LE FAIT DU JOUR
Le CPE : Bras droit ou bras gauche de la direction ?
ÉDITORIAL
Violence scolaire : Les mesures du président candidat Sarkozy
LE SYSTEME
Les réactions aux mesures Sarkozy l L’Institut Montaigne veut réformer le primaire l Affectation des enseignants : Le Se Unsa écrit au ministre l Apprentissage : Un plan avant l’été l New York s’attaque au cyberbullying
L’ÉLÈVE
Le Canal des métiers récompense des élèves
LA CLASSE
Séminaire national sur les échanges linguistiques
ETABLISSEMENT PARTENAIRE
Envie de savoirs 2010
LA RECHERCHE
Piloter par les résultats à l’OZP l La formation des enseignants en Europe
LES DISCIPLINES
E.P.S. : La violence et le quartier l Beckett sur le net l Enseigner le fait religieux.
Le fait du jour
Le CPE : Bras droit ou bras gauche de la direction ?
Alors qu’on parle d’instituer des « préfets des études », que le gouvernement aborde la question de la violence scolaire et de l’absentéisme sous le seul angle de la répression, les CPE s’interrogent sur leur avenir et celui de leur métier.
Mercredi 5 mai, le Snes organisait à Paris un colloque sur « les CPE au cœur de l’action éducative » pour réfléchir sur l’évolution du métier et clore un cycle revendicatif qui devait conduire les CPE au ministère dans l’après-midi.
Sommé de devenir le bras droit du chef d’établissement et le chef du service de la vie scolaire, le CPE vit son identité plutôt comme un bras gauche, pour reprendre la belle formule d’Elodie Hazambourg. Gauche comme l’émotivité, l’irrationnel, l’inattendu qu’il doit gérer chaque jour.
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Violence scolaire : Les mesures du président candidat Sarkozy
Attention un candidat peut nuire gravement à un président. Nicolas Sarkozy a prononcé le 5 mai un discours sur la lutte contre les violences scolaires devant les préfets, procureurs, inspecteurs d’académie et recteurs. Il a repris les mesures démagogiques qu’il avait annoncé le 24 mars.
« A partir de 2011 nous ne ferons plus que de la politique ». Cette phrase prêtée par les médias à N Sarkozy peut s’appliquer au discours présidentiel du 5 mai. Le président a présenté une série de mesures, la plupart à l’efficacité douteuse mais qui satisfont la frange la moins éclairée de l’électorat.
Une mesure renvoie à une constatation des Etats généraux de la sécurité à l’école. Le président souhaite « stabiliser les équipes enseignantes » dans 100 établissements difficiles. En effet de nombreux établissements en zone sensible ont un turn over important qui isole davantage les enseignants. Des incitations financières seront accordées dans ces établissements. Le proviseur pourra sélectionner son équipe.
Les autres mesures ont déjà été communiquées en mars. Des diagnostics de sécurité seront faits dans tous les établissements secondaires d’ici 2011. Ils serviront pour demander du matériel de sécurité… qui sera à la charge des collectivités locales et non de l’Etat. Les allocations familiales seront supprimées aux familles des absentéistes.
La mesure la plus importante concerne l’ouverture « d’établissements de réinsertion scolaire » où seront envoyés pour au moins un an les élèves de 13 à 16 ans « les plus durs ». Pour ces internats, dont on ne sait s’ils seront ouverts ou fermés, on mettra en place « une pédagogie qui mettra l’accent sur l’apprentissage de la règle, le respect de l’autorité et le goût de l’effort ». Elle sera délivrée par des enseignants, des éducateurs de la PJJ et des volontaires du service civique. « Outre la maîtrise des savoirs fondamentaux, l’enseignement accordera une place importante à la pratique du sport tous les après-midi et à la découverte des métiers », a déclaré N Sarkozy.
On sait que certains élèves ont besoin de respirer hors du collège ou du lycée. Et vice-versa. C’est à cela que servent les classes relais qui souvent apportent une aide précieuse et réparatrice aux jeunes. Mais le passage en classe relais ne dure pas une année au moins et elle ne coupe pas les relations du jeune avec ses camarades.
Les « établissements de réinsertion scolaire » seraient d’une nature bien différente puisque les élèves y feraient des séjours longs et à l’écart de leur environnement. Cette mise au ban de l’école dès 13 ans est évidemment très inquiétante pour l’avenir des jeunes. On a connu ces structures ségrégatives destinées aux « fortes têtes ». Des colonies scolaires aux maisons de redressement ce n’est pas par hasard qu’elles ont disparu. Tenter de les ressusciter constitue un véritable défi au projet éducatif et au projet républicain. Le premier repose sur le principe d’éducabilité. Revenir sur ce principe c’est plonger l’Ecole dans un gouffre. Le second repose sur le principe de l’égalité des droits. Or c’est bien instituer la ségrégation sociale que décider la mise à l’écart d’une partie de la jeunesse. On a là un projet politique cohérent, celui qui tend à détruire ce qui fait société.
Des projets désastreux pour l’Ecole et la République
Les réactions aux mesures Sarkozy
Les syndicats ont accueilli très négativement le discours présidentiel. Pour le Snes, » alors que ce sujet ne devrait pas prêter à la caricature, si l’on en croit Nicolas Sarkozy, tous les établissements scolaires seraient en proie à la violence, théâtre d’actes graves justifiant un arsenal de mesures répressives censées établir « autorité », ordre et respect. La communauté scolaire aux yeux du Président serait clivée entre les irréductibles délinquants, condamnés à être exclus et enfermés, et les bons élèves « méritants » des milieux défavorisés promis aux internats d’excellence ». Le syndicat estime que » ce ne sont évidemment pas des mesures de la nature annoncée qui pourront permettre de juguler la violence sous toutes ses formes, de lutter contre les inégalités et l’échec scolaire ».
Le Se-Unsa n’est pas plus tendre. « Le Président de la République stigmatise une fois de plus la jeunesse de notre pays, vécue comme un danger. C’est l’arsenal répressif et judiciaire qui est encore dégainé, jusqu’à annoncer une modification du droit pénal des mineurs », écrit Christian Chevalier. « Seule nouveauté : la création « d’établissements de réinsertion scolaire » accueillant des jeunes « condamnés à la délinquance ». Après les internats d’excellence, on entre ainsi dans une logique de tri et de fragmentation de l’Ecole. Les bancs de l’Ecole de la République seraient-ils trop étroits pour accueillir tous les jeunes ? Etrange conception du « vivre ensemble » ! »
La Fcpe évoque elle aussi la stigmatisation. « On a beau jeu de stigmatiser les élèves absents alors que les absences d’enseignants ne sont toujours pas remplacées… La FCPE ne peut que répéter que chercher une solution aux difficultés de l’Ecole implique une formation accrue des enseignants, non pas aux contenus disciplinaires mais à la pédagogie, à la psychologie des enfants et adolescents, à la gestion de classes hétérogènes ».
Stigmatisation également pour Jean-Paul Huchon, président de la région Ile-de-France. « Stigmatisation des jeunes à travers les futurs établissements dits « de réinsertion scolaire », internats réservés aux élèves catalogués perturbateurs. Avec de tels dispositifs qui rappellent les maisons de correction d’autrefois, on enfermera ces jeunes dans des ghettos… Au lieu d’exclure les jeunes étiquetés perturbateurs, le gouvernement devrait privilégier tous les dispositifs qui redonnent une chance aux élèves comme le dispositif Réussite pour tous de la Région Ile-de-France, parcours de formation individualisés pour les lycéens en risque de décrochage, qui bénéficie à 4000 élèves par an. Stigmatisation des familles, avec la suppression des allocations familiales pour les parents d’élèves décrocheurs ».
Seul le Snpden tire un point positif de ces déclarations. « Les personnels de direction seront surtout très attentifs au sort fait aux diagnostics de sécurité, en cours d’élaboration dans tous les établissements à la demande présidentielle. Partant des besoins constatés sur place, établis en coopération avec la police ou la gendarmerie locales, ils sont un point d’appui plus solide que la généralisation de mesures ponctuelles par nature inadaptées à la majorité de situations. Le taux de satisfaction effectif des demandes issues des diagnostics de sécurité sera le véritable révélateur de la volonté de progresser sur ces questions. C’est pourquoi le SNPDEN publiera désormais un bilan périodique de la satisfaction des demandes des établissements en matière de sûreté. »
L’Institut Montaigne veut réformer le primaire
Comment rendre l’école primaire plus performante ? Think Tank regroupant des chefs d’entreprise et des universitaires, l’Institut Montaigne publie un rapport sur l’état de l’école primaire et des propositions pour l’améliorer.
Pour l’Institut Montaigne, « chaque année 300 000 élèves sortent du CM2 avec des lacunes en lecture, écriture et calcul… Chaque année la France s’éloigne davantage des objectifs fixés par la stratégie de Lisbonne ». Un graphique, à l’échelle soigneusement choisie, renforce cette idée de très mauvais résultats…
Mais l’institut définit 13 propositions regroupées autour de 4 idées. La première concerne l’organisation en cycles. Il demande un réel respect des cycles, c’est-à-dire par exemple l’interdiction des redoublements dans un cycle et une réelle prise en charge, dans la classe, de l’aide individualisée. La deuxième idée concerne le temps scolaire. L’Institut suit les recommandations des chronobiologistes : semaine de 5 jours allégés et vacances d’été réduites de 2 semaines. La troisième concerne la carrière des enseignants où il recommande l’intégration de cadres de la fonction publique. L’Institut croit en la nécessité de véritables chefs d’établissement dans le primaire et demande la généralisation des EPEP.
Affectation des enseignants : Le Se Unsa écrit au ministre
Christian Chevalier soulève, dans une lettre datée du 5 mai, un certain nombre de difficultés crées par la circulaire d’affectation. « S’agissant des non titulaires, de nouveaux obstacles sont dressés, en contradiction avec l’annonce présidentielle d’une amélioration de leur situation : la suppression de la bonification pour les ex-AED ou ex- MI-SE remet en cause leur possibilité d’être maintenus dans l’académie dans laquelle ils avaient exercé. L’allongement de la durée d’exercice exigée des ex contractuels enseignants est une contrainte supplémentaire ».
Le Se-unsa soulève aussi la question des candidats des DOM obligés d’étudier en métropole faute de master. La disparition des points de rapprochement d’enfant, est un recul pour les collègues qui ont la garde alternée.
Apprentissage : Un plan avant l’été
D’après l’AFP, le gouvernement prépare un plan de développement de l’apprentissage. Des aides conjoncturelles devarient aller aux entreprises prenant des apprentis.
New York s’attaque au cyberbullying
Si le harcèlement entre élèves est ancien, Internet lui a ouvert des possibilités nouvelles et beaucoup plus violentes. Après des suicides et des violences, New York prépare une législation spéciale.
Le Canal des métiers récompense des élèves
Le site d’information sur les métiers, Canal des métiers,organise le 11 mai à Paris la remise des prix de la 3ème session du concours vidéo destiné aux jeunes.
Le concours « Je filme le métier qui me plaît » sensibilise les collégiens, lycéens et étudiants sur les différentes représentations des métiers et du monde du travail. Il concours propose aux élèves des collèges, lycées, CFA sous le contrôle d’un enseignant, porteur du projet pédagogique, de restituer leur découverte d’un métier, du monde du travail, d’une organisation, d’une entreprise sous forme d’un petit clip vidéo de 3 minutes maximum.
La classe
Séminaire national sur les échanges linguistiques
Le ministère organise le 6 mai un séminaire national sur les échanges internationaux et l’apprentisage des langues. Il est ouvert aux cadres relais de la formation continue des enseignants. Il comprend deux tables rondes et une série d’ateliers. « La première table-ronde pose l’élève en tant que citoyen du monde. Grâce à la participation d’invités du Conseil de l’Europe ou de la Commission européenne, elle a pour but de débattre sur les moyens à mettre en place pour aider les élèves à mieux s’adapter à leur époque. Éducation à la citoyenneté mondiale, mobilité européenne et insertion professionnelle, éducation et formation tout au long de la vie et apprentissage des langues en sont les axes principaux. La deuxième table ronde met en avant l’action internationale en académie ».
Participez au Forum des enseignants innovants de Dax 4-5 juin 2010
L’Ecole n’est pas immobile ! C’est le message que veut faire passer, avec vous, le Forum des enseignants innovants et de l’innovation éducative.
Avec le soutien du Ministère de l’éducation nationale et de la Ligue de l’Enseignement, le Forum réunira 100 enseignants sélectionnés sur la qualité de leur projet pédagogique par un jury composé d’associations d’enseignants (Afef, Ageem, APBG, APCEG, APHG,APLV, APSES, APV, Assetec, Les Clionautes, Projetice, Udppc, Usep) et le Café pédagogique.
Pourquoi participer au Forum ?
– parce que le Forum bénéficie du soutien du Ministère de l’éducation nationale
– pour faire reconnaître votre travail et permettre à tous de bénéficier de votre expérience
– pour ne pas manquer le SEUL rendez-vous de l’innovation pédagogique français
– pour sortir de l’isolement et faire partie de la communauté des enseignants innovants
– pour avoir une vision de ce qui se fait de nouveau dans toutes les disciplines au primaire et au secondaire
– pour soutenir l’innovation pédagogique à un moment où ce n’est pas superflu…
– pour participer durant deux jours à un événement où on rencontre des collègues inoubliables
– pour travailler avec d’autres associations d’enseignants que l’on connaît mal et renforcer ainsi les liens
Comment participer ?
