Sénégal : Une académie des langues nationales
Le Sénégal multiplie les expériences d’enseignement en langues nationales afin de faciliter l’alphabétisation dans le pays. Ce qui l’amène à créer des manuels scolaires, des grammaires pour des langues jusque là ignorées par l’éducation. Pour réussir ce pari, le président du Sénégal a annoncé la création d’une académie des langues nationales qui regroupera les lettrés des différents idiomes du pays.
http://fr.allafrica.com/stories/200503160243.html
http://cafepedagogique.studio-thil.com/lemensuel/lesysteme/Pages/2005/inter_35_accueil.aspx
Sénégal : Les écoles – trottoirs
» Réaliser la scolarisation primaire universelle et doper de 50% les niveaux d’alphabétisation des adultes, conformément aux objectifs d’Education pour tous en 2015, voilà un impératif stratégique pour tous les plans d’actions nationaux, celui du Sénégal compris. Toutefois un but de développement confronté aux dures réalités du système éducatif telles que la faiblesse des taux d’achèvement, la déperdition scolaire, les abandons massifs, les contenus d’apprentissages insuffisamment maîtrisés… D’où l’impact des initiatives communautaires, en totale rupture avec les cadres formels, pour accroître l’offre éducative et prendre en charge les exclus du système. Écoles de la rue, écoles-trottoirs, écoles communautaires de base, autant d’innovations et d’originalités pour accorder une seconde chance aux apprenants dans le processus d’alphabétisation, d’acquisition des connaissances de base et /ou des compétences nécessaires à la vie courante ». Sud Quotidien, un journal de Dakar, montre l’importance des écoles des rues pour atteindre l’objectif de l’alphabétisation de tous dans un pays où la moitié des écoliers seulement parviennent à boucler le cycle de l’école élémentaire.
http://fr.allafrica.com/stories/200503300692.html
http://fr.allafrica.com/stories/200503300691.html
Algérie : L’EPS revient
Selon La Tribune d’Alger, l’EPS redeviendra obligatoire à l’école. Depuis des années la discipline avait régressé sous la pression des traditions.
http://fr.allafrica.com/stories/200504040234.html
Mali : De Rennes à Bamako
« Moi je suis totalement contre la suppression des TPE. Ce n’est pas normal, il faut donner la chance à tout le monde d’étudier ». Ce message adressé à F. Fillon est retransmis par l’AFP depuis la capitale du Mali, Bamako, où un sit-in a perturbé le fonctionnement de la principale école française. En métropole, les occupations de lycées se sont multipliées : à Rennes, Montreuil, Nanterre, dans le Puy-de-Dôme.
http://actu.voila.fr/Depeche/depeche_emploi_050317210313.y43m299l.html
http://actu.voila.fr/Depeche/depeche_emploi_050317161036.yo40kx9d.html
Cameroun : L’introduction des TICE bute sur les problèmes matériels
Selon Le Messager de Douala, bien que le gouvernement ait inscrit aux programmes une introduction des TICE depuis 3 ans, tous les établissements scolaires camerounais ne sont pas équipés. Ainsi un collège d’un quartier populaire doit apprendre la comptabilité avec 10 postes pour des classes qui oscillent entre 50 et 60 élèves. Mêmes les établissements mieux lotis souffrent des coupures d’électricité. Résultat : » Nous nous attelons à donner des notions aux élèves et ils font eux-mêmes des efforts pour les mettre en pratique une fois rentrés chez eux ».
http://fr.allafrica.com/stories/200504010461.html
Nigéria : Le ministre arrêté
Le ministre nigérian de l’éducation est en prison. Il est accusé d’avoir versé des pots de vin à des députés pour obtenir l’adoption du budget de l’éducation. Celui-ci serait sensiblement surévalué.
http://www.grioo.com/info4339.html