LE FAIT DU JOUR
Projet Cohn-Bendit : 5 collèges à la rentrée ?
ÉDITORIAL
Faut-il avoir peur de l’Autre école ?
LE SYSTEME
8 830 enseignants en moins dans le secondaire l 10 000 profs quittent l’enseignement chaque année l Bac pro : Le Snpden intervient dans le débat l L’Ile-de-France consacrera un milliard aux lycéens l Offensive sénatoriale sur l’Ecole l L’école genevoise se dote de directeurs
L’ÉLÈVE
Orientation : Thoma’s Show le 2 février l Une école pour les filles à Toucouleur Djiedjiéri
LA CLASSE
La Grande Lessive reportée au 7 février
CITOYENNETE
Les prix René Cassin
LES DISCIPLINES
Primaire : Le rapport Bentolila sur la maternelle l Crise à Cartables l S.E.S. : L’Inspection générale « conseille » l’Apses…
LES TICE
Faille dans Flash
Le fait du jour
Projet Cohn-Bendit : 5 collèges à la rentrée ?
Le projet se fera bien. Après l’appel lancé par Gabriel Cohn-Bendit le 18 septembre, relayé par le Café pédagogique, plus de 300 enseignants ont exprimé leur souhait de participer, en équipes, à la création de collèges innovants, dans le cadre de l’article 34 de la loi d’orientation, susceptibles de lutter contre la ségrégation scolaire. Depuis, plusieurs réunions ont eu lieu entre le Collectif d’initiatives éducatives, réuni autour de G. Cohn-Bendit, et le ministère. D’autres réunions ont eu lieu avec les volontaires, à Lyon et Paris, tandis que les équipes élaborent leur projet dans plusieurs académies.
Le 19 décembre, Gabriel Cohn-Bendit rencontrait Mark Sherringham, conseiller pédagogique du ministre pour obtenir des garanties sur le soutien ministériel au projet. D’après G. Cohn-Bendit, « la mise en place se fera bien à la rentrée 2008 sur environ 5 collèges ». Ce sont les recteurs qui choisiront les collèges susceptibles d’accueillir les équipes pédagogiques. L’annonce officielle par le ministère, suivie de réunions organisées par les recteurs, aura lieu fin janvier. Les enseignants muteront au mouvement intra académique (sauf en Ile-de-France).
Le collectif rappelle que « si la priorité concerne les établissements en difficultés (élèves comme personnels) cela n’exclue aucunement les écoles ou les lycées (question des liaisons) et que l’initiative se situe dans la perspective de l’acquisition des connaissances et compétences du socle commun par tous les élèves visant à réduire la fracture sociale. La pédagogie de ces établissements s’inspire des principes de l’éducation nouvelle et entend s’adapter aux élèves tels qu’ils sont non pour les séparer ou les isoler, mais au contraire pour leur permettre de conquérir la culture, les connaissances et les compétences auxquelles ils ont droit. Elle a donc vocation à s’appliquer à tous les établissements à condition d’être encouragée et connue ».
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Faut-il avoir peur de l’Autre école ?
« Une autre école est-elle en train d’émerger ? » interroge Rui Canario dans le dernier numéro de la Revue internationale d’éducation de Sèvres. Tout ce numéro tourne autour d’une question qui mérite qu’on s’y arrête : assiste-on partout à la définition d’une nouvelle école ? En lien avec la mondialisation, un modèle unique, globalisé, d’éducation va-t-il remplacer les systèmes éducatifs nationaux comme semble le craindre B. Charlot ?
Pour Rui Canario, ce qui définit cette autre école, c’est « une remise en cause plus large de l’Etat éducateur… L’Ecole, face au recul de la centralité de l’Etat-nation, vit un processus de déclin institutionnel ». Il s’accompagne de « l’intensification du contrôle professionnel des enseignants » et d’une défection des classes moyennes envers l’Ecole. Si l’on observe la situation française, effectivement, on voit l’Etat renforcer les compétences éducatives des collectivités locales, leur transférer des personnels et amorcer une « professionnalisation » des enseignants qu peut être perçue comme une remise en cause.
Mais peut-on vraiment parler d’une autre école ? D’abord comme le souligne B. Charlot, « le cœur de l’Ecole est l’acte pédagogique…or sur ce point l’Ecole n’a guère changé ». Ni l’organisation de l’ecole (la classe, l’émiettement horaire et disciplinaire) , ni les actes pédagogiques n’ont sensiblement changés, reléguant l’Autre école sur un terrain organisationnel. Or, si la montée des pouvoirs locaux est un fait majeur en France, c’est loin d’être un phénomène nouveau dans la plupart des pays d’Europe. Est-il utile de rappeler que les systèmes éducatifs britannique, allemand, italien, par exemple, sont largement et traditionnellement décentralisés. Sur ce point, la France et le Portugal ont fait figure d’exception. L’Autre école se réduit ainsi en peau de chagrin à un attachement à la tradition de l’Etat centralisé supposé être un outil d’égalité.
