François Jarraud
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Le fait du jour
Manifestation de soutien à la directrice de l’école Rampal
« Il est inacceptable d’organiser des formes d’embuscades près des établissements scolaires afin d’interpeller des personnes qui viennent y chercher leurs enfants. Il est humiliant de les fouiller et de les interroger au seuil même de l’école devant de nombreux témoins. Et faut-il impérativement utiliser des gaz lacrymogènes pour faire face à l’indignation des parents présents ? » Cette lettre au premier ministre ne vient pas de la rue de Grenelle mais de l’Hôtel de ville de Paris. Bertrand Delanoë s’inquiète de l’interpellation de Valérie Boukobza, la directrice de l’école de la rue Rampal (19ème), et appelle le chef du gouvernement à cesser ces « provocations« .
Rappelons les faits. Suite aux interpellations mouvementées (utilisation de chiens policiers, de gaz lacrymogènes) de parents d’élèves les 19 et 20 mars aux portes de deux écoles du 19ème arrondissement parisien, la directrice de l’école maternelle de la rue Rampal a été mise en garde à vue vendredi 23 mars et retenue toute la journée. Elle est accusée d’outrages et dégradation de biens publics en réunion. Lors de l’interpellation mouvementée, à quelques mètres de l’école maternelle, d’un grand-père chinois, en situation irrégulière, venu chercher sa petite fille, elle aurait insulté un policier et tapé sur la voiture de police.
Ses collègues de la circonscription de la Goutte d’or ont écrit au recteur pour demander son intervention. « Le procédé de rafle est en lui-même odieux et aujourd’hui doublement insupportable quand il s’y mêle l’institution que nous représentons » écrivent-ils. Le recteur estime ne pas avoir à soutenir la directrice, l’affaire s’étant déroulée hors de l’école. « Elle doit assumer ses actes« .
L’affaire a pris une nouvelle proportion avec les déclarations des candidats à la présidentielle. Nicolas Sarkozy a estimé « ne pas avoir de commentaire à faire sur une affaire judiciaire« . Pour Ségolène Royal, « ce qui s’est passé est totalement inadmissible. Il faudra que la France reste fidèle aux valeurs qui sont les siennes. Quand une institutrice est en garde à vue parce qu’elle protège les enfants de son école, ce n’est pas la France telle que nous l’aimons… Les enseignants ne sont pas des auxiliaires de la police ». Pour elle , « les enfants scolarisés en France doivent pouvoir accomplir leur scolarité en France… leurs parents doivent pouvoir rester sur le territoire ».
La Fsu, le Sgen-Cfdt, Sud Education, FO,la Cnt,l’Unsa, la Cgt, la Fcpe et le Resf appellent à une manifestation de solidarité avec la directrice lundi 26 mars à 18 heures devant le rectorat de Paris (rue des écoles, Paris 5ème). La vidéo de la rue RampalCommuniqué ResfDépêche AFP
Editorial
Pour la seconde fois depuis le début de la campagne électorale, les enseignants font irruption dans la campagne. Après le fracas médiatique entretenu autour des déclarations volées de Ségolène Royal sur le temps de travail des enseignants, c’est une anonyme directrice de maternelle qui fait la Une, parce qu’elle s’est retrouvée en garde-à-vue après s’être opposée à l’arrestation d’un grand-père sans-papier à la sortie de son école.
Exit de la Une, l’enseignant consommateur choisissant entre les différents menus à la carte électorale, cet enseignant qu’on nous décrit comme plus préoccupé de son confort personnel que de la réussite de ses élèves.
C’est l’enseignant acteur, citoyen qui pointe dans la lucarne médiatique, le hussard de la république prompt à défendre les valeurs qui fondent le ciment national.
Et ce n’est sans doute pas le hasard si c’est une directrice de maternelle, cette école qui recueille toujours le plus d’opinion positive des sondés, qui prend aujourd’hui ce rôle emblématique.
Les jours à venir diront si cet événement deviendra une épine dans le pied des candidats adeptes du tout-sécuritaire, ou s’il plongera dans les abysses du turn-over médiatique.
