LE FAIT DU JOUR
L’Ecole enjeu du recadrage droitier post-électoral
ÉDITORIAL
Des projets désastreux pour l’Ecole et la République
LE SYSTEME
Revalorisation : Luc Chatel l’annoncera prochainement l CPE : Le Snes veut que le métier reste « centré sur le suivi des élèves » l Temps scolaire : L’Andev « se réjouit » du revirement ministériel l Inspection : » Écouter et comprendre avant de faire comprendre » – D Senore l Guyane : Indemnité spéciale pour les personnels de certaines écoles et EPLE .
L’ÉLÈVE
Adolescents sympathiques, adolescents antipathiques.
LA CLASSE
300 profs pionniers à Berlin l Autorité : Deux lectures d’une seule crise.
ETABLISSEMENT PARTENAIRE
Le collège du Rouret participe à la journée contre le sida
LA RECHERCHE
Rendement scolaire, taille des classes et temps d’enseignement…
CITOYENNETE
Régionales et SIG à Marseille
LES DISCIPLINES
Français : Des jeux pour l’accompagnement l Balade dans les marais du Vigueirat.
Le fait du jour
L’Ecole enjeu du recadrage droitier post-électoral
Au lendemain de sa défaire électorale, Nicolas Sarkozy promet des sanctions pour les familles en cas d’absentéisme scolaire. Il annonce aussi la mise à l’écart des » jeunes qui ne peuvent pas suivre une scolarité normale ».
Dans une déclaration à l’Elysée, le président de la République a mis la sécurité à l’Ecole au premier plan de son action. « Nous n’avons pas jugulé la montée de la violence dans les stades, dans les transports, dans les établissements scolaires », a-t-il déclaré. « Cette situation ne peut pas durer. Je suis décidé à m’engager personnellement dans la lutte contre cette violence, la plus brutale, qui est devenue intolérable pour chacun d’entre vous. Ceux qui attendent ou qui espèrent une réaction ferme de ma part ne seront pas déçus ».
Il a précisé ses intentions. « Trop longtemps on a toléré que la violence pénètre à l’école, que l’agresseur soit traité avec plus d’égard que la victime, que le travail soit dévalorisé, que le mérite ne soit plus récompensé. Eh bien, je m’y engage, il n’y aura plus aucune concession…. L’absentéisme scolaire est un fléau. La responsabilité des parents doit être engagée, les sanctions en matière d’allocations familiales doivent être effectives, les jeunes qui ne peuvent pas suivre une scolarité normale seront placés dans des établissements adaptés où ils ne perturberont plus la vie des autres et où ils feront l’objet d’un accompagnement spécifique ».
Dans la journée, ces propos étaient repris par le ministre de l’éducation nationale à propos de l’incident de Créteil. « L’agression d’un enseignant… par un élève violent qui rencontre de graves difficultés pour suivre une scolarité normale, montre le besoin d’un accompagnement spécifique de certains jeunes, dans des établissements adaptés ». Ces propos étaient tempérés par un dernier paragraphe. « Luc Chatel tient à rappeler que les états généraux de la sécurité à l’école qu’il organise les 7 et 8 avril permettront de trouver des réponses à ces questions ».
Le 24 mars au collège Schweitzer de Créteil, une collégienne de 15 ans a donné quelques coups de tringle à rideau (devenu « barre de fer » dans certains médias !) à une professeure de français. Une élève a aussi été touchée. Elles souffrent toutes deux de contusions légères.
Dans un communiqué du 24 mars, le Se-Unsa, en manifestant sa solidarité avec la collègue, réagit aux propos élyséens. « Cette agression démontre combien il est urgent de traiter la question de la sécurité des personnes et des biens dans les enceintes scolaires. Ce sujet est difficile et complexe. Il ne peut se satisfaire de coups de mentons ou de sentences martiales censés redonner le moral à une majorité en berne. La réponse sécuritaire, la remise au goût du jour de « centre de redressement », la stigmatisation des familles sont autant de propositions aussi éculées qu’inefficaces ».
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Des projets désastreux pour l’Ecole et la République
Les projets du président de la République pour l’Ecole, tels qu’il les a présentés le 24 mars, ne sont pas seulement inutiles et inefficaces. Ils fermeraient toute perspective de modernisation et de démocratisation.
L’Ecole française pourra-t-elle échapper à son triste destin de casino où une majorité liquidée par une grave défaite électorale tente de se refaire ? Car les propose violents prononcés par Nicolas Sarkozy ne peuvent pas trouver une excuse du coté de l’efficacité.
