Par François Jarraud
François Bonneau : TICE : Pour un Acte III de la décentralisation..…
Il s’est passé quelque chose
Le drame de Béziers va-t-il devenir une affaire nationale ? l Bernard Thibault : « Je sais combien ils sont en souffrance » l Elections professionnelles : Une certaine inquiétude l Evaluation en maternelle : Une mesure « à risque » ? l Discours attendu de Sarkozy sur la formation professionnelle mardi l L’Assemblée s’interroge sur les salaires de la Fonction publique l 17 Octobre : Le refus de la misère passe par l’école.
Stages en entreprise l Les conférences d’Educatice l Primaire : Inscrivez-vous à 1001 nuits, 1001 récits.
Plus de 4 000 sites commentés pour les enseignants l Les droits d’auteur et le numérique l Primaire : Inscrivez-vous à 1001 nuits, 1001 récits.
Cerveau : Les secrets de l’apprentissage l PISA : Ce que l’on en sait et ce que l’on en fait…
Mort n’est pas justice.
STMG Français : Rectificatif officiel l Quels enseignements tirer de la première mondialisation ? l Mediapart gratuit pour votre établissement.
François Bonneau : TICE : Pour un Acte III de la décentralisation
Alors que s’achève la première période de l’année scolaire, François Bonneau, vice-président de l’Association des régions de France en charge de l’éducation et président du Conseil régional de la région Centre, fait le point sur une rentrée marquée par « l’angoisse » des enseignants. Mais aussi par une perspective positive, celle d’une meilleure coordination entre les politiques régionales et celles portées par l’Etat. Une coordination indispensable par exemple pour que les TICE entrent réellement dans les usages pédagogiques. Pour François Bonneau, il est temps que naisse l’Acte III de la décentralisation…
Lisez l’entretien avec F Bonneau
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L’Éditorial de Francois Jarraud
Il s’est passé quelque chose
Il n’appartient pas au Café pédagogique de commenter les événements politiques. Mais incontestablement, au lendemain des primaires citoyennes, on peut affirmer qu’il s’est passé quelque chose dans le pays. Pour autant, beaucoup reste à construire.
La participation massive et croissante aux Primaires citoyennes est en soi un événement. D’une part parce qu’elle valide un mode de fonctionnement tout à fait nouveau dans la vie politique française qui correspond à une prise de pouvoir citoyenne sur les partis. D’autre part elle montre une certaine impatience de tourner la page du quinquennat même si on est encore loin de la mobilisation nécessaire à une alternance politique.
Le programme de François Hollande sur l’éducation est loin d’être précis. Plus près du pouvoir, le candidat n’a peut-être pas voulu se lier les mains même s’il est intervenu sur la question du redoublement et des postes d’enseignants, promettant d’en créer 12 000.
François Hollande a basé sa campagne sur une réalité moins souriante qui est celle de la rigueur. Il faut le dire : c’est bien elle qui va rythmer en réalité la vie politique jusqu’à l’élection et après. Si la crise économique ne s’aggrave pas, l’Ecole a une chance de participer de façon centrale au débat politique. Dans l’autre cas, ce ne sera qu’une question périphérique. La détérioration de la note de la dette française, par exemple, pourrait grever le budget du nouveau gouvernement de plusieurs dizaines de milliards.
Les difficultés de l’école ne sont pas que budgétaires. Elles sont aussi pédagogiques et éthiques comme le montre clairement l’actualité. Sur ces terrains un candidat ne peut pas tout. Mais il faut au moins poser la question d’une réconciliation des enseignants avec le rôle et les valeurs qu’on tente de leur faire jouer actuellement. Ca c’est un chantier pour un candidat.
Pour le moment constatons qu’il s’est passé quelque chose dans le corps enseignant et dans le société. Le cynisme et l’abstentionnisme politique reculent. Et c’est une condition pour prendre en mains l’avenir.
Le drame de Béziers va-t-il devenir une affaire nationale ?
Le suicide particulièrement violent d’une enseignante de mathématiques du lycée Jean Moulin de Béziers est-il un drame personnel ou une affaire publique ? Les circonstances du drame, l’émotion qu’il suscite sont en train de sortir cet événement des faits divers. D’autant qu’un autre suicide, violent lui aussi, a eu lieu vendredi soit au lycée M Sorre de Cachan (94) où un employé du lycée s’est défenestré.
