Le 26 janvier, la surprise viendra-t-elle du privé ? Serge Vallet, co-secrétaire général de la CGT enseignement privé, en est convaincu. « Jamais nous n’avons senti une telle volonté de mobilisation dans les établissements privés », nous a-t-il dit. » Le déclic ? Les réunions d’information des directions des établissements sur l’organisation de la rentrée de septembre 2016, l’incertitude sur les dotations horaires, les menaces sur la suppression de postes, la carte blanche donnée aux chefs d’établissements sur une partie de l’horaire des élèves ».
Pour Serge Vallet, les enseignants s’inquiète des pouvoirs accrus de gestion donnés au chef d’établissement par la réforme. Les enseignants du privé n’ont pas de CA pour se faire entendre. D’autre part les enseignants craignent une réduction réelle des dotations horaires .