« Le jeu d’échec favorise le développement de la logique, de l’esprit d’analyse et de synthèse… Il développe la maîtrise de soi, le sens des responsabilités, le maintien de l’attention ». Ajoutons que c’est aussi un bon outil pour échanger entre générations, voir, par Internet, entre pays. C’est pourquoi le CRDP de Bretagne et l’association Ecoles en ligne mettent en place une plate forme qui permet des tournois d’échecs par Internet.
Les échecs sont aussi à l’origine d’un intéressant projet guyanais : « Jeu d’échecs contre l’échec scolaire ». Il associe écoles, collèges, lycées et clubs d’échecs et motive les élèves pour monter des projets. Pour M. Petrynka, IPR d’EPS, il s’agit d’ « accéder au savoir par la diagonale. » Sport cérébral par excellence, le jeu d’échecs peut être source de motivation pour les apprentissages, en particulier pour les élèves en difficulté : formation au raisonnement, à la logique, à la démarche d’investigation, à l’anticipation en respectant le rythme de l’élève ».
Mat Pat à Rennes
Et en Guyane…