En tout état de cause, espérons que Valérie Boukobza ait allumé une petite lumière dans la tête de millions de personnes : et si « électeur » ne rimait pas avec « consommateur » ?
Patrick Picard
Le système
Note de vie scolaire : le bêtisier de la Fcpe
La note de vie scolaire n’en finit pas de troubler la vie scolaire qu’elle est censée faciliter. La Fcpe, qui avait déjà émis ses doutes sur ce dispositif au premier trimestre, publie un « bêtisier » de la note de vie scolaire qui met en évidence les inégalités et les absurdités de cette note, autrement dit son arbitraire. Or la note est devenue un élément d’un diplôme national, le brevet.
La Fcpe relève que dans tel collège un élève a eu zéro pour avoir égaré son carnet durant deux jours. Ailleurs la note est donnée sans aucun critère précis. Dans un autre collège les élèves perdent des points pour leur absence… lors des journées de grève des enseignants !
Dans un rapport rendu en mars 2007, l’Inspection générale a elle aussi relevé des errements dans l’attribution de cette note. « Dans plus de 80% des cas » signale l’Inspection, « les notes attribuées se situent au dessus de 15/20 provoquant un trouble réel chez certains enseignants« . Les inspecteurs jugent que la note ne prend pas assez en compte les compétences sociales et civiques des élèves. Ils demandent qu’elle soit accompagnée d’une appréciation et que son efficacité sur les comportements soit évaluée. Cette initiative Robien a-t-elle de l’avenir ?Article du FigaroLa note de vie scolaireL’avis du CaféUn bilan
Epep : Opposition de la FNER
La Fédération nationale pour l’Ecole rurale (Fner) réunit des enseignants, des parents et des élus qui militent pour l’école rurale. La Fner s’affirme hostile au projet d’Epep. Elle y voit d’abord une structure inadaptée au monde rural, car trop lourde, voire ingérable : « le directeur d’EPEP se retrouverait de fait le factotum du système, et ce sans secrétaire ni comptable !… Sans compter le risque de désaccords municipaux dont les écoles risqueraient de faire les frais ».
Elle y voit aussi un déni pédagogique. » le CA, à majorité d’élus municipaux, serait alors maître d’œuvre du projet d’EPEP, dont devrait dépendre l’ensemble des projets d’écoles; projets d’écoles dévalorisés, ne permettant plus à chaque école de mieux prendre en compte dans ses objectifs le milieu et le public local. De plus, le temps perdu à « faire marcher le système » serait du temps en moins pour la pédagogie. »
Les syndicats enseignants, les associations de parents se sont prononcées contre le projet d’Epep que le ministre souhaite mener à bien. La FnerSur l’Epep
L’élève
Les délégués s’en mêlent
Ils sont élèves au lycée François Mauriac d’Andrézieu Bouthéon dans la Loire, élus par leurs pairs pour être délégués d’élèves. Cap Canal leur donne la parole à travers un film de 26 minutes diffusé également sur Internet. En écoutant leurs motivations, leurs questions, en partageant quelques moments clés de leur engagement, ce film propose de faire le point sur le rôle d’un délégué, la difficulté mais aussi l’intérêt d’un tel engagement.
À quoi servent les délégués de classe ? Ont-ils un réel pouvoir décisionnaire ? Comment les former à cette responsabilité ? Peut-on vraiment parler de démocratie lycéenne ? Une table ronde cherche les réponses. Elle réunit Philippe Meirieu, Damien Durand, auteur de Délégués Flash, Eric Favey, secrétaire national de la Ligue de l’Enseignement, Jacqueline Rimet-Meille, proviseur du Lycée polyvalent Hector Berlioz, Caroline Puig-Grenetier, réalisatrice du documentaire “Les délégués s’en mêlent” et Bernard Augier, Président du Conseil de Prud’homme de Lyon, en tant qu’invité venu d’ailleurs.Le film
Handicap : Progrès des scolarisations individuelles
Selon une étude de la Drees (ministère de la Santé), 235 000 enfants ou adolescents en situation de handicap ont été scolarisés en 2005-2006. L’éducation nationale en a accueilli 151 000 dont 104 000 en classes ordinaires ou adaptées à des enfants présentant des difficultés scolaires ou sociales en scolarisation individuelle. Les autres étaient scolarisés dans des classes spéciales. Enfin 76 000 enfants étaient pris en charge dans des structures relevant du ministère de la Santé, essentiellement des instituts médico-éducatifs. La scolarisation individuelle progresse : elle aurait doublé depuis 1999.
