LE FAIT DU JOUR
PISA : Des indicateurs attendus pour lutter contre les inégalités scolaires
ÉDITORIAL
Education prioritaire : Les convoyeurs attendent ? Pas sûr…
LE SYSTEME
PIRLS : Des résultats qui ne surprennent pas le Se-Unsa l Bac pro en 3 ans : Un appel de l’intersyndicale l Salaires – Emploi: Les syndicats rencontrent le gouvernement aujourd’hui l Directions : Publication des textes d’application de l’accord de janvier 2007 l Tentatives d’incendie dans deux collèges du Val-de-Marne l L’éducation progresse dans le monde affirme l’Unesco l C’est la blague du moment…
L’ÉLÈVE
Les organisations lycéennes satisfaites l L’alimentation joue sur l’intelligence l Belgique : Le décret sur les inscriptions scolaires suscite le trouble
LA CLASSE
L’entretien : ouvrez vos oreilles…
CITOYENNETE
Un appel pour l’Ecole et la banlieue l Le projet de loi sur la rétention de sûreté devant l’Assemblée
LES DISCIPLINES
SVT : La Hulotte n°90 l SES : Les associations de spécialistes au secours des SES l Lettres : Réponse à Ripostes…
LES TICE
Internet révolutionne la création musicale
Le fait du jour
PISA : Des indicateurs attendus pour lutter contre les inégalités scolaires
Nathalie Mons, maître de conférences en sciences de l’Education à l’Université de Grenoble II, est membre du consortium de PISA 2009. Elle conduit actuellement, dans le cadre d’une recherche européenne Knowpol, associée au laboratoire OSC de Sciences-Po, une étude sur les usages politiques de PISA. Son récent ouvrage « Les Nouvelles politiques éducatives, la France fait-elle les bons choix ? » évalue les politiques éducatives françaises et permet de mieux comprendre certains facteurs explicatifs des résultats des enquêtes PISA. Elle répond à nos questions sur PISA dont les résultats sont rendus publics demain par l’OCDE. Une enquête qui doit forcément faire réagir l’école.
Sur le Café : entretien avec N.Mons
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Education prioritaire : Les convoyeurs attendent ? Pas sûr…
On peut toujours se dire qu’il en est de l’Education Prioritaire comme du service public en général : s’il n’y en avait pas, ça serait pire. Mais ça ne dispense pas de chercher à comprendre ce qu’on pourrait faire pour que ça aille mieux.
Les moyens, quand ils existent, ne sont pas suffisamment employés vers le cœur de la difficulté scolaire : ce qui se passe dans la classe. A forcer sur les doses de projets, de remédiation, de dispositifs, de PPRE ou de soutien, on oublie que l’essentiel se joue dans le rapport ordinaire que l’élève de ZEP entretient avec la situation scolaire la plus banale, dans la classe, dans ce qu’il comprend qu’il fait là…
Avec une question qu’on ose rarement énoncer publiquement : quand on parle d’Education Prioritaire, pense-t-on « réussite de tous » ou « pacification sociale » ? Depuis quelques années, il semble malheureusement que la réponse soit de plus en plus claire : dans une société où le politique cherche à faire porter le poids du destin social sur le seul mérite des individus, où le président de la République peut oser dire aux journalistes que la désespérance sociale qui s’exprime dans ces quartiers n’est que la conséquence du laxisme face aux délinquants et au trafiquants qu’il fut renvoyer « chez eux », pas la peine de se demander pourquoi le ministère ne juge pas utile de nommer des pilotes nationaux de l’Education Prioritaire. L’inspection générale peut à loisir publier des rapports pertinents, les universitaires peuvent continuer à colloquer, la priorité affichée à la réussite de tous et au socle commun n’est qu’un slogan marketing pour les plateaux télé.
On sait désormais beaucoup sur ce qu’il faudrait faire si on décidait réellement que la Nation se fixe comme objectif prioritaire de travailler à la réussite scolaire des élèves qui ont le plus besoin de l’Ecole. Encore faut-il ne pas se contenter de l’afficher, mais de le décider. Les enseignants de ZEP l’attendent-ils encore ? Pas sûr…
Patrick Picard
Cet éditorial ouvre le Dossier mensuel du Café n°88 sur l’éducation prioritaire. Il montre comment s’organise au quotidien le fonctionnement de l’éducation prioritaire et pose la question des pratiques pédagogiques pertinentes.