Les syndicats demandent pourquoi le drame n’a pu être évité. Ils mettent en questio n les conditions de travail de Lise B. et des enseignants en général. Le Sgen évoque « la déshumanisation de la gestion des personnels et le manque de démocratie sociale ». Le Snes, le Snep et le Snuep « interpellent le ministre sur l’importance d’une véritable médecine du travail…, des dispositions permettant par le travail en équipe de rompre l’isolement des enseignants, d’améliorer els conditions de travail des enseignants ». Pour le Se-Unsa, outre les conditions de travail, « c’est la gestion des ressources humaines qui est interrogée ».
Sur les forums Internet, une lettre, présentée comme venant du lycée Jean Moulin, rencontre un certain succès. Elle appelle à un débrayage jeudi 20 dans les établissements. Des enseignants envisagent le port d ‘un brassard blanc et des assemblées dès lundi. De leur coté, le Snes, le Snep et le Snuep demandent « une demi-journée dans tous les EPLE dans les semaines à venir pour impulser le débat sur les réalités du métier et les solutions à y apporter ».
Bernard Thibault : « Je sais combien ils sont en souffrance »
Vendredi 14 octobre, Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT, venait soutenir la liste CGT aux élections professionnelles. Il a mis l’accent sur la souffrance au travail estimant que celle-ci résulte de la politique gouvernementale de réduction des effectifs.
« Je sais qu’ils sont en souffrance professionnelle. Je vois dans quelles conditions ils travaillent ». Vendredi 14 octobre, au lycée M Deprez à Paris, Bernard Thibault avait rendez-vous avec des salariés de l’éducation nationale et avec les responsables locaux de la CGT éducation. Il a mis l’accent sur la souffrance au travail, un thème qui raisonnait avec l’actualité, après la tentative de suicide d’une enseignante à Béziers.
Elections professionnelles : Une certaine inquiétude
Alors que s’ouvre la 5ème journée des élections professionnelles, une certaine inquiétude est palpable chez les syndicats à propos du taux de participation.
Des enseignants nous écrivent pour nous faire part des difficultés qu’ils éprouvent pour voter électroniquement. Il y a les « oubliés » qui n’ont pas reçu leur identifiant. Il y a aussi, et c’est nouveau, ceux qui ont des problèmes informatiques. Il aura fallu trois ordinateurs différents à Lucie pour voter. Les deux premiers se sont révélés incompatibles et le téléchargement du logiciel nécessaire au vote a échoué. « Les dirigeants ont-ils pour projet de nous doter d’un nouvel ordinateur et d’une connexion Internet avant chaque élection ? » interroge-t-elle… Le vote électronique devrait écarter du vote les enseignants peu à l’aise avec l’informatique ou dotés d’un matériel ancien. Si dans le secondaire ils peuvent se rabattre facilement sur un point de vote, ce n’est pas toujours aussi facile dans le primaire. Pour Patrick Désiré, secrétaire général de la CGT éducation, un syndicat assez hostile au vote électronique pour refuser d’entrer dans la procédure officielle de contrôle des élections, « l’administration ne sait pas faire voter un million de personnes ».
C’est qu’il y a aussi les oubliés. Pour P Désiré, ce sont « plusieurs dizaines de milliers de personnes » qui n’auront pas reçu leur identifiant, ou qui l’auront dans une boite aux lettres officielle mais inactive. Cela semble particulièrement concerner des précaires, des personnels des CIO.
Dimanche soir, un pointage sur un département montrait que seulement 19% des enseignants du primaire avaient voté au quatrième jour d’élection. Ce qui semble assez peu. « Si le taux de participation était nettement en dessous de 60% cela disqualifierait ce mode de scrutin », estime P Désiré.
Evaluation en maternelle : Une mesure « à risque » ?
