LE FAIT DU JOUR
Révisez avec le Guide du bac et du brevet 2010
ÉDITORIAL
Etats généraux : Chatel préfère Sarkozy aux experts
LE SYSTEME
Les réactions syndicales aux Etats généraux l Rythmes scolaires l Réforme du collège : Le Sgen veut sauver le socle l Le Snuipp et l’Andev enquêtent sur l’argent de l’école l Epreuve de contrôle du bac pro l Education pour tous l Vietnam : Une école française entre décharge et poteau d’exécution
L’ÉLÈVE
Orientation : L’Onisep soutiendra les établissements de l’AEFE l Parcours du cœur les 24-25 avril.
LA CLASSE
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ETABLISSEMENT PARTENAIRE
Envie de savoirs 2010
LA RECHERCHE
La scolarisation à domicile a fortement augmenté aux Etats-Unis
LES DISCIPLINES
Quelles pratiques pédagogiques pour l’E.D.D. ? l Xinthia : Les pistes de Géoconfluences l Qumran à la BNF
Le fait du jour
Révisez avec le Guide du bac et du brevet 2010
Alors que s’ouvre l’époque des révisions, le Café publie le Guide du bac et du brevet 2010.
Avec ce guide, dans chaque discipline, vous pourrez vous évaluer : il y a pour cela d’excellents exercices interactifs accessibles sur Internet; compléter vos notes et / ou les confronter aux cours sélectionnés accessibles gratuitement sur le réseau; revoir vos méthodes; mieux connaître les épreuves et savoir qui contacter pour vous aider.
Tout cela est possible grâce au plus grand réseau éducatif du monde : Internet. Toutes ces ressources ont été soigneusement sélectionnées par l’équipe de professeurs du Café pédagogique. Elles sont gratuites, disponibles directement. A votre disposition.
Le Guide du bac et du brevet 2010
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Etats généraux : Chatel préfère Sarkozy aux experts
Déception. C’est le maître mot de la deuxième journée des Etats généraux de la sécurité à l’école, le 8 avril 2010. Ils débouchent sur des décisions en contradiction avec les recommandations du comité scientifique mais en accord avec les propos élyséens.
Rappelons que la première journée, le 7 avril, avait été consacrée à des exposés d’experts qui mettaient en avant la nécessité de nouer le dialogue avec les parents, d’ouvrir les établissements sur leur environnement, de stabiliser les équipes, de donner du sens aux enseignements, de la pédagogie et de la justice aux sanctions. Le ministre avait souligné sa volonté de sortir de l’idéologique et des oppositions inutiles, de dialoguer avec les experts et les acteurs, de chercher le consensus. Le 8 avril, les ateliers ont restitué leurs travaux tenus la veille. Ils ont largement mis en avant la nécessité d’améliorer la formation des enseignants, de créer des partenariats avec l’environnement des établissements, d’imaginer des pratiques pédagogiques innovantes.
Une conclusion qui nie les travaux des experts. Luc Chatel a présneté en clôture des Etats ses décisions. Certaines s’inspirent des travaux de la commission. C’est le cas par exemple pour la mise en place d’une enquête nationale de victimation et des améliorations apportées à Sivis ou de l’idée d’organiser les conseils de discipline en dehors des établissements. Mais les autres décisions plagient les propos du président de la république.
Singer Sarkozy. Le 24 mars,Nicolas Sarkozy avait déclaré : « L’absentéisme scolaire est un fléau. La responsabilité des parents doit être engagée, les sanctions en matière d’allocations familiales doivent être effectives, les jeunes qui ne peuvent pas suivre une scolarité normale seront placés dans des établissements adaptés où ils ne perturberont plus la vie des autres et où ils feront l’objet d’un accompagnement spécifique ». Luc CHatel le 8 avril : « certains élèves ne se plient pas aux règles. Je ne me déroberai pas. Ces élèves particulièrement perturbateurs pourront être sortis de la classe. Il ne s’agit pas de les exclure. Il s’agit de les placer dans des structures adaptées, aussi longtemps que nécessaire… Qui pourrait nier que certains parents n’assument pas leurs responsabilités au point de mettre leur propre enfant en danger ? Eh bien, dans les cas les plus flagrants, nous devons aller jusqu’à rendre effectives les sanctions en matière d’allocations familiales ».