Peut-on lutter contre l’absentéisme en sanctionnant les familles ? L’expérience a été menée avec constance en Angleterre, un pays où les parents non seulement sont sanctionnés financièrement mais aussi, dans les cas d’absentéisme grave, jetés en prison. Le célèbre cas de Patricia Amos, la première mère jetée en prison en 2002 en Angleterre à cause de l’absentéisme de sa fille, nous rappelle que ce pays a déjà une longue tradition de répression en la matière. Après elle pas moins de 133 parents ont été embastillés pour cette seule raison de 2005 à 2007. L’idée sous–jacente c’était que l’absentéisme est du à la démission de parents trop occupés ou trop laxistes. Punir les parents par une amende (presque 8 000 distribuées en Angleterre en 2008) ou de la prison était sensé faire réfléchir le jeune et le ramener à l’école.
C’est ignorer que l’absentéisme est plus fort dans les familles justement déjà en état de faiblesse. L’emprisonnement de la mère ou la réduction de ses moyens financiers ne fait que pousser davantage au décrochage en réduisant le lien familial. C’est aussi décider de ne pas prendre en compte les autres facteurs qui poussent à l’absentéisme : l’ennui, les difficultés dans les transports, le racket, les climats scolaires détériorés, la nécessité de travailler etc.
Les Anglais ont pu constater l’inefficacité de ces mesures. Depuis 1997 le taux d’absentéisme est passé de 0,7% à 1% alors même que le nombre de parents emprisonnés passait de 51 par an en 2002-2004 à 82 en 2005-2007. La crise de la parentalité existe-elle d’ailleurs vraiment ? Une étude britannique montre que bien loin de démissionner, les parents ont renforcé ces dernières années leur contrôle sur les jeunes. Ainsi les jeunes passent plus de temps avec leurs parents : 70% passent régulièrement du temps avec leur mère, contre 62% en 1986. 85% des parents veulent savoir où leurs enfants vont. C’était 79% en 1986. Alors comment expliquer la montée des comportements répréhensibles ? Les chercheurs incriminent la pression des groupes de jeunes et la culture jeune. Pas les parents. Punir les parents ne sert donc à rien. Il semble que ce soit aussi l’opinion de Luc Chatel qui a déclaré le 18 octobre 2009 qu’il n’est « pas sûr que ce soit l’unique et la meilleure réponse ». Quant à la fille de Mme Amos, elle a fini par s’intégrer dans la vie professionnelle et mène une vie normale.
La seconde idée de N Sarkozy est pire encore. Avancer l’idée que « les jeunes qui ne peuvent pas suivre une scolarité normale seront placés dans des établissements adaptés » est simplement monstrueux dans un pays où la moitié des jeunes redouble à un moment ou à un autre. On relèvera l’incohérence totale dans les projets gouvernementaux. Alors qu’on installe partout l’accompagnement personnalisé en le présentant comme le remède à l’échec scolaire, voilà qu’on veut le remplacer par la mise à l’écart. On a connu ces structures ségrégatives destinées aux « fortes têtes ». Des colonies scolaires aux maisons de redressement ce n’est pas par hasard qu’elles ont disparu. Tenter de les ressusciter constitue un véritable défi au projet éducatif et au projet républicain. Le premier repose sur le principe d’éducabilité. Revenir sur ce principe c’est plonger l’Ecole dans un gouffre. Le second repose sur le principe de l’égalité des droits. Or c’est bien instituer ka ségrégation sociale que décider la mise à l’écart d’une partie de la jeunesse. On a là par contre un projet politique cohérent celui qui tend à détruire ce qui fait société.
De toutes les violences de ces dernières heures, les plus graves ce sont les propos présidentiels. Puisqu’il est question de « sanctuariser » l’Ecole , exigeons sa sanctuarisation contre les agressions politiques.
Revalorisation : Luc Chatel l’annoncera prochainement
Sur LCI, le ministre de l’éducation nationale a déclaré qu’il allait annoncer « dans les prochains jours une revalorisation des enseignants débutants ». Le 11 janvier, N Sarkozy avait promis cette revalorisation en déclarant lors des vœux aux enseignants : « « La question de la revalorisation de la condition enseignante est une question incontournable : en hissant le niveau de recrutement à BAC+5, nous allons revaloriser la carrière des enseignants ». Le 12 décembre , dans le Journal du Dimanche, Luc CHatel était revenu sur ce sujet.