Education prioritaire, le nouveau dossier mensuel du Café
PIRLS : Des résultats qui ne surprennent pas le Se-Unsa
« Les résultats, guère réjouissants de PIRLS 2006 ne surprennent pas car aucun plan sérieux en matière de maîtrise de la lecture n’a été valablement mis en place, piloté et accompagné depuis 2001, année de la précédente enquête PIRLS ». Publiée fin novembre, l’enquête internationale PIRLS sur les capacités en lecture des jeunes Français rapportait des résultats décevants. Malgré un fort taux de scolarisation en maternelle, malgré un effort financier conséquent, la France piétine avec des résultats en lecture tout juste moyens. Nous avons demandé aux syndicats, à la fois acteurs et experts de l’Ecole, leur lecture de ces résultats. Voici la première analyse : celle du Se-Unsa.
Sur le Café, Pirls 2006, des résultats décevants
Bac pro en 3 ans : Un appel de l’intersyndicale
« Face à l’émoi suscité dans les académies par cette mesure, à l’inquiétude légitime qu’elle fait naître chez les personnels, les élèves et leurs familles, l’intersyndicale exige l’ouverture d’une concertation sur le devenir de l’enseignement professionnel public et son développement comme véritable voie de réussite pour les jeunes ». Les syndicats Se-Unsa, Sgen Cfdt, Snalc, Fo, Snuep et Cgt demandent au ministre un entretien sur la généralisation des bacs pros. On sait que X. Darcos a demandé aux recteurs de faire passer de 4 à 3 ans une proportion notable des bacs pros dès la rentrée 2008 (la moitié des bacs pros tertiaires par exemple).
Sur le Café : Le ministère publie des taux
Salaires – Emploi : Les syndicats rencontrent le gouvernement aujourd’hui
Les fédérations Cgt, Cfdt, Fo, Fsu, Unsa, Cftc, Solidaires sont invitées par le gouvernement à l’ouverture de discussions sur les rémunérations et le pouvoir d’achat lundi 3 décembre. C’est le premier effet de la manifestation du 20 novembre.
Directions : Publication des textes d’application de l’accord de janvier 2007
A l’issue d’une manifestation très suivie, le Snpden, syndicat des chefs d’établissement, a négocié avec le ministère, fin janvier 2007, un accord qui apporte des améliorations de carrière sensibles. Le Journal officiel du 30 novembre publie plusieurs textes d’application (un décret, deux arrêtés). L’accord accorde aux personnels de direction une majoration de 1000 euros en collège Ambition réussite, divers avantages aux adjoints. Le Snpden se félicite de cette publication.
Sur le Café : un accord historique
Tentatives d’incendie dans deux collèges du Val-de-Marne
Selon l’AFP le collège du Fort à Sucy-en-Brie a été victime d’un début d’incendie. A Champigny-sur-Marne, une tentative d’incendie a touché une école sans grands dégâts également.
L’éducation progresse dans le monde affirme l’Unesco
Alors que les pays de l’ONU se sont engagés à assurer « l’éducation pour tous » (EPT) en 2015, où en est-on ? L’Unesco, qui publie son rapport mondial de suivi d’EPT, hésite entre la satisfaction et l’inquiétude devant le chemin qui reste à parcourir. L’EPT c’est cet engagement collectif d’atteindre la scolarisation primaire universelle, la parité entre les sexes, l’alphabétisation des adultes et une éducation de qualité.
Commençons par les bonnes nouvelles. « Alors que nous arrivons à mi-parcours de cette grande initiative, notre évaluation penche plutôt du coté positif » déclare le directeur général de l’Unesco, Koïchiro Matsuura. Ainsi le taux de scolarisation au primaire a remarquablement progressé depuis 1999, de 36% en Afrique subsaharienne et de 22% en Asie du Sud. Le nombre d’enfants scolarisés est passé de 647 à 688 millions, celui des non scolarisés de 96 à 72 millions. Les budgets éducatifs ont suivi. 17 pays supplémentaires ont réussi la parité, comme par exemple le Sénégal, la Mauritanie,le Ghana, poussant la parité à hauteur de 63% des pays.
Pour autant, le chemin vers l’EPT reste long. Sur 129 pays, 25 sont trop loin pour réaliser l’EPT en 2015. IL s’agit surtout de pays africains, mais c’est aussi le cas de l’Inde, du Bangladesh, du Maroc, du Pakistan. 53 pays sont dans une situation intermédiaire : la qualité de l’éducation ou les efforts d’alphabétisation sont insuffisants.
C’est que, pour K. Matsuura, il s’agit d’atteindre les populations les plus vulnérables et les plus défavorisées ». En clair, le plan EPT a du mal à toucher les populations rurales et les filles. La parité a énormément progressé enAsie du sud et substantiellement en Afrique subsaharienne,malgré les handicaps que représentent des environnements scolaire spas toujours sûrs et favorables et des matériaux d’apprentissage souvent sexistes. Mais elle a très peu progressé dans le monde arabe et reculé en Amérique latine ! Le Soleil, un quotidien sénégalais, souligne les difficultés de l’EPT en zone rurale. « L’insuffisance d’enseignants en nombre et qualifiés, la pauvreté et les maladies comme le Sida et le paludisme constituent de grands obstacles aux efforts divers, parfois innovants, associant les ministères de l’éducation, de l’alphabétisation, de l’agriculture, etc. « L’une des difficultés est le maintien des enseignants expérimentés en zone rurale ».