Malgré tout, ces chiffres sont à comparer à la situation chez nos voisins. Ainsi, au Canada, 55% des enfants handicapés suivent leur scolarité dans des cours ordinaires, 25% suivent à la fois des cours ordinaires et spéciaux. Seulement 10% suivent des cours dans une structure spéciale ou ne suivent pas de cours du tout. Etude DreesAu Canada
Apprentissage nomade en Ile-de-France
Le podcast au secours des étudiants. Le Conseil régional d’Ile-de-France vient de décider de soutenir à hauteur de 400 000 euros le projet « Apprentissage nomade » dirigé par l’université Paris 1. Celle-ci mettra à disposition des étudiants des séquences pédagogiques audio réalisées par les universités franciliennes Paris 1, 5 et 7. Elles seront proposées gratuitement en téléchargement en podcast. Le projet poursuit plusieurs objectifs : adapter l’enseignement à une pratique culturelle des étudiants de façon à les aider à réussir mais aussi donner davantage de visibilité aux universités franciliennes. Le projet
La classe
B2i : étrange objet du monde scolaire
« Il ne suffira pas d’un examen ou d’une injonction complémentaire pour faire du B2i un objet commun tant qu’on aura pas posé la question de la culture TICE des enseignants. A l’occasion de la mise en place du C2i2E, on ne perçoit pour l’instant pas de frémissement pour une formation continue. Comme si les décideurs avaient choisi de laisser passer une génération d’enseignants… en ne choisissant d’imposer cette certification qu’aux enseignants entrant dans le métier. Dans le même temps les pratiques sociales des TIC marginalisent progressivement le système scolaire qui (comme le disait le CLEMI dans son enquête) reste largement attaché à l’image de la répression et de la sécurisation des usages plutôt qu’à l’éducation aux usages... » Sur son blog, Bruno Devauchelle s’interroge sur la mise en place du B2i dans les établissements. Suffit-il de l’inscrire au brevet pour qu’il existe réellement ?
« Mettre en place le B2i n’est pas simple… Et pourtant lorsque les équipes y parviennent, elles sont satisfaites. On avait vécu cela avec les TPE ou les IDD. On a parfois l’impression que toutes ces propositions nouvelles ne sont pas suffisamment accompagnée par une administration qui, soit doute d’elle même, soit laisse les politiques passer en freinant sur le terrain les rares audaces possibles ».Le blog de B. Devauchelle
La recherche
Régulation des établissements : les profs suivent les managers ?
Comment fonctionnent les établissements et quel est le rôle réel des chefs d’établissement ? La création des établissements publics locaux d’enseignement a redéfini le rôle des chefs d’établissement et augmenté l’autonomie des établissements. Pour autant elle ne leur a pas donné un réel pouvoir d’évaluation sur les enseignants. Comment alors s’opère la régulation des établissements scolaires ?
Mohammad Hassani a enquêté auprès de 800 chefs d’établissement. Il définit 4 types de régulation. Le plus répandu (48%) concerne des établissements où le chef d’établissement réunit 2 fois par an ses enseignants, où ceux-ci se réunissent entre eux par niveau ou discipline à peu près aussi souvent pour échanger sur le niveau des élèves et les choix pédagogiques. M. Hassani parle de modèle « collectif et managérial modéré ». C’est le modèle le plus répandu en lycée. Il y a aussi des établissements où les réunions profs – chefs d’établissements et entre enseignants sont plus nombreuses : cela concerne 30% des établissements. Ils ont une vie collective importante et sont définis comme « collectif et managérial marqué ». On trouve ce modèle plus fréquemment en collège et L.P. Un troisième type concerne 15% des établissements et particulièrement les lycées et les établissements privés. Il y a peu de réunions et d’interventions du chef d’établissement. On parle de modèle « individuel laissez-faire ». Enfin 7% des établissements, particulièrement des collèges, ont peu d’action collective : on parle de modèle « individuel interventionniste ».
