LE FAIT DU JOUR
Quand la grippe fait une nouvelle victime : la gestion de l’Education nationale
ÉDITORIAL
J’ai passé le week-end au lycée
LE SYSTEME
Professionnel : Le ministre s’engage sur la revalorisation l Agricole : Le Sgen dénonce les insuffisances budgétaires l Lycée : Montée des pressions disciplinaires l Naissance d’un « Front de Lutte pour l’Education » l Progression de la fréquentation d’Educatec Educatice l Le Collectif contre Base élèves annonce des plaintes dans 20 départements l Le Café mensuel n°107 en pdf.
L’ÉLÈVE
Les métiers de l’environnement au CIDJ.
LA CLASSE
A Copenhague on éduque au changement climatique l Osez Statistix.
ETABLISSEMENT PARTENAIRE
Journée Portes ouvertes à Saint Ambroise Chambéry
LA RECHERCHE
Inclusion et éducation en France
CITOYENNETE
« Nous exigeons la suppression du ministère de l’identité nationale »
LES DISCIPLINES
Le Sommet de Copenhague l L’Apses s’obstine l Une nouvelle version d’OOo.HG.
Le fait du jour
Quand la grippe fait une nouvelle victime : la gestion de l’Education nationale
La réunion entre syndicats et ministère vendredi 4 décembre met en évidence les faiblesses de gestion du ministère.
« Décevante ». C’est ainsi que Dominique Thoby (Se Unsa) nous décrit la réunion qui s’est tenue le 4 décembre entre ministère et syndicats sur la grippe et ses retombées dans l’Education nationale. Elle faisait suite à une enquête de ce syndicat sur les carences de la médecine du travail dans ce ministère et à la question posée par les personnels à risque face à la pandémie grippale. Le Se-Unsa estime « n’avoir pas reçu de réponses concrètes à ses demandes ».
Interrogé également par le Café, Gérard Aschieri (FSU) juge également la réunion « décevante ». Aux questions soulevées, le ministère ne répond pas vraiment. La FSU a notamment exprimé le mécontentement des personnels de santé, réquisitionnés pour la vaccination dans des conditions « d’autoritarisme et d’irrespect de la déontologie ». Le ministère semble incapable d’apporter une réponse simple à la question de la vaccination des enseignants en même temps que les élèves : le ministère de la santé a distingué des priorités différentes pour les jeunes et les enseignants et il n’est pas possible de revenir dessus. Quant aux personnels à risque, faute de médecine de prévention, le ministère s’avoue incapable de les identifier et donc de les informer… La FSU se demande s’il y a « une volonté assez forte de l’éducation nationale face à la Santé et à l’Intérieur ».
La seule conséquence matérielle de cette réunion c’est la promesse de mettre des informations en ligne à destination des personnels. En effet, vendredi 4 décembre, le site du ministère affichait une page spéciale sur la pandémie. Les personnels à risque n’y trouveront aucun conseil pour affronter la pandémie. Une seule information les concerne : pour le ministère le droit de retrait ne s’applique pas…
Le ministère accorde « l’absence rémunérée » à l’enseignante qui s’était retirée
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J’ai passé le week-end au lycée
Le lycée peut-il m’ignorer un week end ? Pas sûr ! Vous avez été nombreux à écrire au Café pour manifester vos inquiétudes ou votre révolte devant la réforme du lycée. Et la discussion a aussi eu lieu en interne, à l’intérieur de la petite équipe du Café particulièrement sur la question de l’autonomie.
« Que vont devenir les sciences expérimentales ? » demande un collègue de Bordeaux qui constate que la réforme « ne fait plus aucune référence au travail expérimental de TP ». Les craintes portent généralement sur les horaires. Il faut dire que les « heures globalisées », qui effectivement ne sont pas fléchées sur une discipline, sont souvent omises dans les tracts qui circulent. Le volume total horaire est à peu près équivalent à l’ancien volume mais avec un flou qui restera forcément puisque environ un tiers de l’horaire hebdomadaire sera attribué par l’établissement. « On va se battre entre disciplines » craignent des collègues qui observent la montée des lobbys disciplinaires.
C’est cette question de l’autonomie élargie des lycées qui a occupé l’équipe du Café. L’autonomie des établissements ets déjà une vieille histoire avec la création des EPLE. La réforme lui donne plus d’importance puisque chaque établissement disposera à sa guise de 7 à 10 heures hebdomadaires à redistribuer aux disciplines. D’un coté les sceptiques. Que s epasse-t-il quand on donne plus d’autonomie à des établissements qui n’en veulent pas ? On risque fort d’avoir un nouveau lycée qui développe tous les défauts de l’ancien. D’autant que la réforme reconnaît un rôle au conseil pédagogique, aux profs principaux et à la direction d’établissement dans la distribution des moyens mais ne donne aucune facilité matérielle aux deux premiers pour exister. Les profs principaux, dont on attend pourtant de plus en plus pour l’orientation comme pour la répartition des moyens, n’ont aucun moyen d’exercer ces taches.
