Jules Fil : Mon lycée twitte…
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Nathalie Mons : Il faut réinventer le collège unique l ERS : l’expérimentation contestée l Constante macabre et suppression de notes : ne pas confondre l Sénégal : L’enseignant sous tutelle l Dernier jour : Web 2.0 : Dites nous où vous en êtesl.
Les enfants pauvres délaissés par la République.
Expérimenter les manuels numériques au collège l La journée des orchestres à l’école.
L’orientation à l’UPEC.
Quelle influence des médias sur les jeunes ? l Troubles des apprentissages et réussite scolaire…
Les droits de l’enfant sur TBI.
Les maths sont un jeu l Un ballon pour l’école.
Le fait du jour
Jules Fil : Mon lycée twitte
Avec un nom pareil ça devait arriver. Au lycée Jules Fil de Carcassonne, Twitter, Facebook et Youtube sont des outils quotidiens pour l’équipe éducative et accessibles sans verrou pour les lycéens.
Le lycée est présent sur twitter et sur Facebook, communique avec les familles par mail et par SMS, propose une consultation des emplois du temps et des notes par Internet. Côté pédagogique, on découvre un foisonnement d’initiatives. Ce lycée ordinaire d’une ville moyenne de province, situé entre cité médiévale et cité HLM, se distingue par ses initiatives en matière numérique aussi bien pour la communication interne que pour les liens avec les parents ou la pédagogie. Le Café vous invite à la visite d’un établissement et de ses enseignants qui saisissent les fibres du web 2.0 pour améliorer leurs pratiques.
N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite). Pour pouvoir réagir, il faut préalablement s’être inscrit sur le site et être identifié. À très vite ! |
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Hier, les députés ont adopté à l’unanimité un amendement issu des bancs de la gauche prévoyant d’abonder de vingt millions d’euros, pris sur le budget des heures supplémentaires du second degré pour renforcer le financement des Emplois Vie Scolaires. Ce pourrait être une bonne nouvelle, mais pas sûr qu’elle suffise à garantir l’avenir de ces emplois précaires devenus indispensables au fonctionnement des établissements, soit pour contribuer au travail administratif, soit pour l’aide à l’accueil des élèves handicapés. Selon les informations qui remontent de nombreux départements au Café, les préconisations des Maisons du Handicap pour assister les élèves handicapés vont être de plus en plus difficiles à honorer, étant donné la nouvelle réduction programmée par la nouvelle loi de finances pour ces emplois aidés. L’ambition affichée par le gouvernement, de développer le droit de tous à une scolarisation, va se trouver confrontée au mur du dogme de la RGPP.
Mais bien au-delà, ce sont désormais tous les services de l’éducation nationale qui sont menacés de blocage du fait du manque d’argent, renforcé par les exaspérants bugs du logiciel Chorus, destiné à mettre en musique la réforme de l’Etat dans tous les services publics. Les conseillers pédagogiques chargés de faire les suivis de débutants attendent les remboursements de frais engagés et menacent de ne plus se déplacer tant que leur employeur ne leur paie pas ce qu’il leur doit, parfois depuis de longs mois. La formation continue des personnels est réduite à la portion congrue, voire supprimée de peur de ne pas arriver à tenir dans les contractions budgétaires de la fin de l’année. Les inspecteurs sont soumis au régime sec. Les projets éducatifs, artistiques et culturels sont depuis longtemps au placard. L’accompagnement éducatif qui devrait être mis en place dans les territoires de l’éducation prioritaire est relégué en deux ans aux oubliettes de l’histoire tant les heures supplémentaires prévues sont désormais contingentées.
Pendant combien de temps encore cette incurie de l’Etat décrédibilisé, incapable de mettre en œuvre ses propres circulaires, va pouvoir rester confiné dans les bureaux des services financiers des inspections académiques et des rectorats ? Les personnels s’habituent-ils à ne plus rien attendre de leur employeur, et l’opinion peut-elle se sensibiliser à ce qu’on est en train de faire de leur école ? Ce n’est pas le piètre huitième rang du nouvel-ancien ministre de l’Education, dans la liste officielle de composition du gouvernement, qui est de nature à donner un signe, à faire des questions éducatives une priorité réelle. Dans la campagne présidentielle qui se profile désormais, qui donc aura la force de remettre du poids à l’Education ?
Marcel Brun
Nathalie Mons : Il faut réinventer le collège unique
Voilà un article qui fera date. Entre programme UMP et PS, Nathalie Mons, Université Paris-Est-Marne-la-Vallée, publie, dans Le Monde du 15 novembre, une tribune qui analyse froidement les discours politiques sur le collège et l’efficacité des modèles éducatifs proposés. Elle invite à rénover non seulement le collège mais aussi notre outillage mental pour penser l’Ecole.
Reprenant les préconisations du programme UMP de filières préprofessionnelles depuis la 4ème, N. Mons en montre la caractère dangereux. « La majorité de ces préconisations ont un trait commun politiquement fort : introduire au sein du collège une plus forte différenciation, classer les élèves dans des cases différentes, suivant leur niveau scolaire, leur comportement, leur lieu de résidence », dit-elle. « Elles apparaissent de ce fait en rupture nette avec le projet de collège unique qui visait à accueillir dans des établissements comparables des élèves issus de classes sociales différentes pour leur faire suivre le même programme scolaire, projet partiellement mis en oeuvre par ailleurs… Malheureusement, les résultats des recherches scientifiques conduites sur le collège unique ne rejoignent pas ces conclusions qui se révèlent être de fausses bonnes solutions apportées à un vrai problème. La différenciation pédagogique s’avère tout d’abord une impasse en termes d’apprentissage. Si le collège unique, dans sa version française du moins, n’a pas permis d’élever le niveau scolaire des élèves ni de réduire les inégalités sociales à l’école, la solution alternative, qui consiste à créer des types diversifiés d’établissements et des filières plus ou moins déguisées, a plus encore échoué ».
Injustice sociale et anomie. S’appuyant sur les résultats de PISA, elle montre que » le collège différencié est associé à un niveau scolaire bas et des inégalités sociales plus importantes que l’école unique… Recréer des filières au sein du collège unique, c’est établir un système discriminant pour les élèves des milieux les plus démunis. C’est, de fait, rompre avec une saine concurrence scolaire et donner un avantage comparatif inique aux familles favorisées ». Mais N. Mons insiste sur le risque politique pris par la différenciation scolaire précoce. « C’est surtout en termes de cohésion sociale et d’unité nationale que de telles mesures pourraient se révéler dangereuses. Car, en sus des compétences académiques, l’enseignement vise aussi à transmettre un bagage culturel partagé, à permettre des rencontres improbables entre les enfants d’une même génération, quelle que soit leur origine sociale ».
Abandonner l’idéologie du don. Quelle solution alors ? « Certains modèles scolaires d’école unique développés dans les pays scandinaves ou jusque dans les années 2000 au Japon et en Corée, semblent à la fois plus efficaces et plus égalitaires que le système français », écrit-elle. « Ces pays présentent une caractéristique commune qui s’incarne dans une valeur fondatrice de leur institution scolaire : s’appuyant sur le principe de l’éducabilité et combattant l’idéologie du don – selon laquelle certains élèves peuvent réussir et d’autres pas -, ils exigent de l’école dite obligatoire qu’elle fasse réussir tous les élèves… Cet objectif de réussite pour tous est fondé sur un consensus politique, ce qui entraîne une plus forte adhésion des acteurs de terrain. Il réunit droite et gauche autour de lignes d’action qui perdurent sur plusieurs décennies, sécurisant ainsi les acteurs de terrain qui ne subissent pas d’enchaînement de réformes contradictoires. »
De la réforme Haby à la loi Fillon
PISA : des indicateurs pour lutter contre les inégalités scolaires
Un système éducatif qui doit s’améliorer
ERS : l’expérimentation contestée
Le Snpden, premier syndicat de chefs d’établissement, critique la décision de retrait prise par les enseignants du collège de Craon mais s’interroge sur l’efficacité du dispositif. Inspection académique et ministère s’obstinent.
Réagissant aux incidents qui ont eu lieu à Craon et à Portbail, le SNPDEN déplore que des personnels enseignants puissent invoquer le « droit de retrait » pour stigmatiser encore davantage des élèves en difficulté sur le seul fait qu’ils sont différents alors même que ceux qui sont la cause des incidents ne sont déjà plus là », écrit le SNPDEN dans un communiqué du 15 novembre. Le syndicat y voit « une perte de repères éthiques de certains éducateurs ».
