LE FAIT DU JOUR
Succès des Etats-généraux de la formation
ÉDITORIAL
Des états-généraux fondateurs
LE SYSTEME
Les évaluations de CE1 et CM2 et la concurrence entre établissements l RASED : Une disparition qui ne passe pas l Le Snes appelle à la grève le 7 octobre l 10 000 apprentis à Bercy l Alain Miossec recteur de Rennes l L’enseignement français à l’étranger en débat l Belgique : Grève aujourd’hui.
L’ÉLÈVE
S.M.A. : L’inconnue du 7 octobre l Cantine gratuite en Ecosse l Les « dys » à Rennes et Montpellier l Création du baccalauréat franco-américain
LA CLASSE
Segpa à risque
CITOYENNETE
Les élections américaines dans la classe l Ratonnade à Ajaccio
LES DISCIPLINES
Du Festival de géographie de Saint-Dié aux R.V. de Blois l Sciences et Maths dans le futur lycée l La CFEM critique la réforme de la formation l Le colloque de l’Assetec l La philosophie et la crise l ST2S : Des documents pour l’histoire-géographie
Le fait du jour
Succès des Etats-généraux de la formation
La « mastérisation » annoncée de la formation des enseignants, l’évolution des concours de recrutement vont-elles bouleverser le métier d’enseignant, ou sont-elles les prémisses d’une réorganisation inéluctable du système d’éducation ? Qui doit former les enseignants, et à quoi ? Convoqués le 4 octobre à Créteil par un large collectif d’organisations syndicales et de mouvements pédagogiques, les Etats généraux de la formation des enseignants ont rencontré un large succès en rassemblant plus de 400 personnes.
Si l’appel unitaire lancé à l’issue des travaux a été unanime, les échanges et discussions au cours de la journée ont montré les choix complexes devant lesquels sont placés les formateurs et les IUFM. Faut-il s’investir sans arrière-pensée dans les maquettes de formation à construire avec les universités ? Ne risque-t-on pas des retours en arrière ? Faut-il profiter de l’occasion pour gommer les imperfections dont l’IUFM n’avait pu se défaire ? Faut-il dénoncer l’abandon par l’Etat de l’ambition d’une formation professionnalisante qui serait en mesure de gagner une nouvelle étape dans la démocratisation ? Passionnés et passionnants, des débats édifiants sur un chantier en perspective, pour lequel une fois de plus l’opinion publique va être prise à témoin…
Le reportage de Patrick Picard
L’appel lancé à la fin des Etats-Généraux
N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite). Pour pouvoir réagir, il faut préalablement s’être inscrit sur le site et être identifié. À très vite ! |
Éditorial
Des états-généraux fondateurs
Le succès d’un colloque tient souvent plus des questions qui y apparaissent que des réponses apportées. Si « l’appel » lancé à la fin des Etats généraux de la formation des enseignants ne laissera peut-être pas un souvenir inoubliable, les interrogations portées par les formateurs font de cette journée un succès. Deux éléments justifient à nos yeux cette appellation.
Le premier consiste en la capacité d’autocritique des participants. Loin de considérer que les IUFM étaient parfaits, l’assemblée a su faire un important travail d’autocritique. Ainsi Philippe Meirieu a évoqué « un travail insuffisant des mouvements, syndicats, organisations, universitaires… sur ce que peut être une formation professionnelle d’adultes en alternance. Nous manquons de travaux de recherche, de clarté et de force sur cette ambition ». