Par François Jarraud
Olympiades des métiers : Next Stop London…
Décrochage : Un problème français ?
Fourgous : Avec le numérique, améliorer le « rendement scolaire » l Zakhartchouk : Au pays du mensonge déconcertant l Les belles histoires de Luc Chatel l Chatel promet de rétablir 4 000 contrats d’AVS l Douze projets d’apprentissage de la culture scientifique soutenus par le grand emprunt l Suppression de postes : la réponse du maire l L’ONL supprimée l Angleterre : Comment les économies peuvent accélérer l’exode rural.
Les cahiers de TP ne doivent pas être à la charge des familles l Les familles face à la pression scolaire aux 4èmes JRES l « Halte aux sexismes » au CIDJ.
L’année des tablettes ou des smartphones ? l Primaire : Inscrivez-vous à 1001 nuits, 1001 récits.
Pourquoi apprendre ?
Les Cahiers d’Économie et Gestion, n°111 l Technologie : Colloque de l’Assetec l SES : The Global Competitiveness Report 2011.
Olympiades des métiers : Next Stop London
Dans trois semaines ils seront à Londres. Ils affronteront les meilleurs professionnels mondiaux de leur métier. Vendredi 9 septembre, WorldSkills France présentait l’équipe de France des Olympiades des métiers. 44 jeunes sélectionnés parmi 6 800 candidats représentant des métiers très différents allant du bâtiment au graphisme web. Au final une vraie équipe solidaire porteuse de valeurs simples : le métier, le travail.
Où trouver des personnes assez modestes pour expliquer qu’elles sont en train de s’améliorer alors qu’elles sont championnes de France ? Pour expliquer qu’elles ne progressent qu’avec l’aide de leurs aînés ? C’est un point commun aux jeunes de l’équipe de France des Olympiades des métiers. Ils n’ont pas la grosse tête. Ils sont plus concentrés sur le chemin à faire que sur celui parcouru. Et ils savent ce qu’est la solidarité. Sélectionnés parmi près de 7 000 candidats à travers des sélections régionales, ils sont la fine fleur de leur profession. Du 5 au 8 octobre, ils affronteront à Londres les équipes des 57 autres pays participants. Tous les deux ans, les Olympiades des métiers opposent les meilleurs jeunes du monde entier dans une cinquantaine de métiers différents : industrie, alimentation, services, automobile, nouvelles technologies, bâtiment.
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L’Éditorial de Francois Jarraud
Décrochage : Un problème français ?
La France est-elle capable de faire face au décrochage scolaire ? Si le décrochage est un sujet brûlant d’actualité et un des principaux problèmes pour tous les systèmes éducatifs des pays avancés, la France se distingue par ses réticences à le prendre en charge. C’est un des enseignements de l’ouvrage de Pierre-Yves Bernard qui fait la synthèse des recherches sur ce phénomène à la fois social et scolaire.
Car on ne peut pas réduire le décrochage à sa dimension sociale. L’Ecole a aussi sa part dans le décrochage. D’abord parce qu’elle véhicule l’ennui au point que le nombre de décrocheurs passifs (présents mais ailleurs) doit dépasser de beaucoup le nombre officiel. Elle creuse aussi les difficultés cognitives en encourageant un enseignement transmissif de savoirs toujours plus encyclopédiques. Elle laisse aussi s’installer les « malentendus » mis en évidence par S Bonnery qui entrainent un décochage cognitif précoce. Enfin l’offre éducative elle-même crée le décrochage. C’est le cas par exemple quand on diminue les possibilités de scolarisation précoce.
C’est particulièrement marqué en France où le décrochage a été longtemps nié. En Amérique du Nord, nous explique PY Bernard, l’école a été vue très tôt comme une « common school », ouverte à tous, l’éducation étant un élément renforçant la nation et le décrochage un facteur de trouble dans la société et de dépenses à venir supplémentaires. En France l’école est restée sélective et très tôt la question du décrochage est passé de l’éducation nationale ver s le ministère de l’emploi ou du travail… Il faut attendre 1999 pour que l’éducation nationale s’y intéresse officiellement ou encore les efforts de Martin Hirsch en 2006 mais là planait l’ombre des émeutes de 2005… Pour PY Bernard, « le décrochage n’est pas un problème vraiment important » dans le modèle éducatif français.
