposition contre les discriminations, un festival culturel pour promouvoir de jeunes talents, un DVD sur les rapports files – garçons et l’organisation d’une Journée départementale de solidarité avec les peuples du Sud. Les projets seront soumis au Conseil général du 29 janvier. Val d’OiseLe Mag’zine des collégiens |
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