La thèse de M. Hassani remet en question trois idées reçues. La première concerne les établissements privés, souvent présentés comme modernistes. Selon M. Hassani, leur gestion est plus souvent traditionnelle et marquée par la faiblesse de la vie collective et des interventions managériales que la moyenne.
Mais l’apport le plus important concerne les rapports chef d’établissement et enseignants. Traditionnellement on oppose la volonté d’autonomie des enseignants aux interventions managériales des chefs d’établissement. Celles-ci participeraient de la perte de pouvoir et de la prolétarisation des enseignants et créeraient des tensions et des résistances dans les établissements (C. Maroy).
Or, pour M. Hassani, » La fréquence relative du mécanisme de régulation « collectif et managérial marqué » dans les établissements scolaires montre non seulement que les méthodes managériales de régulation ne sont pas toujours rejetées par les enseignants, mais encore, qu’elles peuvent s’accompagner d’une professionnalité renouvelée des enseignants, puisque les enseignants de ces établissements, on l’a vu, discutent beaucoup du niveau de performance des élèves et des moyens de les améliorer ».
Enfin, son travail relativise la faiblesse de la régulation dans les établissements en mettant en évidence des dispositifs nombreux de régulation informelle qui complètent les dispositifs officiels. Les managers peuvent effectivement entraîner leur établissement sans rencontrer de résistance.
Cette constatation interroge sur les résistances au changement. Comment les expliquer ? Les blocages sont-ils à chercher dans les incohérences des politiques d’éducation ?
La thèse
Citoyenneté
L’éducation à la citoyenneté dans Le Café Francilien
Chaque année, les lycéens franciliens, à l’instar de ceux d’autres régions, sont invités à participer à des projets qui exigent d’eux une forme d’engagement personnel différente de celle requise pour les tâches scolaires habituelles. Il s’agit notamment de projets dont les thématiques sont directement ou indirectement liées à la notion de citoyenneté. Quels sont et quels seront les droits et les devoirs du citoyen au XXIème siècle ? Comment peut-on s’y préparer ? Voilà les questions auxquelles les lycéens se trouvent confrontés par ces actions éducatives particulières dont nous rendons compte dans ce nouveau numéro du café pédagogique francilien.
Dans ce dossier, nous avons réuni des exemples que l’on pourrait tous qualifier de projets citoyens et qui traitent de thèmes aussi divers et aussi fondamentaux que la mémoire, l’égalité, la démocratie, la paix.Le Café francilien n°5
Le descendeur social
« En France, chaque élection importante prend désormais l’allure d’un séisme et les milieux populaires font figure d’épicentre. Dans quelle mesure et surtout pourquoi? Ce livre est né de ces interrogations et des querelles d’interprétation qui ont logiquement suivi ces élections marquantes pour la démocratie française. Derrière ces votes « extrémistes », « populistes », « protestataires », est-ce un nouveau «vote de classe» qui surgit? Ces choix électoraux ont-ils leur source dans un antilibéralisme virulent, un social-nationalisme douteux, un racisme assumé? Expriment-ils du nihilisme ou de l’indifférence ? » L’ouvrage de Philippe Guibert et Alain Mergier est téléchargeable sur le site de la Fondation Jean Jaurès, proche du P.S.