A Craon, les enseignants ont repris le travail mais déposé un préavis de grève pour le 25 novembre pour dénoncer les dysfonctionnements de l’ERS. A Paris, Luc Chatel a pris la défense du dispositif voulu par N Sarkozy. « Nous nous adapterons à la réalité », a confié le ministre à l’AFP, « mais je crois qu’il ne faut surtout pas tirer un trait sur ce projet qui est ambitieux ». Un avis confirmé par l’inspecteur d ‘académie de Seine-Saint-Denis qui présente l’ERS comme un véritable outil de réinsertion. « Même si ce ne sont pas des anges, ils ont droit à ce qu’on les aide, (…) droit autant que les autres à l’accès à la qualification même si ça demande plus d’efforts ». Un objectif qui reste à confirmer. En attendant, le Snpden ne se prive pas de faire remarquer que le collège de Craon qui héberge l’ERS n’a même pas de principal adjoint. Pour lui, « les ERS ont été présentés comme une expérimentation pragmatique : on semble aujourd’hui avoir décidé que, quoi qu’il advienne, ce serait de toute façon une réussite et donc de minimiser les aspects négatifs et d’écarter la recherche d’alternatives plus raisonnables. »
Déni d’insertion : Chatel ouvre les ERS
Constante macabre et suppression de notes : ne pas confondre
« Dans l’appel contre la constante macabre lancé par le MCLCM, signé par la plupart des partenaires du système éducatif (associations et syndicats d’enseignants, de parents d’élèves, de chefs d’établissement, d’inspecteurs d’académie, de directeurs diocésains,…), il n’est nullement question de la suppression des notes », tient à rappeler André Antibi, président du Mouvement contre la constante macabre (MCLCM).
La constante macabre est ce phénomène qui structure la notation et décourage les élèves. Pour A Antibi, « c’est un véritable problème de culture d’évaluation… Il peut donc être dangereux de faire croire que la constante macabre sera éradiquée en supprimant les notes. D’autre part, la suppression des notes conduirait à un bouleversement de nature à perturber nos collègues enseignants, les parents d’élèves, et même les élèves, sans que cela assure une évaluation plus juste ».
A Antibi milite pour le système d’évaluation par contrat de confiance (EPCC) qui » incite les élèves à travailler beaucoup plus, en confiance. Cette méthode d’évaluation, très facile à mettre en place, s’appuie sur le système de notation habituel, en en corrigeant les graves défauts ».
Pour A. Antibi : L’évaluation ne doit plus servir à piéger les jeunes
Sénégal : L’enseignant sous tutelle
« Aucun travailleur n’est aussi surveillé que l’enseignant, n’est autant attendu dans la société en termes de résultat que lui. Il est le sujet de tous les contrôles et est évalué par tous les adultes de la société », écrit Mamadou-Youry Sall dans le quotidien sénégalais WalFadjri. « Pourtant, il est le seul agent de l’Etat qu’on entend à la fin du mois réclamer ce qu’on devrait lui donner sans bruit. Comble de malheur, sa tutelle immédiate, au lieu de le protéger et de l’éloigner des lieux d’indignité qui guettent tout père de famille sans salaire, lui demande menaçant de ne réclamer sa rémunération très méritée qu’après le huit du mois suivant. Rien n’est plus dégradant pour une société que de voir ses éducateurs obligés à agir comme des jeunes apprenants, oubliant les valeurs de bonne conduite qu’ils enseignent toujours ». A quelques jours d’une fête traditionnelle, les enseignants sénégalais attendent leur paye pour acheter le mouton traditionel.
Dernier jour : Web 2.0 : Dites nous où vous en êtes
Facebook, Twitter, blogs, etc. : doit-on les réserver, pour le meilleur comme pour le pire, aux seuls élèves ? Ou peuvent-ils avoir une utilité pour les adultes, voir pour la classe ? La question sera posée à la table ronde organisée le 24 novembre par le Café au Salon Educatice.
Pour préparer cet événement, aidez-nous ! Répondez à quelques questions sur vos habitudes informatiques personnelles et professionnelles. Cela ne vous prendra que quelques minutes pour participer à une enquête qui sera publiée sur le site du Café.