Apparu en 2005 suite à la publication d’un rapport de l’Inserm, le collectif « Pas de 0 de conduite pour les enfants de moins de 3 ans » reprend vie suite à la publication du projet d’évaluation en maternelle. Il dénonce « le retour du carnet de comportement préconisé en 2005 par N Sarkozy ». « Sélectionner des enfants « à risque » comportemental reprend le projet de dépistage précoce des enfants agités, avec une démarche de prédiction inhérente à cette notion de risque », ajoute le collectif. « Un tel projet d’évaluation chez les enfants de grande section, s’il se mettait en place, ferait planer un climat de suspicion sur l’école maternelle vécue comme une école qui trie et désigne les enfants avant même qu’ils ne soient devenus des élèves assujettis à l’obligation scolaire ».
Une position rejointe par l’association francophone de psychologie et psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent qui juge le projet « méthodologiquement insuffisant, scientifiquement douteux, pédagogiquement inutile et humainement dangereux ». Elle dénonce le caractère « manichéen » du tri effectué. « Le risque d’erreur est important et ne peut conduire qu’à des stigmatisations ».
La Fnaren , qui réunit des enseignants des Rased, souligne la différence entre dépistage et prévention. « Le dépistage précoce stigmatise les enfants » assure-t-elle. « Or le respect des règles, le contrôle de ses émotions , la socialisation ne sont pas innées ». La Fanren annonce l’organisation le 5 novembre du Forum des rased avec la participation de l’Ageem, la Fname, l’Afpen et l’Ancp.
Mis là encore en première ligne, les inspecteurs du Snpi Fsu demandent « d’attirer l’attention des enseignants sur les problèmes éthiques » soulevés par le texte ministériel. Pour eux « le risque de glissement vers un diagnostic médical sont importants et il importe que ces diagnostics restent strictement exclus de fonction enseignante ».
Communiqué Pas de 0 de conduite
Discours attendu de Sarkozy sur la formation professionnelle mardi
Mardi 18 octobre, Nicolas Sarkozy se rendra à Nice où il prononcera un discours sur la formation professionnelle et l’insertion professionnelle des jeunes. Il rencontrera des jeunes en contrat de professionnalisation et des jeunes bénéficiaires des politiques conduites en faveur de l’insertion professionnelle par la ville de Nice. Le choix de cette ville, capitale de « la droite populaire » doit-il faire craindre un discours en faveur des filières d’exclusion précoce du système éducatif ?
L’Assemblée s’interroge sur les salaires de la Fonction publique
Fidèle aux principes de la majorité, le rapport « sur la soutenabilité de l’évolution de la masse salariale de la fonction publique », rédigé par la Mission d’évaluation et de contrôle de l’Assemblée nationale, fait le point sur l’évolution de la masse salariale avec el souci de la contrôler. Elle regroupe une information importante sur cette question.
Ainsi le rapport montre le déclin de la masse salariale par rapport au PIB : 7% en 2006 contre 6,8% en 2009, la France dépensant nettement moins que ses voisins pour le fonctionnement de son administration : 17,6%du PIB contre 20,5% aux Etats-Unis et 23,3% au Royaume-Uni. Elle montre également que l’effort salarial est porté différemment selon les ministères. N Sarkozy a ponctionné les crédits de l’environnement, de l’éducation et de la défense et beaucoup moins les autres ministères.
Si le rapport demande une étude d’impact des mesures prises c’est que le doute s’est installé sur leur efficacité même budgétaire. Le rapport cite le chiffre donné par la Cour des Comptes : l’ensemble des suppressions de postes n’aurait généré que 264 millions d’économies, moins de la moitié de ce qui état attendu.
Reste l’avenir. Le rapport annonce une généralisation de la rémunération au mérite dans la fonction publique et propose de vérifier que le retour bénéficie réellement aux agents qui permettent les gains de productivité. Une perspective inquiétante pour l’éducation.
17 Octobre : Le refus de la misère passe par l’école
Pour l’association ATD Quart Monde, la situation s’aggrave en France : 4,5millions de personnes vivent avec moins de 795 euros par mois et leur niveau de vie a reculé de 1,1% de 2008 à 2009. Or, pour l’association, l’école a à voir avec cette aggravation. « L’impact du milieu social sur la réussite scolaire est plus grand en France qu’ailleurs », ce que confirme l’OCDE. « Un enfant d’ouvrier est plus en échec scolaire aujourd’hui qu’il y a 20 ans ».