C’est la blague du moment…
Elle a circulé partout sur Internet ce week-end. L’Anpe a des informaticiens qui s’amusent bien. Dans la partie « recherche d’emploi » sur le site de l’Anpe, entrez comme emploi recherché « rien » ou « mafia » et observez les résultats…
Les organisations lycéennes satisfaites
A l’issue d’une rencontre avec X. Darcos et Mme Pécresse, l’Unl et la Fidl se déclarent satisfaites. « La FIDL a obtenue que les lycéens participent à la rédaction d’une circulaire qui garantira qu’il n’y aura pas de sélection à l’entrée de l’université en encadrant le dispositif de préinscription » communique la Fidl, en « oubliant » la participation de l’Unl qui le lui rend bien. « Nous avons obtenu des garanties non-négligeables sur le contenu du texte réglementaire concernant l’application de « l’orientation active » : il sera rappelé systématiquement à tous les lycéens leurs droits. Partant du principe que le Bac est le premier diplôme universitaire tout bachelier a le droit de s’inscrire dans la filière de son choix. En aucun cas « l’orientation active » ne pourra être utilisée comme outil de sélection et encore moins d’auto sélection. Il sera rappelé à tous les lycéens que l’avis donné par l’Université n’a pas d’autre valeur que celle d’un conseil ».
D’autres promesses auraient été faites à l’UNL « Un travail interministériel chargé de mener une concertation sur le service public d’orientation est engagé, l’UNL tient à y participer afin de réduire le fossé qui s’est constitué entre le secondaire et le supérieur. Il s’agira notamment de mettre en cohérence la méthodologie du Bac en année de Terminale et les attentes de la première année de licence pour amener tous les étudiants à la réussite ».
Ces deux déclarations sont-elles susceptibles de mettre fin au mouvement lycéen ? C’est probablement le cas, quelle que soit la portée réelle des engagements pris par les ministres, pour les lycéens des filières générales et technologiques. La question des bacs pros reste pendante.
Sur le Café : orientation active ou sélection sociale ?
L’alimentation joue sur l’intelligence
La fourchette rend-elle intelligente ? L’information vient de l’Arkansas (Etats-Unis) via le B.E. Etats-Unis. Les chercheurs du centre de nutrition des enfants de cet état américain ont établi un lien entre l’alimentation de l’enfant de 0 à3 ans et le développement de son système nerveux central. Il y aurait de « légers avantages cognitifs » pour les enfants nourris au sein de 6 mois à 12 mois, par comparaison à ceux qui sont nourris au lait de vache ou de soja.
Belgique : Le décret sur les inscriptions scolaires suscite le trouble
Comment mettre un peu de justice sociale dans un système scolaire où la constitution garantit le libre choix des parents ? La ministre de l’éducation de la Communauté française a cru avoir trouvé la solution en copiant une disposition anglaise : les établissements doivent tenir un registre d’inscription et les enfants sont pris dans l’ordre d’inscription. Les établissements ne peuvent donc plus choisir leurs élèves. Chaque établissement secondaire peut cependant passer un accord de jumelage avec une école.
Résultat : la veille du jour d’ouverture des inscriptions des parents commençaient à faire la queue pour que leur enfant ait une « bonne école ». Selon le ministère, ces problèmes n’ont concerné que 3% des établissements qui se sont faits ce jour là une sacrée publicité.
Sur le Café : le décret inscription
La classe
L’entretien : ouvrez vos oreilles…
« Les relations entre parents et professeurs sont importantes pour l’enfant, pour son éducation, pour sa motivation à apprendre. Mais les difficultés liées à la rencontre de ce couple sont nombreuses car il s’agit bien d’un véritable couple avec tous les problèmes qui lui sont inhérents. Il est donc utile de chercher à comprendre cette relation à la lumière des études faites sur le couple. Cette relation a bien des dimensions: espace, temps, demandes… » Jacques Nimier nous offre ce mois-ci une copieux et remarquable dossier sur l’entretien.
« Faire des entretiens avec les parents, avec des élèves en difficultés, avec des personnels sociaux… fait partie des fonctions du métier d’enseignant » continue-t-il. « L’entretien demande pourtant des compétences variées (connaissance des diverses méthodologies, compétence d’écoute… ) ». Pour avoir formé des centaines d’enseignants à ces techniques, Jacques Nimier peut nous faire réfléchir à ce qu’apporte un entretien et aux choix d’écoute que nous faisons.