Alors faut-il craindre l’autonomie des établissements ? Pour Nathalie Mons, dans Les nouvelles politiques éducatives, « il ne faut pas être pour ou contre la décentralisation mais plutôt se poser la question suivante : quelles compétences doivent être transférées à quels acteurs, dans quelles conditions ? » N. Mons montre que si, dans certains cas, la décentralisation politique peut être positive, le rôle de l’Etat central reste cependant crucial, mais ce rôle se renouvelle, il intervient davantage dans la conception, le guidage, l’évaluation du système que dans sa gestion directe.
Plus que l’autonomie c’est finalement la question des modes de régulation qui est encore à l’étude. L’Ecole peut-elle accepter de voir ses résultats évalués en externe ? Pire encore peut –elle accepter qu’ils soient publics ? La mobilisation contre la publication en ligne des résultats des évaluations du primaire, explique peut-être que l’école ouverte sur sa communauté soit encore en France l’autre école.
8 830 enseignants en moins dans le secondaire
L’Afp affirme avoir obtenu copie du projet ministériel de carte scolaire et annonce 8 830 enseignants en moins dans le secondaire. 1 500 postes disparaissent « en raison de la baisse des effectifs élèves », 1 700 « en raison de la rationalisation des moyens », 2 130 par non remplacement des départs en retraite. Enfin 3 500 postes sont transformés en heures supplémentaires.
Toujours selon l’AFP, ce sont les académies les plus populaires qui sont les plus touchées. Lille perd 687 postes (2,5%), Créteil 637 (2%), Versailles 578 (1,6%).
10 000 profs quittent l’enseignement chaque année
Le Figaro se penche sur ces enseignants et avance ce chiffre qui englobe en fait les enseignants qui passent un concours d’inspecteur, de direction etc. Seule une quarantaine quitterait l’éducation nationale. Le quotidien salue l’action d’Aidoprofs qui, chaque mois, propose des solutions pour une seconde carrière dans les colonnes du Café pédagogique.
La seconde carrière dans le Café
Bac pro : Le Snpden intervient dans le débat
Dans le cadre de l’admission de bacheliers de la voie professionnelle en section de techniciens supérieurs, en cohérence avec le baccalauréat préparé, le SNPDEN demande le financement de modules d’accompagnement en enseignement général et en enseignement technologique, pendant la première année, afin de favoriser la réussite de ces étudiants ». Le Snpden, syndicat des chefs d’établissement, signe le protocole de discussion sur le bac pro déjà ratifié par 4 syndicats. Le syndicat estime que « Les formations de niveau V doivent être maintenues y compris le BEP lorsque le CAP n’existe pas et ne devront pas être exclues du schéma de poursuite d’études ».
L’Ile-de-France consacrera un milliard aux lycéens
C’est un budget sans précédent qui a été présenté par Jean-Paul Huchon au Conseil régional d’Ile-de-France. En 2008, la région consacrera un milliard d’euros aux lycéens franciliens. 342 millions seront dédiés à la rénovation des lycées et 23 millions à la construction de deux nouveaux lycées de type Kyoto (ils produiront eux-mêmes leur énergie).
La région développera ses aides vers les lycéens post-bac :près d’un million pour l’équipement des élèves de BTS et l’aide à la demi-pension des élèves de BTS, des Grandes écoles et des prépas. 600 000 euros compenseront les frais d’inscription aux concours des Grandes écoles pour les jeunes défavorisés. Enfin elle investira 21 millions dans le développement de l’ENT régional. Le budget total de la région s’élève à 4,3 milliards.
Sur le Café : L’ENT francilien
Surle Café : Construire de slycées
Offensive sénatoriale sur l’Ecole
La Commission des affaires culturelles du Sénat annonce la création de deux groupes de travail sur l’Ecole. Le premier, animé par les sénateurs UMP J. Legendre et J. Valade s’intéresse au bac. Elle proposera « des pistes de réforme » en juin 2008. M. Valade, universitaire, a publié deux rapports sur l’enseignement supérieur aux Etats-Unis et au Japon et nul doute que son rapport aborde la question de la sélection à l’entrée en université.