Quel sera le montant de la revalorisation ? Selon le Snes, le ministère proposerait une revalorisation minime. « Les enseignants néo-recrutés seraient directement rémunérés à l’actuel 3ème échelon revalorisé de 30 euros (échelon atteint actuellement à la fin de l’année de stage) ». Pour les premiers échelons, la revalorisation se limiterait à « 30 euros de plus par mois sur les 6 premières années et 12 euros de plus à compter de 2016 ». La masterisation finalement ne vaut pas cher…
CPE : Le Snes veut que le métier reste « centré sur le suivi des élèves »
« Le SNES, comme la grande majorité des CPE, demande que le suivi et l’accompagnement des élèves restent le cœur du métier des CPE et que leur travail continue de s’inscrire en complémentarité de celui des enseignants et des autres personnels. » Ces propos sont à mettre en relation avec l’annonce d’une évaluation des CPE qui redéfinirait leur rôle en les faisant passer dans le personnel de direction.
Temps scolaire : L’Andev « se réjouit » du revirement ministériel
Aux premières loges des aménagements du temps scolaire, l’Andev, l’association des directeurs de l’éducation des villes, » ne peut que se réjouir » du revirement de l’éducation nationale. On se rappelle que la circulaire de rentrée incite les écoles à passer sur 9 demi journées au lieu des 8 mises en place par X Darcos.
L’Andev « se félicite qu’enfin les hautes sphères de l’Education Nationale conviennent qu’il est nécessaire et vital de placer l’enfant au centre de la réflexion sur le temps scolaire, dont dépendent leur épanouissement et leur réussite scolaire, dépassant ainsi les intérêts individuels des adultes ». L’association rappelle le rapport de l’académie de médecine condamnant l’organisation actuelle.
Inspection : » Écouter et comprendre avant de faire comprendre » – D Senore
Auteur d’un livre phare sur l’inspection, Dominique Senore réagit à la publication par le SNPI/FSU d’une charte éthique des inspecteurs. Il plaide en faveur de la charte sans naïveté : passer du texte à son application ne sera pas chose aisée…
L’inspection se dote d’une charte éthique
Guyane : Indemnité spéciale pour les personnels de certaines écoles et EPLE
Le bénéfice de l’indemnité d’isolement est étendu aux personnels de l’éducation nationale titulaire sou non par un décret en date du 22 mars. La liste des communes est établie ainsi :
« ― écoles et établissements publics locaux d’enseignement des communes d’Apatou, Camopi, Grand-Santi, Papaichton, Maripasoula, Ouanary, Régina, Saint-Elie et Saül ;
― écoles de Tampak et de Trois-Palétuviers de la commune de Saint-Georges ».
Adolescents sympathiques, adolescents antipathiques
« Ce que l’adolescent fait éprouver aux adultes qui s’en occupent participe directement à la qualité de leur intervention. L’identifient-ils ou le méconnaissent-ils ? Le gardent-ils pour eux ou en parlent-ils entre eux ? » Le 21 juin, à Paris, Patrice Huerre et Anne Révah-Lévy proposent le coloque « adolescentes sympathiques, adolescents antipathiques ». « Mais d’où vient donc le sentiment de sympathie ou celui d’antipathie ? De particularités manifestées par l’adolescent tant dans sa présentation que dans son fonctionnement ? De résonances avec des caractéristiques actuelles de certains adultes ou avec des zones enfouies de leur adolescence ? De certains fonctionnements institutionnels ? Comment prendre en compte autrement que de manière directe ou naïve ces éprouvés individuels ou collectifs en en comprenant mieux la genèse, les développements et les conséquences, tel est l’objet du colloque ». Parmi les intervenants de nombreux psychiatres, mais aussi un linguiste, un prof de littérature, un juge pour enfants.
La classe
300 profs pionniers à Berlin
Venus de 44 pays, près de 300 participants sont présents à Berlin du 23 au 25 mars au forum européen de l’éducation innovante, une initiative de Microsoft. Le Café les accompagne pour vous faire découvrir quelques uns des 80 projets célébrant les avancées des TICE au bénéfice des élèves.