Un problème pour le présent et l’avenir. Les politiques sont-elles adaptées ? Luc Chatel a annoncé lors de cette rentrée qu’il mettait en place un système informatique de repérage des décrocheurs. Mais parallèlement le gouvernement fait des choix qui sont contestables au regard d’une politique de lutte contre le décrochage. Ainsi la remise en question d ela scolarisation à deux ans, l’incapacité à faire évoluer l’Ecole vers le modèle de la comprehensive school. Pire le gouvernement promeut des filières spécifiques de scolarisation qui très souvent mène à la déqualification. Ainsi cette rentrée est marquée par la mise en place de 4ème et de 3èmes spécifiques, en alternance, qui s’ajoutent au DIMA, un dispositif d’apprentissage précoce. Historiquement isolée dans l’approche du décrochage, comme le montre PY Bernard, la France semble continuer sur une voie spécifique. Jusqu’à quand ?
Pierre-Yves Bernard, Le décrochage scolaire, Que sais-je n°3928, PUF Paris 2011.
C Blaya, décrochages scolaires
Fourgous : Avec le numérique, améliorer le « rendement scolaire »
En 2010 son rapport sur l’école numérique avait réussi à faire l’unanimité dans le monde de l’éducation. La vague avait monté jusqu’à ce qu’elle se brise sur les contraintes budgétaires. Finalement le plan numérique de Chatel n’est qu’un ruisseau. Jean-Michel Fourgous repart en campagne pour une « révolution numérique » dans le système éducatif français avec une mission officielle confiée par le premier ministre fin août et la publication d’un livre sur le numérique éducatif. Enthousiasme ou naïveté ? Pas découragé par l’issue de la première mission, il milite pour l’intégration de la dimension numérique à l’Ecole. Avec une obsession : améliorer sa « productivité ».
Lisez l’entretien avec JM Fourgous
Zakhartchouk : Au pays du mensonge déconcertant
Luc Chatel nous raconte-il des histoires ? Oui pense JM Zakhartchouk. Il revient sur le discours de rentrée de Luc Chatel et à travers quelques exemples souligne les « mensonges ». Avec un objectif : montrer que les réformes Chatel sont des leurres.
Nous ne sommes bien sûr pas en Union soviétique, mais comment ne pas avoir envie de reprendre le beau titre du livre dénonciateur de Ante Ciliga (1) démontant les mensonges du stalinisme en 1938, lorsqu’on lit la prose ministérielle ou qu’on écoute les déclarations des responsables actuels concernant la situation de l’école ?
Lisez la tribune de JM Zakhartchouk
Les belles histoires de Luc Chatel
« Pour faire passer les suppressions de postes de la rentrée, le ministre n’hésite pas à brandir une panoplie de chiffres et annonces éblouissants, mais loin d’être convaincants », écrit Véronique Soulé dans Libération. Elle aussi semble avoir du mal à digérer le show ministériel de rentrée…
La fascinante rentrée de Luc Chatel
Les belles histoires d’Oncle Chatel
Chatel promet de rétablir 4 000 contrats d’AVS
Selon l’AFP, le ministre de l’éducation nationale a promis vendredi 9 septembre de rétablir 4 000 contrats aidés. Un effort jugé insuffisant par les syndicats Snuipp et Se-Unsa qui maintiennent les mots d’ordre de grève administrative partielle ou totale (se-unsa).
A quoi servent-ils ces AVS ? Un exemple précis est donné dans La voix du Nord où un directeur d’école, qui va perdre ses deux AVS, donne le détail de leur travail. » Quand des parents avaient besoin d’un papier, ils venaient au bureau. Maintenant, même quand ils appelleront, il n’y aura personne au bout du fil. » Quant aux deux enfants handicapés ils se partagent une AVS durant 6 heures hebdomadaires. En clair les AVS sont indispensables au fonctionnement quotidien de l’école, à sa vie administrative et à celle des enfants handicapés.
Un effort suffisant ? Selon l’AFP, le ministère a annoncé que 4 000 contrats aidés seront signés en octobre. Pour les syndicats ce n’est pas suffisant. Le Snuipp estime que 10 500 contrats manquent à l’appel et c’est aussi l’avis du Se-Unsa. Résultat le Snuipp maintient son action « je réponds quand j’ai le temps ». Le Se-Unsa appelle au blocage administratif des écoles.
Douze projets d’apprentissage de la culture scientifique soutenus par le grand emprunt
Le gouvernement a annoncé le 9 septembre sa sélection de projets pour le développement de la culture scientifique retenus pour les « investissements d’avenir ». Ils se partageront 44 millions d’euros. Universcences et son projet ESTIM de portail numérique pour la culture scientifique et technique est retenu ainsi qu’Inmediats, un projet où on retrouve aussi Universciences. Le projets de l’université du Maine de création d’ un media numérique régional de sciences bénéficiera aussi du grand emprunt. En pédagogie des sciences, La main à la pate et Animaths vont aussi en bénéficier. Enfin l’association Agir pour l »école, qui a mis en place le projet PARLER, sera soutenue au titre de l’égalité des chances.
Suppression de postes : la réponse du maire
Oeil pour oeil, dent pour dent. A Tournan-en-Brie (77) le maire sait renvoyer l’ascenseur. L’inspection académique a fermé une des classes de la commune et refusé l’ouverture d’une classe de maternelle ? La commune supprime l’inspection académique ! Elle a décidé de ne pas renouveler le bail de l’inspection hébergée dans un bâtiment municipal.
L’ONL supprimée
L’Observatoire national de la lecture a accompagné les enseignants dans la réforme de l’enseignement de la lecture de 2002. Sous Robien, puis Darcos, avec la mise en place de programmes qui revenaient en arrière le gouvernement a organisé son disfonctionnement. Le Journal officiel du 11 septembre tourne la page d’un morceau d’histoire du système éducatif.
Angleterre : Comment les économies peuvent accélérer l’exode rural
Une coalition regroupant syndicats d’enseignants, associations charitables et mouvements d’éducation à la santé vient d’écrire au ministre de l’éducation pour lui demander de revenir sur les nouvelles règles de subvention des transports scolaires. Le gouvernement vient de décider qu’il n’aiderait plus les transports scolaires sur des distances inférieures à 4,5 km pour les enfants de plus de 8 ans et 3 km pour les autres. Les parents sont censés accompagner leur enfant. Elle frappe les zones rurales où on craint qu’elle encourage les familles à quitter les villages pour éviter les accidents. Elle frappe aussi les familles mono-parentales.
Les cahiers de TP ne doivent pas être à la charge des familles
La cour administrative d’appel de Bordeaux vient de donner raison à la FCPE : l’achat des cahiers de travaux pratiques de langue vivante doit être à la charge des établissements scolaire et non des familles car lié aux manuels pris en charge par l’Etat au collège. La Fcpe se félicite de cette mesure et demande au ministre de « faire valoir le droit et empêcher que les cahiers d’exercice soient mis à la charge des parents ».
Les familles face à la pression scolaire aux 4èmes JRES
« La réussite scolaire -sanctionnée par un diplôme- est aujourd’hui devenue indispensable tant pour s’insérer dans la vie professionnelle que pour évoluer, plus tard, dans son parcours. Notre système éducatif, encore marqué par l’élitisme où l’évaluation et la sélection sont présentes dès le début du parcours scolaire, exerce une pression accrue sur les enfants et, de fait, sur leurs familles. Les parents souhaitent tous la réussite scolaire de leurs enfants mais les moyens dont ils disposent sont inégaux pour comprendre les attendus de l’école, accompagner leurs enfants dans leur scolarité ou préparer leur insertion dans le monde du travail ». C’est cette pression sur les familles qui sera le thème des 4èmes Journées du refus de l’échec scolaire organisées par Curiosphère et l’AFEV le 21 septembre. Un grand débat aura lieu à Paris sous le parrainage de B Cyrulnik. L’AFEV dévoilera les résultats d’un sondage sur le ressenti des familles des quartiers face aux questions scolaires.
« Halte aux sexismes » au CIDJ
Toute une journée contre les sexismes, c’est ce que propose le CIDJ en partenariat avec la région Ile-de-France mercredi 14 septembre. Des jeux et des animations ouverts à tous sur les représentations du masculin et du féminin vous attendent au CIDJ. Des ateliers de sensibilisation au délit de discrimination sont aussi proposés. La journée sera aussi l’occasion de rencontrer des spécialistes du CRIPS, de Femmes et sciences ou du MAG jeunes gais, lesbiennes, bi et trans. Mardi 13 un chat est organisé de 14h30 à 15h30 sur le sexisme et le violences au travail.
L’année des tablettes ou des smartphones ?