La seconde commission pilotée par Monique Papon et Pierre martin (UMP) s’intéressera à la scolarisation des enfants de moins de trois ans. Elle publiera un rapport début 2008.
L’école genevoise se dote de directeurs
Sous la forte pression du mouvement conservateur, l’école genevoise cherche le compromis. Elle l’a peut-être trouvé en regroupant les 164 écoles du canton en 94 établissements dotés chacun d’un directeur (à temps plein à partir de 16 classes) doté du pouvoir de décision. La mesure plait à la droite friande d’autorité alors que la gauche salue la décentralisation du pouvoir.
Article de la Tribune de Genève
Sur le Café : Genève laboratoire du conservatisme
Orientation : Thoma’s Show le 2 février
« Une soirée portes ouvertes sur l’orientation dans un climat ludique » : c’est ce que la Chambre de commerce et d’industrie de Paris a imaginé pour sa seconde Nuit de l’orientation le 2 février.
En présence de Bernard Thomas, délégué interministériel à l’orientation, la CCIP organise un « speed-dating » des métiers où des professionnels informeront les jeunes en quelques minutes. Des psychologues proposeront des tests de personnalités. On pourra aussi se renseigner sur une vingtaine de métiers.
La Nuit sera aussi sage avec une table ronde sur les bonnes pratiques d’orientation, des ateliers sur l’approche orientante ou le jeu en orientation.
S’inscrire gratuitement pour la Nuit
Une école pour les filles à Toucouleur Djiedjiéri
« Dans l’école élémentaire de Toucouleur Djiedjiéri, nous comptons 53 filles pour 36 garçons ce qui montre que la bataille de l’envoi des filles est en passe d’être gagnée. Il faut maintenant veiller à les maintenir à l’école. C’est pourquoi nous avons demandé aux parents de signer une déclaration pour ne plus les sortir de l’école afin de les donner en mariage, ce qu’ils ont accepté du reste ». Le Café rend compte des efforts de l’association Cauris. « Nous souhaitons mettre en place une cantine scolaire, avoir plus de matériels et fournitures scolaires pour les mettre à la disposition des élèves et organiser un octroi de bourses pour les filles méritantes. Malheureusement, tout cela, nous ne pouvons le mettre en place seuls ».
La classe
La Grande Lessive reportée au 7 février
« Dans certaines localités La Grande Lessive se pérennise et se déploie comme à Mantes-la-Jolie, Montreuil, Paris, Péage de Vizille, dans l’Yonne et en Haute-Vienne où 35 écoles avait pris part à la seconde édition et où le Point art annonce une Grande Lessive avec des artistes… Ailleurs c’est une première. C’est le cas à Villiers-le-Bel à l’école Jean-Moulin avec la participation de parents et le concours du service culturel de la ville, à la bibliothèque de Rivedoux Plage dans l’ïle de Ré grâce aux bénévoles qui animent celle-ci ou encore à l’école française Ernest Renan de Casablanca, au Collège du Tonkin à Villeurbane, au Lycée Paul Guérin de Niort, à Saint-Romain de la Motte, à Portets… » Ces bonnes nouvelles portées par Joëlle Gonthier, initiatrice du projet, ne doivent pas occulter l’information principale. En raison de la grève du 24 janvier, la Grande Lessive aura lieu le 7 février 2008.
En septembre dernier, près de 70 000 personnes ont participé à La Grande Lessive II. Le principe est simple : durant une journée chacun peut accrocher à une corde à linge collective sa réalisation artistique pour la partager avec les autres. « Le fil, les pinces à linge et le principe de l’étendage évoquent une pratique qui unissait autrefois les familles de toutes conditions dans un même élan » rappelle Joëlle Gonthier. « Détournés de cet usage et intégrés à une installation artistique, ces objets modestes donnent accès à un projet ambitieux : exposer ! Concevoir et montrer ce que l’on a réalisé n’est pas si facile… Cela conduit également à s’interroger sur l’image que l’on donne de soi, sur les relations que l’on entretient à la pratique artistique et à tenter d’anticiper ce que les autres vont faire… » La Grande Lessive est aussi un moment fraternel dans un établissement.
Pour découvrir le principe et s’inscrire gratuitement
Reportage : La Grande Lessive dans le Café
Citoyenneté
Les prix René Cassin
Environ une cinquantaine d’élèves de quatre collèges et sept lycées, récompensés par un prix des droits de l’homme – René Cassin, éditions 2006 et 2007, sont venus les recevoir le 19 décembre au ministère de l’éducation nationale, en présence de Xavier Darcos et Joël Thoraval, président de la commission nationale consultative des droits de l’homme, CNCDH.