Il donne à voir des exemples d’entretien entre parents et profs, profs et élèves etc. et nous fait saisir le désir, les représentations qui s’y glissent. En fin de parcours il propose un test interactif qui nous éclaire sur nos choix d’écoute. Un test à faire…
Citoyenneté
Un appel pour l’Ecole et la banlieue
« Nous ne sommes pas tous égaux dans nos vies, mais cela ne veut pas dire que nous ne sommes pas tous capables de faire ce qu’il y a de mieux pour nos enfants ». Zohra Bitan appelle au 1er Rassemblement national des acteurs locaux de l’éducation. Zohra pilote « Ma 6t va changer », un projet citoyen et éducatif à l’œuvre sur le terrain dans la banlieue sud parisienne, et à une échelle plus large sur Internet.
En réaction au drame de Viliers-le-Bel et à la façon dont il est géré, Zohra souhaite un regroupement des acteurs éducatifs en banlieue.
« J’aimerais que l’on aborde les solutions pour les banlieues en ayant un projet éducatif ambitieux », souligne Zohra, « qui englobe chacun des maillons de la chaîne qui le compose. L’école doit être respectée dans son rôle ainsi que dans son champ et ce sont de multitudes d’acteurs qui doivent venir renforcer sa mission (médecins scolaires, psychologues, travailleurs sociaux, animateurs d’aide aux devoirs, mouvements de l’éducation populaire, etc..…)… Sans gêne et sans honte, chaque parent doit pouvoir pousser la porte d’un lieu où il pourra rencontrer des interlocuteurs attentifs, d’aide et porteurs de solutions ».
Loin d’être isolé, cet appel, venu du terrain, a déjà reçu de nombreuses propositions de participation. Le Café le relaie et le soutient. La première réunion du Rassemblement pourrait avoir lieu en janvier 2008.
Le projet de loi sur la rétention de sûreté devant l’Assemblée
Peut-on maintenir un criminel en prison après l’exécution de sa peine ? Peut-on juger un fou ? L’Assemblée nationale aura a se prononcer sur un projet de loi qui innove ne ce sens. « Il n’est pas admissible que les auteurs des infractions les plus graves, commises sur les victimes les plus vulnérables que sont les enfants, ne fassent pas l’objet, lorsque cela est strictement nécessaire, de mesures de police ou de sûreté qui, tout en ne constituant ni une peine ni une sanction, sont indispensables au regard de leur dangerosité » estime Rachida Dati. « Il apparaît nécessaire de permettre une mesure de rétention… à l’égard de ces personnes s’il apparaît qu’elles demeurent extrêmement dangereuses après avoir effectué l’intégralité de leur peine privative de liberté ». Le même projet de loi prévoit un jugement d’irresponsabilité pénale pour les malades mentaux.
Les disciplines
SVT : La Hulotte n°90
La Hulotte, la sympathique revue d’initiation à la vie de la nature,n’est plus à présenter. Mais ses héros, si. Car La Hulotte nous invite à « la nuit des mathusalem ». Ainsi Grandma, une néo-zélandaise quia eu 4 maris successifs et 105 descendants. Elle est décédée à 62 ans. Grandma est un albatros royal et ce n’est pas le seul oiseau à braver le temps. Qui sait que le martinet noir et ses 45 grammes peut devenir trentenaire ? Le numéro honore aussi un animal très savant et protégé : le castor.
SES : Les associations de spécialistes au secours des SES
C’est le principal résultat du colloque organisé par l’Apses le 17 novembre pour défendre la série ES. 8 associations de spécialistes (depuis l’association des professeurs de Khâgne à celle des Clionautes), les deux associations de parents, les syndicats lycéens et 4 syndicats d’enseignants, ont signé une déclaration en défense des SES. Ils estiment que » l’enseignement des SES permet de dispenser un enseignement cohérent et de diffuser une troisième culture et/ou un troisième savoir nécessaire dans le monde d’aujourd’hui. Elle correspond également à un profil particulier de certains élèves qui ne se retrouvent pas dans les autres séries ».
Lettres : Réponse à Ripostes…
« Pas plus que «notre théâtre», évoqué par Jacques Julliard dans un éditoral polémique l’été dernier, je ne sais ce qu’est «notre langue» quand les seuls modèles proposés sont Le Cid et «Demain dès l’aube…» — cette langue qui a pour seule antithèse, pour seul adversaire, le «langage des banlieues», synonyme de «vulgarité» ». François Gadeyne, prof de lettres, répond à Finkielkraut…
les tice
Internet révolutionne la création musicale
Zd Net rend compte des Rencontres européennes des artistes dont le thème est « internet :les artistes interprètes relèvent le défi ». Selon une étude présentée aux Rencontres, de nouveaux modèles économiques de création apparaissent sur iNternet. La montée de la publicité dans ces réseaux affecte directement les œuvres.
le Cafe
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