« Smartphones et tablettes sont déjà en train de semer le trouble, encore un peu plus que ne l’ont fait les ordinateurs et internet », écrit B Devauchelle sur son blog. Un exemple ? « Tablettes et smartphone sont en train d’inviter à des évolutions importantes : par exemple la révolution de l’évaluation peut s’appuyer sur le fait que les TIC, si elles sont présentes en proximité des élèves tout le temps, rendent absurdes une grande partie des modalités d’évaluation. De même, elles invitent à déplacer complètement le rapport aux sources des documents, non seulement parce qu’elles sont directement accessibles, mais aussi parce que désormais on se doit de les mettre en question avant même d’y avoir accès. Enfin si l’on considère les pratiques d’échange et de mutualisation spontanées entre les jeunes avec les TIC, pourra-t-on continuer longtemps encore conserver des salles de classes composées de tables, de chaises, en rang d’oignon, avec un bureau et un tableau en face ? »
Primaire : Inscrivez-vous à 1001 nuits, 1001 récits
1001 nuits vous attendent pour ce nouveau concours qui s’adresse aux classes maternelles, élémentaires et spécialisées… Organisé par le Snuipp, en partenariat avec la BNF, le Café pédagogique, l’Ecole des loisirs, la Ligue de l’enseignement et les villes de Paris et Lyon, l’inscription au concours est ouverte jusqu’au 30 novembre.
Chacun connaît l’histoire de Shéhérazade, fille du grand vizir, qui raconte chaque nuit au sultan, son époux, une histoire dont la suite est toujours reportée au lendemain : c’est le moyen qu’elle a trouvé pour sauver sa vie. Au bout de mille et une nuits, le sultan finit par tomber amoureux… Pour quelle raison le héros que vous imaginerez, devra-t-il tenir en haleine son public pendant des nuits entières ? Comment tissera-t-il son récit, imbriquant plusieurs contes connus ou inventés ?
A vous d’imaginer ce héros, son histoire et d’écrire pour lui cette nouvelle légende. La nuit, l’univers oriental seront des points d’appui pour votre création . Livre objet, livre en accordéon, livre à pop-up, livre accompagné d’un CD-rom ou d’un site Web, livre jeu…la création finale sera envoyée au Snuipp pour le 19 mars.
Un séjour en classe découverte dans un centre de la Ligue de l’Enseignement, des caméras numériques, des appareils photo numériques, de nombreux lots de livres récompenseront les projets les plus réussis. Des ressources seront mises à disposition dans quelques semaines sur le site de la BnF et sur celui du SNUipp.
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
Pourquoi apprendre ?
Comment devient-on un élève modèle ? Qu’est ce qui motive ? D’où provient le plaisir d’un professeur de lycée sensible ? Autour de ces questions, soulevées par un numéro spécial d’octobre de Sciences humaines, flotte le mot motivation. Le magazine donne à entendre des exemples : thésard acharné, professeur courageux. Il faut surtout le point des recherche sur la motivation chez les jeunes.
Pourquoi apprendre, Sciences Humaines, octobre 2011
Les Cahiers d’Économie et Gestion, n°111
L’association des professeurs d’économie et de gestion a édité sa revue de rentrée 2011-2012. Elle prend position pour que la filière STG garde son nom et ses spécificités. Un dossier complet est consacré à la formation continue des enseignants : les attentes, les réformes, les offres associatives. Autre dossier : les Journées Pédagogiques des 2, 3 et 4 décembre 2011 à Annecy, sur le thème « L’organisation, au service de l’Homme ? ». La revue mutualise des ressources disciplinaires : sujet de comptabilité sur les travaux d’inventaires, analyse économique sur la mondialisation et la gouvernance. Elle partage les expériences : réflexion sur l’accompagnement personnalisé et témoignage sur la manière de réagir lorsqu’une classe dérape en tenant des propos racistes. Enfin, elle rend compte de conférences tenues à l’École de Management de Paris et aux jéco de l’IDIES. Dorénavant, les Cahiers d’Économie et de Gestion permettent l’accès à des services en lignes complémentaires.
Technologie : Colloque de l’Assetec
Le 12ème colloque de l’Assetec, une association regroupant des professeurs de technologie, aura lieu à Paris le 8 octobre. Au programme : l’approche en démarche d’investigation, développer la créativité technologique, conception pour le cycle central etc.
SES : The Global Competitiveness Report 2011
Réalisé par le World Economic Forum, le rapport sur la compétitivité mondiale n’échappe pas à al critique. Mais il apporte aussi un éclairage intéressant sur l’ évolution du monde. Ainsi cette année c’est encore la Suisse qui domine mais elle est talonnée par Singapour. Les Etats-Unis sont à la 5ème place en déclin depuis 3 ans à cause du déficit. Le Royaume-Uni revient dans les 10 premiers pays. Le Qatar et l’Arabie saoudite sont propulsés au 14ème et 17ème rang. La France est 18ème en chute d etrois places. Si les infrastructures sont excellentes, si l’éducation est bonne (particulièrement le primaire), le droit du travail est un obstacle à la compétitivité pour le Forum économique mondial…
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