Les travaux des élèves font preuve d’une grande diversité, tant au niveau des supports, dossier papier, CD-ROM, site Internet, représentations théâtrales, fresques murales, ligne de tee-shirts …, que des thématiques, célébration de personnalités, travaux sur l’esclavage, Internet expliqué aux parents, violences faites aux femmes …
Les disciplines
Primaire : Le rapport Bentolila sur la maternelle
Le rapport d’Alain Bentolila sur la maternelle n’est pas publié. Mais l’AFP en cite des extraits. A. Bentolila demande que la scolarisation soit obligatoire dès l’age de 3 ans mais supprimée avant. Il préconise la découverte « d’un mot par jour ». Chargé par X. Darcos d’identifier « les réformes qui vous semblent nécessaires à une refondation de l’école maternelle », Alain Bentolila avance-t-il des idées neuves ?
Il faut d’abord signaler que la scolarisation à 3 ans est déjà un fait établi pour tous les enfants. A deux ans, la demande de suppression va dans le sens de ce qu’appliquent les ministres depuis quelques années.
Dans les dernières semaines de Robien, A. Bentolila avait rendu un rapport recommandant l’apprentissage systématique du vocabulaire dès l’école maternelle par des « leçons de mots ». C’est cette idée que l’on retrouve dans le nouveau rapport. Elle avait été contestée en son temps par des spécialistes. Ainsi Philippe Boisseau, dans le Café , expliquait que « l’enregistrement dans les années 60 / 70 de telles leçons, la déception qui résulta de leur analyse, conduisit à se méfier de la culture du seul vocabulaire et à accorder une bien plus grande part à la construction de la syntaxe… Les leçons de mots de Bentolila, son insistance sur les mots peu fréquents, pourraient nous ramener à la case départ !! »
Plus récemment, Bernard Devanne, dans une tribune du Café confiait : « Comment ne pas voir que ce sont justement les rencontres quotidiennes avec les documentaires, avec la littérature de jeunesse, qui peuvent fonder une construction élaborée de la langue ?… Comment ne pas voir en creux dans ces pages que des apprentissages discursifs fondamentaux – raconter, justifier, argumenter – se développent dans le contexte de lectures ainsi conduites « en réseaux » sans trouver d’équivalent dans les pratiques ordinaires (a-culturelles, pour aller vite) de l’école maternelle ? »
Le Se-Unsa a réagi au rapport Bentolila en estimant sa « rigueur scientifique incertaine », « dont les affirmations, parfois péremptoires, ne débouchent pas nécessairement sur des propositions concrètes et les propositions ne sont pas toujours assises sur une argumentation. Le peu de connaissance des pratiques réelles des enseignants y est frappant… Le SE-UNSA est clairement en désaccord avec celle sur le désengagement progressif de la scolarisation à 2 ans. »
Sur le Café : Dossier sur la leçon de mots
Sur le Café article de B. Devanne
Crise à Cartables
Cartables.net bientôt fermé ? C’est pourtant à la fois un site incontournable pour tous ceux, profs ou parents, qui s’intéressent à l’école primaire, et un modèle de communauté virtuelle pour toute la galaxie éducative. Créé en 1999 par trois enseignants déjà célèbres sur Internet, Béatrice Arnou, Patrick Goichon et Jean-Jack Rouvier, Cartables a développé des listes de discussion, des espaces documentaires, un moteur de recherche spécialisé, bref tous les services nécessaires à un des tout premiers sites éducatifs français.
Mais la lassitude semble être là. Et Béa, l’âme de Catables, semble déçue. « Je ne retrouve plus du tout dans la liste les raisons qui font que je l’avais créée au départ » déclarait-elle le 17. « Entre les messages grande surface (on vient faire son marché), les messages techniques et les discours répétant à l’infini des idées toutes faites sans aucun argumentaire derrière, je ne lis plus qu’en pointillés les messages qui passent ». Plusieurs rubriques du site vont fermer.
S.E.S. : L’Inspection générale « conseille » l’Apses…
« Concernant l’enseignement des SES, Jean Etienne a estimé que nous devrions être plus à l’écoute des critiques qui nous sont adressées. Selon lui, elles sont en partie fondées, d’une part car certains enseignants confondraient leur rôle d’enseignant et leurs prises de positions politiques, et d’autre part parce que l’entreprise serait trop peu enseignée ». L’Apses, association des professeurs de SES, rencontrait le 12 décembre le doyen de l’Inspection générale de SES. Un entretien où l’inspection a pris ses distances.
les tice
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