Vous avez mené un projet éducatif intéressant ? Il vous suffit de remplir le formulaire en ligne sur www.forum-dax2010.net avant le 9 mai 2010 pour participer au concours gratuitement et peut-être faire partie des 100 enseignants invités à Dax.
Faites connaître votre projet et participez au Forum
Etablissement partenaire
Envie de savoirs 2010
Dans le cadre de la liaison lycée – université, l’Université Paris-Est Créteil Val de Marne –UPEC organise pour la troisième édition, du 3 au 6 mai 2010, l’opération « Envie de Savoirs » destinée aux lycées partenaires ou futurs partenaires.
Il s’agit de proposer à des classes de seconde et de première des lycées, d’assister à des conférences, adaptées à leurs niveaux et présentées par des enseignants chercheurs de l’université. Les thèmes de cette année, Tombouctou et l’Afrique de l’ouest vers 1500, les enjeux des nanotechnologies, « Du rustre à l’honnête homme », « de la chimie aux mathématiques », « les animaux et l’homme » et bien d’autres …
L’UPEC propose aussi dans ce cycle de conférences, des interventions pour les classes de première, sur l’offre de formation dans le cadre du programme de découverte des métiers et des formations. Cette présentation sera suivie d’une visite découverte de l’université et de la possibilité d’un repas au Restaurant Universitaire
Inscrivez-vous en ligne dès maintenant à partir du formulaire en ligne
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
La recherche
Piloter par les résultats à l’OZP
« Dans l’ouvrage collectif « Le pilotage par les résultats. Un défi pour demain », Jean-Claude Emin pose la question de savoir si le pilotage par les résultats et l’évaluation des politiques publiques se résument à la confection et au calcul d’indicateurs d’efficacité (et d’économies budgétaires). Ne faut-il pas d’abord et avant tout poser les questions des valeurs des politiques publiques et de la définition des résultats que l’on en attend ? » Jean-Claude Emin, ancien sous directeur de la l’évaluation à la Depp, est l’invité de l’OZp à Paris le 9 juin.
La formation des enseignants en Europe
« Les systèmes éducatifs des pays de l’Union présentent des organisations, des finalités et des objectifs encore très différents ; les statuts des enseignants y sont très divers ; plusieurs modèles de formation initiale des enseignants peuvent être identifiés. En mettant en perspective systèmes scolaires et modèles de formation des maîtres, on se demandera si les choix nationaux mettent en adéquation ces deux axes ou s’ils répondent à d’autres références, plutôt fruits d’histoires locales, de traditions intellectuelles ou autres. Les tendances et transformations qui se jouent actuellement ont-elles pour effet de rapprocher les pays européens ? » L’IREA organise le 16 juin à Paris un colloque sur la formation des maitres. Parmi les participants, Françoise Cros, Patrick Rayou, Antoine Prost, Jean-Louis Auduc etc. (Cette information a été tronquée involontairement le 5 mai. Veuillez nous en excuser).
Les disciplines
E.P.S. : La violence et le quartier
Quelle place tient le quartier dans le développement de la violence scolaire ? Benjamin Moignard , MC université Paris Créteil, est l’invité de l’AEEPS, une association de professeurs d’EPS le 20 mai à Paris. Il rendra compte des dernières recherches.
Beckett sur le net
Le CRDP d’Aix Marseille propose un nouveau dossier documentaire sur Samuel Beckett. Il est composé d etémoignages de personnes ayant connu Beckett. Il analyse quelques grandes thématiques de l’œuvre de Beckett. De quoi préparer l’épreuve de terminale…
Enseigner le fait religieux
S’il est un sujet brûlant dans le système éducatif c’est bien l’enseignement du fait religieux. S’il est inscrit dans le sprogrammes, les enseignants n’aiment pas aborder ces questions, d’autant qu’ils manquent aussi de formation sur ces points. Ce numéro spécial de la revue Religions é Histoire est dédié à l’enseignement.
Le magazine aborde la question de la question sensible. A noter aussi un intéressant article sur la scolarisation des religions, par Philippe Joutard, qui préconise des approches parallèles, par exemple enseignement du fait religieux et arts plastiques. Luc Collès aborde la question délicate de cet enseignement dans un établissement catholique et F Pajer revient sur cet enseignement dans le monde.
Religions & histoire n°hors série sur enseigner le fait religieux
le Cafe
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
L’Expresso directement sur votre site !
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