Aussi ATD Quart Monde a mis l’école au coeur de sa campagne du 17 octobre, Journée du refus de la misère. Elle propose des livrets pédagogiques destinés aux écoles, collèges et lycéen pour faire travailler les élèves sur la stigmatisation, la solidarité et l’entraide. Ces guides sont faciles à mettre en oeuvre et on peut le faire à tout moment de l’année. Des événements (ateliers d’écriture, débats etc.) sont aussi organisés ce 17 octobre dans toute la France.
Parent : emmerdeur public N°1 !
Bernard Collot analyse la place du parent d’élève dans l’école française : » Le parent est condamné par rapport à l’école à être ou un soumis passif, ou un emmerdeur »…
« Il faut éliminer totalement les parents de l’école ! », c’est ce que j’ai lu il y a quelques temps dans le blog de JP Brighelli. Heureusement que leur élimination ne concernait que l’école puisqu’il faut bien qu’ils lui fournissent de quoi exister, à cette école !
Bien sûr, pour la commodité, le parent est transformé en « parent d’élève ». Curieuse association sémantique. Dans le langage courant, le parent est un géniteur, celui qui donne naissance et qui protège. Un parent ne peut donc générer qu’un enfant, jamais un élève. Par contre qui peut, peut-être, générer un élève ? L’école et ses enseignants bien évidemment. La parente d’un élève, c’est l’école ! L’élève étant alors un objet à façonner. Le système éducatif est bien conçu comme une chaîne industrielle de production : détermination de l’objet à produire et de ses caractéristiques, découpage des opérations à effectuer (greffage des connaissances) dans une succession de maillons (programmes, matières, classes), vérification à chaque maillon de la conformité de la production, etc.). De par son essence, il ne peut logiquement « traiter » que des objets. L’enfant, pendant une partie de sa construction d’enfant en adulte, change quotidiennement de l’état enfant (sujet) à l’état d’élève (objet), son géniteur devant le laisser aux bons soins de professionnels, les yeux fermés.
Ouverture du site Mon stage en ligne
Présentée en juin 2011, la plate forme « Mon stage en ligne » crée par l’Onisep est désormais accessible en ligne. Elle répond à des besoins concrets. D’abord ceux des entreprises souvent submergées par les demandes de stages. La plate forme permettra de trouver des stagiaires plus facilement en ayant la garantie de sortir du fichier une fois les stagiaires trouvés. Mais la plateforme a aussi des avantages pour l’Ecole. Grâce à la géolocalisation de toutes les offres de stages, elle facilite le choix. Les enseignants pourront aussi montrer facilement dans quels secteurs se situe l’offre dans le département. Ceux qui n’ont pas l’habitude de chercher des stages, comme les enseignants des lycées généraux, apprécieront particulièrement l’outil. Enfin les élèves qui ont du mal à trouver un stage, par exemple parce qu’ils n’ont pas le réseau relationnel nécessaire, auront accès à une information importante sur les offres.
Quatre atouts. Pour Pascal Charvet « le site compte sur 4 atouts » pour trouver son public. Le premier c’est la simplicité. La banque de stages permettra une recherche par diplôme, par compétences et par métier. Le site est compréhensible par les élèves. Le second atout c’est la sécurité. Le site permettra de prendre contact avec les entreprises en toutes sécurité pour elles et pour l’établissement. La qualité des offres est le troisième atout : la banque de stages sera maintenue en permanence. Il n’y aura pas d’offres périmées. Enfin la proximité est aussi un point important : le fait que les élèves puissent voir les offres près de chez eux est une incitation puissante à oser un stage.
Bourses du second degré à Mayotte
Le Journal Officiel du 16 octobre publie deux textes relatifs aux bourses du secondaire, collège et lycée, à Mayotte. Pour la bourse de lycée, les plafonds de ressources sont minorés de 20%.
Stages en entreprise
Pour s’y retrouver dans la réglementation concernant les stages des étudiants, le site Service Public publie une synthèse très pratique (ne concerne pas les mineurs de moins de 16 ans).
Les conférences d’Educatice
Le programmes des conférences d’Educatec – Educatice est publié. Du 23 au 25 novembre, le salon sera le grand rendez-vous des enseignants, cadres de l’éducation, chercheurs et entreprises intéressés par les TIC dans l’éducation. Le Café pédagogique, partenaire du salon, animera deux conférences : une sur les jeux sérieux le 23 novembre et une autre sur les mobiles le 24. Vous pouvez dès maintenant réserver votre invitation gratuite.