Sur le mode conservateur et autoritaire, Luc CHatel va d’ailleurs encore plus loin. Ainsi quand il fait inscrire « le savoir-vivre » dans ses objectifs avec le vouvoiement… Quand il promet portiques de sécurité et caméras de surveillance, alors que les Etats généraux ont montré leur peu d’efficacité voire leurs effets pervers. Luc CHatel promet bien d ‘améliorer la formation des enseignants mais c’est sous la forme d’une formation à « la gestion des conflits », ce qui est très réducteur.
Des Etats généraux pour revoir l’éducation prioritaire ? Le ministre « profite de l’occasion historique » pour revoir les réseaux Ambition réussite et proposer à leur place les CLAIR (collèges et lycées pour l’ambition, l’innovation et la réussite). Une appellation pompeuse qui permet de s’affranchir des normes. Les chefs d’établissement pourront choisir leurs enseignants.. mais devront avoir un « préfet des études » pour chaque niveau. La montagne d’expertise a accouché des vieilles souris.
Les réactions syndicales aux Etats généraux
Les syndicats manifestent leur déception devant le smesures annoncées par Luc CHatel le 8 avril.
« Les 5 « orientations » que Luc Chatel a annoncées en clôture de ces États généraux sont en décalage complet avec les attentes exprimées lors de ces journées », estime la FSU. « Et pourtant, la richesse des présentations et des pistes proposées par Eric DEBARBIEUX au nom du conseil scientifique pouvait laisser espérer que ces États généraux débouchent sur des mesures ambitieuses et partagées pour faire reculer la violence en milieu scolaire en agissant sur l’ensemble des facteurs. Loin de s’appuyer sur les enseignements de la recherche et des expériences positives menées à l’étranger, le ministre persiste à prôner des mesures d’inspiration sécuritaire au détriment de dispositions éducatives et sociales ».
Le Se-Unsa regrette « que dans sa conclusion, Luc Chatel n’ait pu sortir des figures imposées du sarkozysme : menaces sur les allocations familiales, vouvoiement des élèves, vidéo-protection … S’il semble entendre le besoin de formation des enseignants exprimé unanimement lors de ces Etats Généraux, le ministre reste prisonnier de la catastrophique « mastérisation ». De la même manière, le contexte budgétaire rend peu crédible certaines bonnes intentions affichées… Cependant, en sortant des caricatures faciles mais aussi en évacuant les sujets qui fâchent (présence adulte renforcée dans les établissements, moyens pour le travail en équipe…), le ministre semble vouloir prendre le temps de poursuivre ce travail. Il s’est engagé à le faire dans la concertation ».
« De fait, alors que les débats avaient essentiellement développé les démarches de prévention et de dialogue, et rejeté les approches exclusives, le ministre a ciblé son propos sur la sanction et les mesures répressives », estime le Sgen Cfdt. Ainsi, les mesures coercitives visant les élèves et leur familles ont été reprises : placer les élèves perturbateurs dans des établissements spécifiques, supprimer les allocations familiales aux parents…et d’autres vielles lunes se référant aux année 50, supposées redonner l’autorité aux maîtres ont refait surface comme « le rituel d’entrée dans la classe » . Mais rien sur la démocratie à l’école, la démarche participative, le renforcement des liens élèves/ professeurs, parents/ professeurs : les conseils d’élèves , les conseils de vie collégienne n’ont pas été cités; l’accompagnement personnalisé en collège n’a pas été évoqué ».
Pour Jean-Paul Huchon, Président de la Région Ile-de-France, et Henriette Zoughebi, Vice-présidente chargée des lycées, « les annonces faites par le ministre de l’Education nationale en conclusion des Etats généraux de la sécurité à l’école « ne sont à la hauteur ni des attentes de la communauté éducative, ni des enjeux posés durant ces deux journées de débats »…. Nous l’avons dit et répété ces derniers mois. Pour lutter contre la violence à l’école, il faut davantage de surveillants à temps plein, il faut des enseignants bien formés et expérimentés, il faut une équipe éducative soudée autour d’un projet pédagogique. Il ne suffit pas de rehausser les murs et d’installer des caméras de vidéo-surveillance. La Région Ile-de-France l’a bien sûr fait en construisant ou rénovant 260 lycées sur 471 et en dotant plus de 400 établissements des équipements de sécurité (portails, clôtures, vidéoprotection) réclamés par les communautés éducatives. Mais les moyens humains sont le meilleur rempart contre la violence ».
