Par François Jarraud
Une étude de l’Assemblée européenne conclut sur la possibilité d’effets nocifs des téléphones portables pour la santé humaine et celle des enfants en particulier.
« Si les champs électriques et électromagnétiques de certaines bandes de fréquence ont des effets tout à fait bénéfiques, qui sont utilisés en médecine, d’autres fréquences non ionisantes, que ce soient les extrêmement basses fréquences, les lignes électriques ou certaines ondes à haute fréquence utilisées dans le domaine des radars, de la télécommunication et de la téléphonie mobile, semblent avoir des effets biologiques non thermiques potentiels plus ou moins nocifs sur les plantes, les insectes et les animaux, ainsi que sur l’organisme humain en cas d’exposition à des niveaux inférieurs aux seuils officiels », écrit un rapport réalisé pour l’Assemblée parlementaire du Conseil d el’Europe.
Le rapport
http://assembly.coe.int/Documents/WorkingDo[…]
Les gestes qui sauvent
Réalisé par les assureurs, en lien avec les pompiers de Paris et le Samu, le DVD « les gestes qui sauvent » veut être « un outil multimédia citoyen pour voir, apprendre et réviser les gestes qui sauvent, en famille, à l’école, en milieu associatif ou en entreprise ». Il apprend les premiers gestes du secourisme et forme au risque routier. Le DVD n’est pas gratuit.
Le DVD
http://www.dvdgestesquisauvent.com/
Les enfants hyperactifs au Québec
Comment est abordée la question de l’hyperactivité et du déficit d’attention au Québec ? Une étude gouvernementale présente des données chiffrées pour les enfants de 3 à 8 ans. elle se clot sur des propositions. Près de 8% des enfants souffrent d’hyperactivité ou de déficit d’attention au Québec. L’étude montre que les évolutions sont stables. Mais seulement un enfant sur trois, pour ceux qui ont un taux élevé d’hyperactivité sont diagnostiqués. Près de 6% des enfants québécois sont sous Ritalin, un médicament de lutte contre l’hyperactivité très répandu en Amérique du nord. Mais, » bien que les proportions d’enfants ayant déjà reçu un diagnostic de TDA/H et de ceux prenant du Ritalin® soient similaires (7 % et 6 %), il ne s’agit pas nécessairement des mêmes enfants », pointe l’étude ce qui montre que la Ritalin est distribuée largement en dehors de sa cible. Toute la problématique de l’étude est axée sur la nécessité du dépistage précoce des enfants hyperactifs.
L’étude
http://www.stat.gouv.qc.ca/publications/sante/pdf2011/f[…]
Sur le site du Café
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