Inversement les optimistes regardent autour d’eux et observent des forces vives. « Pour ce qui est des jeunes collègues, je suis optimiste. Ils sont meilleurs sur le plan éthique, connaissances, perspectives ». Un autre témoigne des expérimentations en cours autour de lui : il y a déjà des établissements qui exploitent l’autonomie offerte par l’article 34. ‘Les marges d’autonomie de la réforme vont dans le bon sens. Il est temps de les assumer. Il y a des perspectives intéressantes dans les textes si l’on pense vraiment aux élèves ». A quelques jours du CSE du 10 décembre qui votera sur la réforme, cette réforme ressemble finalement aux précédentes : un art d’application.
Professionnel : Le ministre s’engage sur la revalorisation
En réponse à une lettre du Snetaa qui annonçait, le 2 décembre, son départ des groupes ministériels sur la réforme de la voie professionnelle, Luc CHatel s’est engagé le 3 décembre à faire avancer la revalorisation de ces enseignants su plusieurs points.
Il promet la création d’une indemnité versée par division et par épreuve évaluée en CCF à partir de l’année scolaire 2010-2011 à hauteur de 83 euros, portés à 111 euros à la rentrée 2011. Il promet la revalorisation de la rémunération de correction du bac professionnel à hauteur de 5 euros la copie dès le bac 2010. Enfin, à la rentrée 2011, il s’engage sur la création d’une indemnité d’accompagnement des élèves de terminale dans leur orientation.
Agricole : Le Sgen dénonce les insuffisances budgétaires
Dans un communiqué du 4 décembre, le Sgen salue l’attribution de 50 postes d’enseignants à l’enseignement agricole, suite au vote du Sénat du 1er décembre. Mais il estime cette solution « inacceptable » car le transfert se fait aux dépens de l’éducation nationale et reste insuffisant par rapport aux besoins.
Agricole : le Sénat rétablit 150 postes
Lycée : Montée des pressions disciplinaires
Après l’UdPPC, l’APBG, l’Apses, voilà les historiens géographes au premier rang de la contestation anti-réforme. C’est d’abord un appel lancé par des historiens (Azéma, Kaspi, Rioux, Tulard, Stora, Winock etc.) avec A. Finkielkraut contre la suppression de l’histoire-géographie en terminale de la série S. « Au moment où le président de la République et son gouvernement jugent urgent de lancer un grand débat sur l’identité nationale qui doit mobiliser le pays, cette mesure va priver une partie de la jeunesse française des moyens de se faire de la question une opinion raisonnée grâce à une approche scientifique et critique, ouvrant ainsi la voie aux réactions épidermiques et aux jugements sommaires » écrivent-ils.
Cette action reçoit l’appui, curieux, du CVUH ( une association qui combat les pressions politiques sur l’histoire) qui s’inquiète du contenu des futurs programmes. « Cette réforme, mal ficelée et vendue par une opération de marketing politique », écrit le CVUH, « ne tient pas compte du réel… En imposant à toutes les Terminales un programme allant de 1989 à nos jours (propositions ministérielles), on prononcerait tout simplement l’arrêt de mort de l’histoire-géographie, ainsi ravalée au mieux à l’étude du temps présent, au pire à un simple commentaire d’actualité. Ce projet masque à peine la volonté du gouvernement de transformer l’enseignement de l’histoire en didactique d’un passé le plus récent possible, afin d’ôter la distance nécessaire à toute réflexion sur l’organisation du savoir historique où temps et espace sont étroitement mêlés. D’où une hémorragie à craindre dans le supérieur en termes d’effectifs et de vocations ! »
Luc Chatel se défend en rappelant que la suppression horaire en terminale est compensée par l’augmentation des horaires en première S et l’ouverture de deux options en L et… en terminale S. L’Histoire-géo reste au bac S mais l’épreuve est avancée en première. « L’histoire-géo va garder la place éminente qui a toujours été la sienne » affirme-t-il. L’histoire-géographie était absente des programmes de terminale scientifique (série C) avant 1976. Elle est aujourd’hui absente dans plusieurs séries technologiques.
Naissance d’un « Front de Lutte pour l’Education »
Les trois lettres FLE prennent une nouvelle signification avec l’apparition d’un « Front » sensé libérer l’Ecole. » Le but premier de ce Front de Lutte pour l’Education est de stopper le démentellement (sic) de l’éducation orchestré par le gouvernement Sarkozy. C’est au moyen d’une Union des forces contestataires que nous y parviendrons et c’est pourquoi ce Front de Lutte pour l’Education doit pouvoir unir les organisations jeunes et les non encartés » annoncent les promoteurs du FLE. Le Front réunit autour de la FIDL quelques fédérations de l’UNL (Nord, sud-ouest, banlieue 91 et 95) et quelques sections locales de partis d’extrême gauche (MJCF, NPA Jeunes) ainsi qu’une nouvelle « Union nationale collégienne ». Le FLE se veut « plate forme de débat pour défendre l’école républicaine ».