Eric Debarbieux souligne, quant à lui des « avancées ». « L’idée que la lutte contre les violences à l’école, c’est pas simplement la lutte contre les bandes, c’est pas simplement la lutte contre les intrusions extérieures mais aussi une lutte contre les violences au quotidien, les microviolences, vous l’avez souvent entendu, ça ? C’est important » souligne E. Debarbieux à l’AFP.
Rythmes scolaires
« Le changement d’organisation de la semaine scolaire est un vrai chantier », écrit Paul Bron, adjoint au maire de Grenoble, dans le Monde, suite au changement d’avis du ministère dans la circulaire de rentrée. « Ce revirement ministériel n’aura-t-il pas d’effet tant qu’une concertation de l’ensemble des partenaires éducatifs ne sera pas mise en place. Un syndicat d’enseignants demande une conférence de consensus, le Réseau français des villes éducatrices propose d’expérimenter une autre semaine scolaire, l’Association des maires des grandes villes françaises, l’Association des maires de France et les fédérations de parents d’élèves veulent relancer le débat… Seule la mise en place d’une mission gouvernementale, associant toutes les composantes concernées par l’aménagement de la semaine scolaire, chargée d’explorer les différentes hypothèses, dans une démarche de concertation, permettra sans doute d’apaiser les colères et de proposer des pistes qui respectent le rythme de vie des enfants et de leur famille ».
Réforme du collège : Le Sgen veut sauver le socle
« La mise en oeuvre du socle commun de connaissances et de compétences tarde à venir et dans les conditions actuelles, le nouveau DNB pourrait bien signer la fin du socle commun avant même qu’il ne soit entré dans les faits », estime le Sgen Cfdt dans un communiqué.
« Le nouveau brevet », écrit le sgen, « s’il intègre le socle commun, cumule toutes les incohérences : il comporte en effet pas moins de 5 modes d’évaluations différents… Dans ce contexte, les personnels ne voient dans le livret de compétences du socle commun, qu’ils connaissent peu et sur lequel ils n’ont eu aucune formation d’équipes, que du travail supplémentaire… Il faut en finir avec l’accumulation des évaluations pour les élèves et l’accumulation des tâches pour les enseignants ».
Le Snuipp et l’Andev enquêtent sur l’argent de l’école
« Qui doit financer l’abonnement internet ? L’achat et l’entretien des ordinateurs ? Les intervenants en arts ? Le déplacement au musée ? La classe transplantée ? » demandent le Snuipp, l’Andev, association des directeurs de l’éducation des villes, et l’Association des maires ruraux (AMRF). La réponse est bien connue : ce sont les communes qui prennent en charge ces dépenses qui pourtant sont devenues un passage obligé pour l’enseignement primaire.
« En dehors du nombre d’enseignants, qui relève, avec leur rémunération et leur formation, de la responsabilité de l’Etat et, qui est la principale source de l’inégalité de traitement des élèves dans les territoires », soulignent les trois organisations dans un communiqué commun, « de nombreuses autres dépenses obligatoires relèvent des communes. A l’acquisition et à l’entretien des bâtiments scolaires, à l’entretien et au renouvellement du mobilier scolaire et du matériel d’enseignement des élèves se sont adjointes de nouvelles dépenses dans le domaine de l’action éducative locale (temps périscolaire, restauration scolaire…) ».
D’où le projet de chiffrer ces dépenses. Les trois organisations ont élaboré un questionnaire envoyé aux écoles et aux mairies qui permettra d’établir « un état des lieux et des besoins de l’école ».
Le questionnaire est en ligne. Il interroge précisément sur le budget de l’école, les services gratuits mis à disposition, les projets de politique de la ville, l’équipement informatique. Mais il demande aussi l’avis des personnes interrogées sur les i,égalités entre écoles et le partage des financements entre collectivités locales.
Epreuve de contrôle du bac pro
Un arrêté organisant l’épreuve de contrôle du bac professionnel est publié au B.O. du 8 avril. Vous l’avez découvert dans L’Expresso du 8 mars.
