L’association et la protection sociale
Pour vous aider dans la définition de votre projet, ce guide vous présente les principales étapes de la création d’une association : depuis la rédaction des statuts au fonctionnement, en passant par la répartition des tâches, des pouvoirs et des responsabilités entre les acteurs (dirigeants, administrateurs, salariés, bénévoles…).
Ce guide aborde également les obligations de l’association qui embauche des salariés permanents ou ponctuels. Droit du travail, convention collective, protection sociale…, l’association est un employeur comme un autre qui doit notamment respecter les règles en matière de droit de la Sécurité sociale.
Enfin, ce guide présente les démarches de l’employeur et les services, proposés par le réseau Urssaf, qui simplifient les formalités sociales liées à l’emploi de salariés. Fini le calcul des cotisations sociales, la rédaction du contrat de travail, l’édition du bulletin de salaire… désormais, les associations ont accès à deux dispositifs gratuits leur simplifiant la vie : le
chèque emploi associatif et le Guso.
Volontairement synthétique, ce guide doit vous accompagner dans les différentes étapes de la vie de votre association et vous apporter les éléments clés pour que votre projet se concrétise et connaisse son meilleur développement.
http://lautoentrepreneur.fr/images/ref_guide_Asso.pdf
Se mettre à compte : quelle structure choisir
Compléter ses revenus, être seul maître à bord, tester une idée ou changer le monde… Selon ses objectifs, la création d’entreprise va prendre des formes très différentes. Trouvez celle qui vous conviendra le mieux.
L’auto-entrepreneur
La loi de modernisation de l’économie n° 2008-776 en date du 4 août 2008 (la LME) a pour objectif essentiel de contribuer à la création de davantage d’entreprises en France en faisant souffler un vent de croissance et de liberté sur l’économie française.
Parmi les mesures les plus significatives adoptées afin d’encourager les entrepreneurs dans la création d’entreprises figure le nouveau régime de l’auto-entrepreneur destiné à offrir aux personnes qui souhaitent se mettre « à leur compte » divers avantages en termes de création, de gestion et de cessation d’une activité en nom propre, c’est-à-dire un statut simple pour tous ceux qui veulent entreprendre.
Le régime de l’auto-entrepreneur entre en vigueur à compter du 1er janvier 2009.
Pour devenir auto-entrepreneur, il faut être soumis au régime fiscal de la micro entreprise. Ce régime est de droit si les conditions suivantes sont réunies…
http://www.pme.gouv.fr/essentiel/loimodernisationeco/auto_entrepreneur_int2_bd.pdf
L’association sportive et la protection sociale
Pour vous aider dans la définition de votre projet, ce guide vous présente les principales étapes de la création d’une association : depuis la rédaction des statuts au fonctionnement, en passant par la répartition des tâches, des pouvoirs et des responsabilités entre les acteurs (dirigeants, administrateurs, bénévoles, salariés…).
Ce guide aborde également les obligations de l’association qui embauche des salariés permanents ou ponctuels. Droit du travail, convention collective, protection sociale…, l’association est un employeur comme un autre. Il doit respecter les règles en matière de droit de la Sécurité sociale et notamment celles spécifiques destinées aux intervenants du monde sportif.
Enfin, ce guide présente les démarches de l’employeur et les services, proposés par le réseau Urssaf, qui simplifient les formalités sociales liées à l’emploi de salariés. Fini le calcul des cotisations sociales, la rédaction du contrat de travail, l’édition du bulletin de salaire… désormais, les associations ont accès à deux dispositifs gratuits leur simplifiant la vie : le
chèque emploi associatif et le Guso.
Volontairement synthétique, ce guide doit vous accompagner dans les différentes étapes de la vie de votre association et vous apporter les éléments clés pour que votre projet se concrétise et connaisse son meilleur développement.
http://lautoentrepreneur.fr/images/ref_guide_Asso_sportive.pdf
L’essaimage
L’essaimage est un ensemble de mesures et de comportements qu’une entreprise (dite entreprise essaimante) apporte à l’un ou plusieurs de ses salariés, dans leur projet de créer ou reprendre une entreprise.
Ces mesures peuvent prendre diverses formes comme le parrainage, une aide financière, l’appui d’expertise, un accès à l’information, le transfert de brevet ou d’activités etc.
Instauré par la loi du 3 janvier 1984 et renforcé par la loi d’Initiative Economique du 1er août 2003, le congé création d’entreprise permet à des salariés de prendre un congé de 12 mois, renouvelable une fois (soit 2 ans en tout) pour créer ou reprendre une entreprise. Il est pris à temps plein ou a temps partiel. Dans de dernier cas, le salarié conserve un emploi à temps partiel dans l’entreprise essaimante.