Progression de la fréquentation d’Educatec Educatice
La crise a épargné le salon Educatec – Educatice, annonce ses organisateurs. Selon le groupe Tarsus, le salon aurait reçu plus de 10 000 visiteurs en hausse de 7% par rapport à 2008. 38% d’entre eux seraient de l’éducation nationale, 19% des entreprises et 12% des collectivités, le solde relevant principalement des associations (26%). Points forts de ce salon : les conférences (90 participants en moyenne) et les ateliers Tice (une cinquantaine de participants). Le Salon de l’éducation annonce de son coté « une fréquentation maintenue » sans avancer de chiffres.
Le Collectif contre Base élèves annonce des plaintes dans 20 départements
« Malgré l’opposition et la mobilisation de nombreux directeurs, parents et citoyens contre Base élèves, malgré les observations et recommandations du Comité International des Droits de l’Enfant des Nations Unies et les nombreuses prises de position des élus , l’administration continue à imposer Base élèves, sans la moindre consultation, ni avec les parents, ni avec les enseignants » écrit le Collectif national de résistance à Base élèves. Ce mouvement s’oppose depuis des années au déploiement du fichier national des écoliers, Base élèves. Il annonce le 9 décembre le dépôt de plaintes dans 20 départements. Déjà plus d’un millier d eplaintes ont été déposées.
Le Café mensuel n°107 en pdf
Le Café mensuel de novembre est (enfin !) disponible au format imprimable pdf. C’est plus de 350 pages qui sont éditées couvrant es actualités de l’Ecole mais aussi toutes les disciplines du primaire et secondaire. L’édition pdf est réservée aux adhérents de l’association.
Pour adhérer à l’association du Café
Les métiers de l’environnement au CIDJ
L’emploi dans le secteur de l’environnement est en plein essor, annonce le CIDJ. Il organise le 9 décembre, à Paris, un forum des métiers de l’environnement . De 10 à 17h, les jeunes trouveront au Forum des formations de tous niveaux grâce à la présence de lycées agricoles, de l’Université de Versailles – Saint-Quentin en Y., de CFA, de Campus Veolia etc. Des employeurs seront aussi présents, par exemple la Mairie de Paris, ainsi que des informations pour l’orientation, comme par exemple des vidéos.
La classe
A Copenhague on éduque au changement climatique
Pendant le Sommet les cours continuent ! « Le Ministère danois de l’Education déploie des efforts particuliers pour encourager les élèves et étudiants, les enseignants et établissements éducatifs à mettre le changement climatique au programme » annonce le suite du Sommet mondial sur le changement climatique qui s’ouvre ce 7 décembre à Copenhague.
Cela passe par la mise en route de plusieurs projets. Le projet Klimaundervisning met en réseaux profs, élèves et « facilitateurs » et offre conférences et réunions. Le portail éducatif EMU offre des ressources pédagogiques pour le primaire et le secondaire.
Osez Statistix
Organisé par Statistix et la Société française de statistiques, le concours Statistix vise à donner aux élèves des savoirs propres à produire et analyser des statistiques. Une activité qui n’est pas inutile vu la façon dont les statistiques sont utilisées. Le concours est doté de lots. Il avait récompensé l’an dernier une classe de seconde pour un travail sur le taux de mortalité.
Etablissements partenaires
Journée Portes ouvertes à Saint Ambroise Chambéry
L’établissement qui prépare au bacs S, L, ES, ST2s et Stg, à la préparation des concours d’infirmiers, aux BTS AM, MUC et CGO ainsi qu’à plusieurs bacs + 3 (DCG en alternance et Développement à l’international) organise une Journée portes ouvertes le Mardi 26 janvier 2010 de 9h-18h pour l’enseignement supérieur et vendredi 19 mars 2010, de 17h à 20h et Samedi 20 mars 2010, de 9h à12h pour le lycée général et technologique et l’enseignement supérieur.
Devenir établissement partenaire
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Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
La recherche
Inclusion et éducation en France
Quel rôle joue l’éducation dans les processus d’inclusion et d’éducation sociale ? Dans le cadre d’une enquête couvrant l’Union européenne, Danielle Zay a travaillé, avec l’association Prisme, à une analyse du cas français. Elle montre d’abord les limite sde la réussite scolaire en France : 80% de diplômés dans les jeunes français, ce qui est moins que la moyenne européenne (90%). 26% de titulaires d’un diplômes d’enseignement supérieur (si l’on ne tient pas compte des BTS) contre 35%. Et en plus un taux de chômage chez les non-diplomés plus élevé que la moyenne qui lie exclusion sociale et scolaire.