Education pour tous
« Nous sommes réellement à la croisée des chemins. Avec la crise financière et alimentaire, les budgets nationaux et des ménages subissent une plus grande pression rendant le financement de l’éducation encore plus vulnérable »,, écrit Ulrika Peppler Barry, responsable du programme Education pour tous à l’Unesco. « Soit nous continuons comme si de rien n’était, au risque d’anéantir les progrès réalisés depuis 10 ans, soit nous nous servons de cette crise pour construire des systèmes plus durables. Il n’est pas possible d’avoir un développement sans éducation ».
Il y a donc urgence à agir pour l’éducation dans le monde. Et c’est ce sentiment que laisse paraître le dossier que publie Fenêtres sur cours (n°339) à quelques jours de la semaine mondiale de l’éducation.
Vietnam : Une école française entre décharge et poteau d’exécution
Peut-on enseigner au son des salves ? C4est la question posée par les parents d’élèves de l’école française d’Ho Chi Minh Ville.
A la rentrée 2010, l’école française Colette d’Ho Chi Minh Ville devrait emménager dans de nouveaux locaux, modernes, esthétiques, à la périphérie d’HCM ville. C’est un établissement public homologué par le Ministère de l’Education Nationale qui fait partie de l’AEFE. L’école compte près de 700 élèves, du préélémentaire au lycée. Elle connaît une croissance rapide liée à l’ouverture du Vietnam sur le monde qui attire de nombreuses entreprises françaises.
Pourtant les parents d’élèves nous ont écrit pour notifier leur refus d’envoyer leurs enfants dans les nouveaux locaux à la rentrée. Si les locaux font honneur à l’AEFE, l’environnement de l’école est terrible. Jugez en. L’école est bordée d’un terrain d’exécution ouvert, avec ses poteaux d’exécution, les cordes, les restes des prières des familles… Le Vietnam exécute environ 30 personnes chaque année. Un peu plus loin c’est un cimetière , ouvert lui aussi, qui borde l’école. Puis une décharge à l’air libre, ouverte elle aussi, d’où s’échappent des fumées. Tout autour des dizaines de briqueteries traditionnelles noient l’école sous des volutes noires.
Orientation : L’Onisep soutiendra les établissements de l’AEFE
Le 9 avril 2010, Anne-Marie Descôtes, directrice de l’AEFE, et Pascal Charvet, directeur de l’Onisep, signe une convention de partenariat. Ce partenariat vise à proposer des services numériques aux établissements d’enseignement français de l’étranger. En raison de l’éloignement géographique, l’accès à l’information pour l’orientation peut s’avérer moins aisé depuis l’étranger. Dans ce contexte, les services numériques et à distance de l’Onisep sont particulièrement appropriés à la problématique des établissements français de l’étranger.
Pour aider les enseignant(e)s, les élèves et les familles, l’AEFE et l’Onisep associent donc leur savoir-faire et mettent à disposition des établissements les services suivants : le passeport orientation formation (webclasseur), un espace numérique collaboratif dans les collèges et les lycées; monorientationenligne.fr, un service gratuit et personnalisé de réponses aux questions sur les métiers et les poursuites d’études en France; la géolocalisation des établissements français de l’étranger.
Parcours du cœur les 24-25 avril
Du Nord au Sud, de la Bretagne à l’Alsace, de l’école Léo Lagrange d’Haubourdin à la maternelle Raymond Courrière à Sallèles d’Aude, c’est plus de 30 000 enfants qui participeront à cette première édition des Parcours du Cœur Scolaires les 24 et 25 avril. La Fédération française de cardiologie, qui organise les Parcours, montre dans une étude qu’il faut sensibiliser les jeunes à l’exercice physique : 15% seulement repèrent que le manque d’exercice physique est mauvais pour le cœur.
La classe
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Les Assises Nationales de l’Education et de la Formation Numériques se tiendront les 15-16 avril 2010 au centre des congrès de la Cité des sciences et de l’industrie, à l’initiative de Cap Digital en partenariat avec Universcience, le nouvel établissement public réunissant Cité des sciences et Palais de la découverte. Elles visent à rassembler les acteurs concernés par la nécessaire évolution des pratiques éducatives en réponse à l’évolution des besoins d’éducation et de formation
Ces Assises vont chercher à faire émerger un ensemble de grands « Scénarios pour l’Education Numérique », en engageant l’ensemble des acteurs dans une réflexion collective, fondées sur des données d’usage vérifiées, des roadmaps technologiques ainsi que des éléments de prospective et de vision stratégique.