Dispositif peu connu l’essaimage fait face à de nombreux freins et obstacles tant du côté des employeurs que des salariés : crainte de voir les meilleurs partir, perte de savoir-faire, méconnaissance juridique, incompréhension, absence de structure adaptée, difficulté d’assurer un droit à la réintégration pour les uns. Plan social déguisé, manque de confiance dans la hiérarchie, crainte d’être « catalogué », peur de l’échec pour les autres. Mais en y regardant de plus près, l’essaimage peut répondre à des intérêts réciproques.
http://www.essaime.org/index.php?option=com_content&task=view&id=5&Itemid=16
Economie d’énergie : les bons gestes écolos à adopter au bureau
En ces temps où l’économie d’énergie est de mise, une pléiade de petits gestes au quotidien, au bureau, permettront à votre entreprise de réaliser des économies non négligeables sur sa facture d’électricité. Et au passage, donneront aux salariés l’habitude de gestes écolos. Exemples.
– Eteignez vos appareils électriques (ordinateur, imprimante, fax…) plutôt que de les mettre en veille.
Et, mieux, éteignez-les, même lors d’une pause déjeuner ou d’une réunion. Si vous le pouvez, éteignez-les complètement : ces consommations apparemment minimes d’appareils en veille (5 à 15 watts par appareil) peuvent représenter jusqu’à 10% d’une facture d’électricité. D’ailleurs, en juillet dernier, les Etats membres de l’Union européenne ont adopté une proposition de règlement pour réduire graduellement la consommation en mode veille des appareils électriques, qui prendra effet dès 2010.
http://www.lentreprise.com/3/4/article/18932.html
Comment réduire les risques en phase d’incertitude économique ? L’approche par les marchés de niche.
Dans le contexte actuel, compte tenu du fort degré d’incertitude sur les marchés, les entreprises ont de plus en plus de difficultés à définir leur stratégie et donc à maîtriser les risques potentiels du marché.
En effet, les outils de suivi et de prévision classiques ne sont pas toujours adaptés à l’évolution de l’environnement. La plupart des marchés sont affectés principalement par quelques tendances lourdes pérennes comme, un prix moyen qui a tendance à baisser, une durée de vie des produits qui a tendance à se raccourcir et un élargissement du champ concurrentiel.
http://expert-mag.lentreprise.com/?Comment-reduire-les-risques-en
Justesse, Répétabilité, Reproductibilité : GRR pour les intimes…
Alors jusqu’ici j’ai fait en sorte de rendre accessible les concepts… Mais là nous commençons à rentrer dans des notions un peu plus obscures pour les managers assoiffés d’opérationnel que nous sommes… 😉
Si je vous dis ça : c’est parce que cette étape m’est apparue, au premier abord, relativement inutile. L’exemple des Smarties, en guise de formation, ne m’aidant pas particulièrement à apprécier l’opportunité de l’outil…
Je m’en vais de ce pas vous expliquer pourquoi dans un premier temps cet outil m’est apparu inutile, puis le cheminement qui m’a conduit à le juger indispensable dans l’étape Measure du DMAIC.
Le G (Gauge = justesse) R (repeatability) & R (Reproductibility) permet de mesurer la fiabilité du système de mesure du Y.
http://florentfouque.blogspot.com/2008/12/justesse-rptabilit-reproductibilit-grr.html
SAS à un euro : la société par actions simplifiée vraiment simplifiée !
Depuis le 1er janvier 2009, il est possible de créer une société par actions simplifiée (SAS) ou une société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU) avec seulement un euro de capital. Gageons que cette mesure aura autant de succès que la mesure similaire qui avait été prise pour la SARL en août 2003. Cette possibilité de créer une société avec un capital très faible ne doit toutefois pas faire oublier les risques qu’elle engendre.
Parce qu’Elle le vaut bien !
Innovation, honnêteté, proximité, esthétisme, fun (sic !), esprit d’équipe, excellence, créativité ?… Très tendances et même parfois survalorisées, les valeurs adoptées par les entreprises ne seraient-elles pas à la communication d’entreprise ce que les tonneaux sont aux Danaïdes ?
Et en sont-elles d’ailleurs vraiment, des valeurs, au sens où la morale l’entend ? A moins que l’on évalue, en fait, tout autre chose ? Que recouvre donc ce mot à la sémantique instable oscillant entre Bourse au CAC et course aux cracks !
Pour le savoir, Thierry Wellhoff, directeur de l’agence de communication Wellcom, a mis en place le 1er «indicateur des valeurs d’entreprise» en partenariat avec Catherine Maurey, docteur en philosophie et Jean-François Claude, Directeur de la démarche «valeur» à l’AFPA.
http://www.ujjef.com/index.php?idRubrique=9&Action=LireArticle&idArticle=1048