Parmi ceux-ci des projets français. Par exemple Pedagame, une communauté spécialisée dans l’apprentissage par le jeu vidéo animée par Julien Llanas. Ou encore David Cordina, PRCE de lettres à l’université Lille 1, chargé des enseignements de FLE, qui s’appuie sur Twitter pour faire travailler les étudiants. Dans le projet qu’il présente à Berlin il décrit un tandem faisant correspondre ses étudiants chinois avec les élèves d’un LP de La Rochelle. L’aspect temps réel est très important pour le travail du groupe : « je leur fais écouter un document sonore et je leur demande de le commenter sur twitter. Les acquisitions sont tout de suite mutualisées ».
Autorité : Deux lectures d’une seule crise
S’il est bien une injonction qui est donnée à l’Ecole c’est de « rétablir » l’autorité des maîtres. Pour cela les politiques ne manquent pas de vanter de solutions… Entre culpabilisation et découragement, les enseignants tentent de faire face. Le Café mensuel propose deux lectures différentes de la crise de l’autorité et deux réponses.
En France, Bruno Robbes, maître de conférences en sciences de l’éducation à Cergy, analyse une série de cas concrets. Dans un ouvrage particulièrement clair et intéressant, il tire de ces cas des principes pour assurer l’autorité professorale dans le respect de l’élève. Pas de recettes mais des principes qui permettent une approche éducative.
En Suisse, Jean-Claude Richoz aborde la question sous un angle décalé. Il présente des démarches d’intervention et des outils « qui ont fait leurs preuves ».
Au lecteur de se forger à partir de ces deux visions du même phénomène une philosophie et une conduite personnelle pour assurer au quotidien la transmission des savoirs, y compris du savoir être d’un adulte émancipateur.
A lire dans le Café mensuel n°111
Etablissement partenaire
Le collège du Rouret participe à la journée contre le sida
Comment sensibiliser les collégiens au risque du sida ? Le collège du Rouret apporte une réponse. Le 25 décembre l’établissement sera orné d’un ruban rouge. Les élèves de 3ème participeront à une exposition, une conférence et des jeux sur le sida. Mais avant le 25, deux élèves par classe seront devenus les « ambassadeurs » de la prévention auprès de leurs camarades. Ils iront dans un centre de dépistage dans le cadre du cours de SVT. En arts plastiques, les élèves réaliseront des affiches, en langue sdes slogans. L’infirmière et la professeur documentaliste participent à ce beau projet.
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Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
La recherche
Rendement scolaire, taille des classes et temps d’enseignement
L’IZA publie une étude de Miles Corak (Université d’Ottawa) et Darren Lauzon sur les écarts entre provinces canadiennes dans les résultats de Pisa au regard des différences de taille des classes et de calendrier scolaire. Finalement le principal apport de cette étude c’est de démontrer qu’appliquer des améliorations prélevées sur un autre cadre local peut avoir des retombées négatives pour certains élèves. « L’analyse donne à penser que l’élimination des différences de taille de la classe et de temps d’enseignement expliqueraient l’écart de rendement moyen, mais que la proportion d’élèves se situant au niveau de compétence le plus faible en lecture augmenterait… Cette observation… souligne les compromis importants que doivent envisager les décideurs qui cherchent à introduire des réformes visant à améliorer le rendement aux évaluations. Ce genre de réforme pourrait ne pas avantager tous les élèves de la même façon, voire même être nuisible aux élèves moins doués ».
Citoyenneté
Régionales et SIG à Marseille
Jacques Muniga nous propose une analyse très pointue et très fine des résultats des régionales à Marseille. Elle s’appuie sur uen série de cartes de grande qualité. On peut d’ailleurs dans Géoclip retrouver ces donnés et utiliser le SIG interactif. Parmi les enseignements de ce scrutin, le rôle de rempart d’Europe écologie face à la progression du Front national. A moins qu’Europe écologie absorbe une partie du vote contestataire.
Les disciplines
Français : Des jeux pour l’accompagnement
Rarement on aura vu une telle batterie d’outils pour travailler la langue française et l’orthographe. Ce site canadien du Collegial Center for Educational Materials Dévelopment propose des tests diagnostic, des jeux interactifs, des fiches de révision ou de jeu à imprimer. Une collection remarquable à découvrir !!
Balade dans les marais du Vigueirat
Voilà un joli projet mené par Christine Colaruotolo qui se situe au point de rencontre de la géographie et de l’ECJS. En emmenant des élèves de seconde enquêter et filmer en Camargue, l’enseignante leur fait appréhender à la fois ce que l’aménagement des littoraux veut dire et la nécessité citoyenne de faire des choix de comportement. Au final, les films réalisés font apparaître les stéréotypes de ces jeunes.
le Cafe
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
L’Expresso directement sur votre site !
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