A cette fin, les participants aux Assises seront invités à débattre de quatre questions essentielles :
· Au vu des expériences réussies, tant en France qu’à l’étranger, quels sont les facteurs clés de succès du numérique éducatif ?
· Quelles sont les grandes tendances technologiques et sociétales repérées qui feront évoluer les pratiques d’éducation numérique ?
· Quels objectifs à moyen et long terme doivent se fixer les acteurs de l’éducation ?
· Quelles actions (recherche, développement, politiques publiques) sont nécessaires pour atteindre ces objectifs ?
Trois tables rondes, 15 ateliers sont ouverts à tous les participants, avec l’objectif d’apporter des éclairages, des contributions, des propositions concrètes. En conclusion les Assises permettront de proposer aux décideurs publics une feuille de route, « Scénarios pour l’Education Numérique », intégrant les principales recommandations produites dans les ateliers.
Le Café vous invite à participer à cet événement. Il animera un atelier dédié à la classe et son équipement. Il est important que les enseignants du primaire et secondaire soient bien représentés lors de cet événement qui débouchera sur des recommandations.
Etablissement partenaire
Envie de savoirs 2010
Dans le cadre de la liaison lycée – université, l’Université Paris-Est Créteil Val de Marne –UPEC organise pour la troisième édition, du 3 au 6 mai 2010, l’opération « Envie de Savoirs » destinée aux lycées partenaires ou futurs partenaires.
Il s’agit de proposer à des classes de seconde et de première des lycées, d’assister à des conférences, adaptées à leurs niveaux et présentées par des enseignants chercheurs de l’université. Les thèmes de cette année, Tombouctou et l’Afrique de l’ouest vers 1500, les enjeux des nanotechnologies, « Du rustre à l’honnête homme », « de la chimie aux mathématiques », « les animaux et l’homme » et bien d’autres …
L’UPEC propose aussi dans ce cycle de conférences, des interventions pour les classes de première, sur l’offre de formation dans le cadre du programme de découverte des métiers et des formations. Cette présentation sera suivie d’une visite découverte de l’université et de la possibilité d’un repas au Restaurant Universitaire
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Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
La recherche
La scolarisation à domicile a fortement augmenté aux Etats-Unis
Une étude du National Center for Education Statistics, un organisme officiel américain, met en évidence la chute du nombre d’élèves scolarisés dans le public. Depuis 1993, le pourcentage d’élèves scolarisés dans l’école publique de leur secteur est passé de 80 à 73%. Ces départs touchent davantage les blancs, les noirs, les non-pauvres, alors que ce sont les pauvres et les hispaniques qui sont restés davantage dans l’école de secteur.
Ce départ de l’école du secteur s’est fait au profit des « charter schools », ces écoles publiques dérogatoires dans leur fonctionnement, pour 2% des élèves. C’est surtout la scolarisation à domicile qui a augmenté passant à 3% des élèves. Ce taux est encore plus fort chez les ruraux.
La moitié des familles américaines peuvent choisir leur école publique. Ceux là sont plus satisfaits de leur école que les autres.
Les disciplines
Quelles pratiques pédagogiques pour l’E.D.D. ?
Comment questionner les enjeux de l’éducation à l’environnement, la notion de Développement Durable ? Comment analyser nos pratiques pédagogiques (à visée de sensibilisation et de prises de conscience) pour les rendre transférables à différents publics ? Le Gfen (mouvement d’éducation nouvelle), en partenariat avec la Fn Civam (mouvement d’éducation populaire), avec le soutien du Conseil Régional d’Ile-de-France, organise un séminaire les vous invite à participer à l’un des deux séminaires, d’une durée –d avril à l’attention des professionnels dela formation et de l’éducation
Xinthia : Les pistes de Géoconfluences
Saisir l’actualité pour enseigner : c’est ce que propose Geoconfluences, le site national de géographie qui revient sur les sources utilisables pour Xinthia et Haïti.
Qumran à la BNF
Du 13 avril au 11 juillet, la Bibliothèque nationale de France propose une exposition sur les manuscrits de Qumran. Il s’agit de textes religieux datant d’avant JC. Ils ont bouleversé notre vision du passage du judaisme au christianisme. La BNF organise le 14 avril une visite gratuite de l’exposition réservée aux enseignants.
le Cafe
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