Il est particulièrement d’actualité en période électorale. « Employés et ouvriers représentent environ un Français sur trois en âge de voter. Ils votent autant que les autres, quand l’élection est décisive. Et plus ils votent, plus le vote pour les extrêmes progresse.. Pourquoi, enfin ? Parce que leur vie quotidienne n’est pas seulement difficile, elle mine la confiance en soi comme la confiance dans les institutions. Pour les milieux populaires, les fondements de la société française sont dénaturés. Précarité, chômage, appauvrissement : ce n’est plus l’ascenseur social qui est en panne, c’est le descenseur social qui s’est mis en route, pour devenir une des règles de fonctionnement de la société. Comme la violence potentielle, qui se dissémine ». L’ouvrage
5ème Festival du film des droits de l’homme
Du 27 mars au 3 avril, le 5ème Festival international du film des droits de l’homme propose à Paris une trentaine de films et des rencontres avec des réalisateurs.
La programmation met ainsi en avant la tenue récente d’élections libres en République démocratique du Congo (Marchands de miracles), la résistance de la jeunesse biélorusse dans la dernière dictature d’Europe (Leçons de Biélorussie) ou encore les mécanismes des « révolutions orange » en Europe de l’Est (Révolutions, mode d’emploi). Elle s’intéresse également à des thématiques comme l’accès à l’eau (Eau : service public à vendre), la défense du patrimoine et des cultures traditionnelles (Sipakapa no se vende), la captation des ressources naturelles des pays du Sud par les firmes multinationales (Total Denial). La programmation est divisée en trois catégories : Documentaires de création, Dossiers et grands reportages et Programmes courts. Le programme
Création d’un Observatoire de la laïcité
Selon Le Figaro, le président de la République devrait annoncer cette semaine la création d’un Observatoire de la laïcité. Il sera chargé de conseiller le gouvernement sur ce sujet.Article du Figaro
La HALDE forme à distance les employeurs pour éviter les discriminations à l’embauche
La HALDE lance, le mercredi 21 mars, une formation en ligne destinée aux employeurs et aux recruteurs. La formation passe en revue les questions du recruteur et donne des conseils pour mener un entretien de recrutement, comme pour gérer les évolutions de la carrière.
Cet outil offre par un jeu de questions/réponses, la possibilité d’aborder concrètement la lutte contre les discriminations et les mesures pour promouvoir l’égalité. Grâce au travail en commun réalisé entre des institutionnels et des professionnels, cette formation répond concrètement aux difficultés rencontrées sur le terrain. Communiqué
Disciplines
Documentation : Europeana, la bibliothèque numérique européenne
Depuis le 22 mars, la Bibliothèque numérique européenne (BNUE) est en ligne. Son site prototype, Europeana, a été inauguré par le président de la République. Ce projet « européen » n’est porté actuellement que par trois états. Europeana rassemble environ 12 000 documents libres de droits issus des collections de la BnF, de la Bibliothèque Nationale Széchényi de Hongrie et de la Bibliothèque nationale du Portugal.
Le projet avait été lancé en 2005 pour faire barrage au projet de grande bibliothèque numérique de Google. Europeanea
Langues : Le retour du défi Internet langues
Le défi Internet langue est un concours fait par et pour les élèves. Les élèves préparent des questionnaires multimédias qui sont proposés à leurs camarades. Le défi motive les élèves et change les relations avec les professeurs. L’édition 2007 concerne l’anglais et l’allemand en lycée et collège. Inscription à partir du 26 mars. Programme
ST2S : Les programmes au J.O.
Le Journal Officiel du 24 mars publie les programmes de physique – chimie, biologie et physiopathologie humaine et celui des sciences sanitaires et sociales pour la classe de terminale St2S ainsi que les activités interdisciplinaires. Les programmes de terminale entrent en application en2008-2009, ceux des activités interdisiciplinaires en 2007-2008. Au J.O.
EEDD : Comment préserver le delta du Sacramento ?
L’Université de Berkeley publie une étude documentée sur le delta du Sacramento et du San Joaquin en Californie. Cette zone humide est soumise à d’intense pressions démographiques (la population va doubler d’ici 2050) et résidentielles. Or l’urbanisation contrarie la protection des espèces et l’alimentation en eau pour 23 millions de personnes. Elle rend impossible la protection face au risque d’inondation. Etude
Le CaféPour les derniers Expressos :
Expresso du 23 mars 2007
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