Attention ! Pour assurer le sérieux de cette enquête, son accès est réservé aux utilisateurs enregistrés sur le site. L’enregistrement est gratuit et sans risque publicitaire.
Pour accéder à l’enquête (utilisateurs enregistrés seulement)
Les enfants pauvres délaissés par la République
« Les effets de la précarité ont des conséquences lourdes sur la construction psychique et le devenir des enfants », affirme Dominique Versini, Défenseure des enfants, dans un rapport sur la précarité et les droits des enfants.
On lira avec intérêt le chapitre qui concerne l’école où sont référencés de nombreux faits concernant les élèves de la grande pauvreté. « La pauvreté a-t-elle une incidence sur le parcours scolaire ? Oui, elle a une incidence. Tous les chiffres le montrent. Il existe encore un déterminisme social important dans le système scolaire français. Selon la catégorie sociale d’appartenance des enfants, le parcours scolaire n’est pas le même. Il est plus long ou plus court selon qu’ils font partie des catégories dites « favorisées » ou « défavorisées ». On ne trouve pas les mêmes catégories sociales dans les mêmes filières », explique par exemple Maryse Esterle. « Les enseignants se font en général un certain nombre de représentations à propos des élèves, mais pas seulement sur la catégorie sociale. Les études sociologiques montrent qu’ils ont un regard plus favorable sur les élèves de milieux favorisés tant en termes de comportement, d’ambition pédagogique que l’on peut avoir pour eux que de résultats scolaires. Les enseignants solliciteront davantage ces élèves et s’intéresseront moins aux élèves de niveaux faibles qui se trouvent, par les corrélations dont j’ai parlé, appartenir de façon plus importante à des milieux défavorisés. De la même façon, au moment des orientations en fin de classe de troisième, à niveau égal, ce regard porté sur la famille, l’entourage social du jeune, fera que, à niveau scolaire égal, il sera plus orienté vers les filières technologiques ou professionnelles selon que la famille peut soutenir ou pas – dans l’idée que l’on peut s’en faire – la carrière scolaire de cet élève. On note chez ces familles et ces jeunes des aspirations scolaires moindres ».
Dominique Versini dénonce la situation des 2 millions d’enfants qui vivent sous le seuil de pauvreté en France. « Les effets de la précarité ont des conséquences lourdes sur la construction psychique et le devenir des enfants », écrit-elle. « L’absence de logement, le logement surpeuplé ou insalubre, l’hébergement d’urgence ont des conséquences directes sur leur scolarité, leur vie sociale et leur santé. Les expulsions en hausse (10.000 par an) produisent chez les enfants des effets comparables à ceux de la guerre. L’hébergement d’urgence fait éclater la cellule familiale. Les difficultés d’emploi des parents sont un frein au logement et fragilisent d’autant la vie sociale et familiale…- La peur du regard des institutions et des travailleurs sociaux par rapport au risque de placement des enfants… La pauvreté a une incidence indiscutable sur le parcours scolaire des enfants pris dans une sorte de déterminisme social », ajoute-elle. «
Elle demande des efforts concrets en matière de logement social, de prévention et d’accompagnement des familles, de « refuser les conséquences de la précarité sur le parcours scolaire des enfants », et souhaite des campagnes de sensibilisation pour développer la solidarité directe entre els citoyens ».
La classe
Expérimenter les manuels numériques au collège
Educnet met en ligne plusieurs vidéos montrant l’uitilisation de manuels numériques via un ENT en collège en anglais, en français, en histoire-géo et en SVT.
La journée des orchestres à l’école
« La participation à un Orchestre à l’Ecole produit un impact significatif sur la moyenne générale des élèves… et l’attitude des enfants à l’égard de l’école », affirme l’association « Orchestre à l’école ». « La participation à l‘Orchestre augmente la probabilité de répondre positivement à des questions évaluant le comportement et l’attitude des élèves vis â vis de l’école, et ce d’autant plus que les élèves sont jeunes (5ème ou 4ème). Ex : aux questions « J’aime aller à l’école », « Les élèves dans mon collège font des efforts pour bien travailler », « Les enseignants dans mon collège veulent que les élèves fassent des efforts et travaillent bien », 51% des élèves qui ne sont pas en classe Orchestre ont répondu positivement contre 61% pour ceux qui sont en classe Orchestre. Soit une différence de dix points. » L’association fête le 22 novembre à Paris sa Journée Orchestre à l’Ecole, avec plusieurs classes orchestre.