Mais le pire est peut-être devant. Le discours « d’égalité des chances » a remplacé le modèle traditionnel de la solidarité nationale. Alors que de smodèles montrent que l’Ecole peut inclure (elle fait allusion par exemple aux travaux de Reuter sur les écoles du Nord), le nouveau mode de formation des enseignants les éloigne davantage d’une éducation des enfants à l’altérité qui est indispensable à l’inclusion.
Citoyenneté
« Nous exigeons la suppression du ministère de l’identité nationale »
« Promesse électorale de Nicolas Sarkozy, la création d’un ministère chargé de l’Immigration et de « l’Identité nationale » a introduit dans notre pays un risque d’enfermement identitaire et d’exclusion dont on mesure, chaque jour depuis deux ans et demi, la profonde gravité ». Historiens, sociologues, ethnologues, philosophes, juristes, urbanistes, ils publient dans Libération un appel qui attaque de front le sarkozysme.
« Très officiellement, des mots ont été introduits sur la scène publique, qui désignent et stigmatisent l’étranger – et par ricochet, quiconque a l’air étranger… Dans cette fissure de la République se sont engouffrés nos dirigeants. Par des propos inadmissibles dans une démocratie, banalisés et désormais quotidiens, ils légitiment tous les comportements et les paroles de rejet, de violence, et de repli sur soi. Nous ne sommes pas ici face à des « dérapages » individuels. En réalité, ces propos sont la conséquence logique d’une politique que le gouvernement souhaite encore amplifier sous le couvert d’un « débat » sur l’identité nationale. Nous sommes ainsi appelés à devenir coauteurs et coresponsables du contrôle identitaire sur la France ». C’est ce qu’ils refusent. « Nous appelons donc les habitants, les associations, les partis et les candidats aux futures élections à exiger avec nous la suppression de ce « ministère de l’Identité nationale et de l’Immigration », car il met en danger la démocratie. »
Les disciplines
Le Sommet de Copenhague
« Le pillage des aquifères, la pollution des eaux continentales et marines, la prédation sur les hydrocarbures par quelques cartels, la faim qui tue plusieurs dizaines de milliers de personnes chaque jour, la fonte des glaces, l’extinction de la biodiversité, tout cela est angoissant. Faut-il pourtant mélanger l’iniquité de nos systèmes économiques, la folie de ceux qui exploitent, salissent et profitent aux capacités qu’a l’humanité de faire face aux défis qui l’attendent ? Faut-il penser que l’homme ne peut que détruire et le capitalisme qu’asservir ? Et faudrait-il se résigner à ne voir la science qu’incestueuse dans ses relations avec le politique, incapable de se mobiliser au service de nobles causes ? Pas sûr » conclue Gilles Fumey dans un éditorial des Cafés de géographie.
« Ce qui est nouveau, c’est que le climat fasse système à l’échelle du Monde. Sa perception locale par les types de temps est reliée par tous à des mécanismes globaux. La banalisation des cartes météo sur les écrans de télévision n’y est pas pour rien. Progressivement, le climat reste un de nos rapports les plus essentiels au Monde et, en même temps, l’un des plus difficiles à comprendre. C’est pourquoi il réclame de la pédagogie et de la modestie face à l’incertitude qui est une des variables les plus fondamentales de notre condition humaine ».
Pour suivre le Sommet de Copenhague
L’Apses s’obstine
« En dépit des appréciations élogieuses du rapport de Richard Descoings sur la série ES qui « semble avoir trouvé un point d’équilibre entre les différentes disciplines », l’enseignement de SES qui caractérise cette série voit son horaire ramené à 5 heures en première comme en terminale, alors qu’il y a 8h de philosophie en Terminale L et 8h30 de Physique-Chimie et Sciences et Vie de la Terre en Terminale S. Il en est de même des enseignements de spécialité, purement et simplement supprimés en première ES et, en terminale ES, ramenés à 1h30 avec un découplage entre économie approfondie et sciences sociales, alors qu’ils sont de 3 heures en L et de 2 heures en S ». Après la manifestation du 2 décembre, qui a vu un prof de SES sur quatre dans la rue, l’Apses maintient la pression contre la réforme du lycée, qu’elle accuse de réduire les horaires . « Des élèves continueront de quitter le lycée sans jamais avoir reçu de formation aux sciences économiques et sociales ».
Une nouvelle version d’OOo.HG
Gilles Badufle propose une nouvelle version enrichie de l’outil cartographique lié à la suite Open Offfice. Il propose maintenant plus de 1 600 cartes, fonds de cartes et graphiques à insérer dans les documents Open Office.
le Cafe
Les anciens Expresso ?
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