Les bonnes raisons de visiter Educatec Educatice
Primaire : Inscrivez-vous à 1001 nuits, 1001 récits
1001 nuits vous attendent pour ce nouveau concours qui s’adresse aux classes maternelles, élémentaires et spécialisées… Organisé par le Snuipp, en partenariat avec la BNF, le Café pédagogique, l’Ecole des loisirs, la Ligue de l’enseignement et les villes de Paris et Lyon, l’inscription au concours est ouverte jusqu’au 30 novembre.
Chacun connaît l’histoire de Shéhérazade, fille du grand vizir, qui raconte chaque nuit au sultan, son époux, une histoire dont la suite est toujours reportée au lendemain : c’est le moyen qu’elle a trouvé pour sauver sa vie. Au bout de mille et une nuits, le sultan finit par tomber amoureux… Pour quelle raison le héros que vous imaginerez, devra-t-il tenir en haleine son public pendant des nuits entières ? Comment tissera-t-il son récit, imbriquant plusieurs contes connus ou inventés ?
A vous d’imaginer ce héros, son histoire et d’écrire pour lui cette nouvelle légende. La nuit, l’univers oriental seront des points d’appui pour votre création . Livre objet, livre en accordéon, livre à pop-up, livre accompagné d’un CD-rom ou d’un site Web, livre jeu…la création finale sera envoyée au Snuipp pour le 19 mars.
Un séjour en classe découverte dans un centre de la Ligue de l’Enseignement, des caméras numériques, des appareils photo numériques, de nombreux lots de livres récompenseront les projets les plus réussis. Des ressources seront mises à disposition dans quelques semaines sur le site de la BnF et sur celui du SNUipp.
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
Cerveau : Les secrets de l’apprentissage
Comment font-ils pour apprendre ? se demande l’Inserm qui consacre un gros dossier téléchargeable aux découvertes des neurosciences. La revue s’intéresse à la mémorisation, un domaine où les neurosciences ont incontestablement fait avancer la connaissance et, dans une certaine mesure, les pratiques des enseignants. Le reste du dossier posera davantage de questions. Ainsi sur la focalisation sur les méthodes d’apprentissage de la lecture laissent dans l’ombre le principal critère de l’illettrisme qui est social. La revue est remarquablement bien mise en forme et vulgarise de façon efficace les travaux des chercheurs. On ne peut que la conseiller.
PISA : Ce que l’on en sait et ce que l’on en fait
Ce nouveau Dossier d’actualité de l’Ifé nous invite à faire le point sur les savoirs produits par PISA et sur les utilisations qui ont pu en être faites. Le dossier fait une mise au point peut-être un peu trop brève des apports de PISA mais pose de façon très intéressante la question de son impact.
Mort n’est pas justice
A l’occasion des 30 ans de l’interdiction de la peine de mort , 100 affiches réalisées par des graphiste sinternationaux sont exposées à Paris à la mairie du XIIIème. Vous pouvez aussi les retrouver sur le site de Poster for Tomorrow
STMG Français : Rectificatif officiel
Le Journal officiel rectifie le tableau des heures d’enseignement en première. Il y a bien 3h en français et non pas 2…
Quels enseignements tirer de la première mondialisation ?
Cette étude du Trésor compare la première mondialisation (1870 – 1914) à celle que l’on connaît actuellement. La démarche permet de travailler au plus près les aspects économiques d ela mondialisation. « La première mondialisation a ainsi été limitée par l’existence de contraintes informationnelles et technologiques, qui a restreint l’intégration financière aux secteurs sur lesquels l’asymétrie d’information pesait le moins et limité les possibilités d’investissements de court terme. »
Mediapart gratuit pour votre établissement
Mediapart est offert gracieusement jusqu’à fin juin aux CDI. Pour Mediapart c’est une façon d’impliquer les jeunes dans l’enjeu démocratique de l’élection présidentielle. Le quotidien propose deux modes d’accès dont un participatif.
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Les archives complètes de L’Expresso
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