Etablissement partenaire
L’orientation à l’UPEC
La saison de l’orientation débute à l’UPEC ( Université Paris est Créteil Val de Marne). Afin de faciliter la transition secondaire-supérieure et dans le but d’une meilleure orientation des lycéens et de leurs familles, UPEC organise un petit déjeuner pour les parents d’élèves le samedi 20 novembre à 9h30. Autre rendez-vous : le 4ème Nocturne de l’Orientation, une soirée entièrement dédiée à l’orientation. Elle aura lieu le mercredi 1er décembre 2010 de 17h à 20h30.
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
La recherche
Quelle influence des médias sur les jeunes ?
Telle est la problématique que posent les Francas pour une journée d’étude à Créteil le 9 décembre. Après un temps d’analyse avec les interventions de Monique Dagnaud (dir de recherche au CNRS) sur la pratique des médias chez les jeunes et celle d’Alberto Toscano (journaliste et écrivain) qui regardera au-delà de nos frontières, trois questions seront soumises à un travail de l’assemblée. Les Francas veulent faire de cette journée le point de départ d’une réflexion et d’un travail sur des pistes communes : la formation des éducateurs, le travail sur les nouveaux médias avec les jeunes et l’identification des compétences nécessaires ce qui constitue la trame des ateliers.
Descriptif et inscription à la journée d’étude
Troubles des apprentissages et réussite scolaire
L’IUFM des Pays de la Loire organise une journée nationale d’études le 1er décembre à Nantes en partenariat avec l’AFPSSU et l’ANAE, et avec le soutien de la MAIF sur le thème des troubles des apprentissages et de la réussite scolaire avec une quadruple approche : neuropsychologique, médicale, didactique et socioconstructiviste en psychologie des apprentissages.
« Il s’agit de faire un état des lieux des problèmes soulevés lors de la scolarisation d’élèves présentant des troubles des apprentissages. Cette journée sera l’occasion de mettre au jour des pratiques possibles pour étayer au mieux ces élèves dans la réussite scolaire. »
Citoyenneté
Les droits de l’enfant sur TBI
L’Unicef et Promethean s’associent pour offrir 17 parcours pédagogiques sur les droits de l’enfant pour les élèves de CM2 à 5ème.
Conformes aux programmes scolaires de l’Education nationale, les 17 parcours contiennent des supports multimédias riches et variés, tels que des photos, vidéos, affiches ou sons, ainsi que des exercices interactifs variés (repérage, classement, saisie, évaluation…) permettant aux élèves de travailler la compréhension et la production écrite et orale. Chaque parcours dispose d’un lexique et de ressources complémentaires. Ils peuvent être modifiés et personnalisés par les enseignants et acteurs de la communauté éducative (grâce aux logiciels du tableau numérique interactif).
Outre un bilan final, l’offre comprend 11 parcours sur les droits fondamentaux (droit à l’identité, à l’éducation) et 6 sur des connaissances générales concernant les droits de l’enfant.
Les disciplines
Les maths sont un jeu
Ce petit ouvrage de la collection Librio invite tout le monde à faire des maths. Mais de smaths ludiques avec des stats qui vous rendent chèvre, des pourcentages en forme de casse-tête , des quiz qui invitent à passer en revue l’histoire des maths. Les enseignants y trouveront des jeux réutilisables en classe.
Alain Gastineau, Les maths sont un jeu, Librio, 3€.
Un ballon pour l’école
Faire décoller un ballon qui emporte dans la haute atmosphère les expériences de la classe ! C’est ce que propose le CNES, du cycle 3 à la terminale S. Chaque année 150 classes bénéficient de ce programme qui permet de faire vivre les étapes d’une vraie expérience scientifique à ses élèves. Le CNES dispose de documents pédagogiques pour se lancer sans risque dans l’aventure.
le Cafe
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
L’Expresso directement sur votre site !
Vous nous l’avez demandé par téléphone, par courriel, par fax : comment afficher sur mon site personnel les informations quotidiennes de L’Expresso ? Le webmestre du Café vous propose deux solutions simples qui nécessitent juste le copier-coller de quelques lignes.
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