Management de la performance : des concepts aux
outils
L’actualité récente a mis en lumière l’importance accordée par nos sociétés à la mesure de la performance, avec le rôle accordé aux agences de notation dans la notation des pays (le fameux triple A) et les conséquences de leurs décisions sur les marchés financiers. Dans une société de l’information, la performance des organisations est sans cesse mise en avant, décryptée, analysée, commentée ; ce qui oblige les entreprises à peser chaque information et à envisager des dispositifs importants en cas de communication de crise. Aujourd’hui, l’accès aux résultats et aux chiffres clés est de plus en plus possible avec Internet et l’enjeu de la performance est renforcé dans les organisations. L’utilisation massive, pas toujours appropriée du terme, pose la question de sa définition et renvoie au problème de son aspect relatif. Chacun a sa propre définition de la performance. Le sport sur-utilise cette notion et influence de plus en plus les organisations, en particulier en termes de mesure de résultats et de vocabulaire. Dans un contexte économique difficile, la performance est au centre des attentes des parties prenantes de l’organisation. Il convient donc de la définir clairement afin de s’accorder sur l’objet de la réflexion. Il ne faut pas se focaliser uniquement sur la mesure ou réduire l’analyse à quelques notions liées comme les objectifs ou le concept d’efficacité, très employé dans la littérature managériale. La notion de performance a fortement évolué avec les théories du management. On peut donc se demander quelles sont les différences mais aussi les liens entre les principales notions liées à la performance (objectifs, résultats, efficacité, efficience, moyens). La complexité des organisations a entraîné la prise en compte de facteurs différents et l’élargissement des notions étudiées en termes de performance. De nouvelles démarches et analyses ont émergé, beaucoup plus globales, intégrant massivement le facteur humain. Comme la performance se mesure, il s’agit également de se poser la question des critères et indicateurs, ce qui renvoie à poser le problème de la manière suivante : comment mesurer la performance ?
http://www.creg.ac-versailles.fr/spip.php?article525
Les clefs pour une sous-traitance à succès
La volonté de sous-traiter peut être motivée par plusieurs raisons. Le manque de personnel : un pic de charge se produit dans votre entreprise, il est ponctuel et vous ne souhaitez pas investir dans un plan d’embauche, l’avenir restant incertain. Le manque de compétences : un besoin client spécifique vient d’émerger et vous ne disposez pas des ressources au sein de vos propres équipes. Là encore, une embauche est exclue compte tenu du fait que ce besoin est exceptionnel, la sous-traitance s’impose.
http://portail-des-pme.fr/strategie-de-croissance/2401-les-clefs-pour-une-sous-traitance
Services à domicile : quel effet des incitations
fiscales ?
Le souhait des pouvoirs publics de voir se développer les services à domicile a conduit à la mise en place d’un important dispositif d’accompagnement et d’incitations depuis les années 1980. Au sein de ce dispositif, les incitations fiscales auprès des ménages jouent un rôle particulièrement important : elles concernent l’ensemble de ces services et représentent plus de la moitié de la dépense budgétaire consacrée aux services à domicile. Depuis 1991, les ménages ont la possibilité de déduire de leurs impôts la moitié des dépenses qu’ils consacrent aux services à domicile dans la limite d’un plafond. Ce dispositif ne concernait cependant à l’origine que les foyers fiscaux imposables et les ménages modestes en bénéficiaient donc peu. Depuis 2007, avec la transformation du dispositif en crédit d’impôt, les ménages ne payant pas d’impôt peuvent eux aussi bénéficier d’une mesure fiscale. Cette possibilité concerne les ménages actifs. Elle n’est de ce fait pas ouverte aux ménages âgés qui, parmi les ménages non imposables, sont les principaux consommateurs de services à domicile. La mise en place de la réduction d’impôt aurait suscité la création de 12 000 à 43 000 emplois en équivalent temps plein et le coût annuel par emploi créé serait compris entre 23 000 et 85 000 euros. Le nouveau crédit d’impôt génère un coût budgétaire supplémentaire modeste. Ce dernier représente moins de 2 % du coût global du dispositif fiscal. En termes relatifs, l’effet incitatif serait important : la mesure aurait suscité la création de 4 000 à 14 000 emplois pour un coût annuel par emploi compris entre 9 000 et 28 000 euros. La différence d’impact entre les deux dispositifs s’explique par la nature des populations bénéficiaires. Les ménages concernés par le crédit d’impôt ont spontanément un faible recours aux services à domicile, ce qui limite l’ampleur des effets d’aubaine.
