» Ne surtout pas céder au fatalisme. Tirer le meilleur des élèves, avoir un niveau d’exigence à la fois très élevé et adapté au niveau des mômes. Les Zep doivent être efficaces : il faut absolument que 100 % des élèves arrivent au niveau 5, c’est-à-dire au CAP ou BEP ». Interrogé sur la réaction à avoir au conflit des banlieues, Alain Bourgarel, fondateur de l’Observatoire des zones prioritaires, appelle l’Ecole à l’effort. « Sortir chaque année du système scolaire sans rien, c’est un crime. On multiplie les risques de chômage et de délinquance ». Il demande aussi un effort à l’Etat » en rétablissant des crédits pour les associations de quartier, de lutte contre l’illettrisme, par exemple. Faute de subventions, elles ferment les unes après les autres. C’est le résultat de la politique de la Ville décidée par le ministre Borloo ».
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