http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?reg_id=0&ref_id=iana1
Vers un management responsable
Si l’économie a imposé depuis le milieu des années 90 une vision court-termiste au profit des actionnaires, elle a ainsi conduit les entreprises à traiter plus durement ses autres parties prenantes et notamment ses salariés. Cette crise de gouvernance et managériale se double d’une crise profonde du travail, fruit de 15 années de transformation accélérée des entreprises et de sous-estimation du facteur humain. Autant de facteurs contextuels qui ont de lourdes conséquences sur le management RH et rendent nécessaires une réorientation. Ainsi, la responsabilité sociale des entreprises (nouvelle norme RSE : ISO 26000) devient un levier majeur et incontournable.
http://www.etre-bien-au-travail.fr/specialistes-sante-au-travail/articles/vers-un
Qui sont les hussards de l’empire Mulliez ?
Du haut de ses 30,4 milliards d’euros d’actifs estimés, l’association familiale Mulliez (AFM) domine le marché de la distribution en France. Avec Auchan, Décathlon, Leroy-Merlin, Boulanger ou encore Flunch pour ne citer que les enseignes les plus connues, la galaxie Mulliez couvre tous les besoins des consommateurs français. Et pour maintenir son emprise ou ouvrir de nouveaux fronts, ses dirigeants confient volontiers leurs fleurons ou le lancement de nouveaux concepts à des non-familiaux. Charge à ces hussards du groupe, des cadres qui y ont fait toute leur carrière ou presque, de remporter de nouvelles batailles commerciales. A la clef pour eux, l’opportunité de créer une boite de toute pièce, en devenir actionnaire et la faire grandir avec les moyens d’un grand groupe.
http://www.journaldunet.com/economie/distribution/famille-mulliez
Prosodie
Prosodie est une société française d’environ 900 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 172 m€. Notre positionnement métier est celui d’opérateur de flux transactionnels multicanal.
Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Concrètement, cela signifie que nous gérons, sur nos plates-formes techniques, les flux transactionnels télécoms, web ou monétiques que les grands comptes génèrent entre eux, avec leurs collaborateurs et bien sûr avec leurs clients finaux.
Dans quels domaines ces services sont-ils mis en œuvre ? Nous intervenons dans plusieurs grands domaines : celui de la relation client multicanal (télécom, Internet, fixe et mobile), de l’infogérance de systèmes critiques, de la communication unifiée, du paiement et du prépaiement. Hébergés dans nos datacenters, tous nos services bénéficient d’infrastructures techniques hautement disponibles et sécurisées. Nous sommes également très engagés dans la fourniture de ces solutions en mode « cloud computing ».
http://www.cfo-news.com/Patrice-Le-Roux-Directeur-de-la-division-Business
L’EIRL en 4 points
L’Entrepreneur Individuel à Responsabilité Limitée (EIRL), a été introduit en droit français par une loi du 15 juin 2010. C’est un régime qui s’adresse aux entrepreneurs individuels qui décident de limiter l’étendue de leur responsabilité en constituant un patrimoine d’affectation, dédiés à leur activité professionnelle, sans constituer de société. Il ne s’agit pas d’une nouvelle forme juridique. L’EIRL permet quel que soit son chiffre d’affaires, de protéger ses biens personnels des risques liés à son activité professionnelle, notamment en cas de faillite, en affectant à son activité professionnelle un patrimoine (« le patrimoine affecté ») et sur option, d’acquitter l’impôt sur les sociétés (IS) sur les bénéfices dégagés par son activité. Ainsi, avec ce nouveau statut, l’entrepreneur individuel n’est pas tenu de créer une société pour protéger son patrimoine et sa famille en cas de difficultés liées à son activité professionnelle.
http://portail-des-pme.fr/droit-des-societes/2245-leirl-en-4-points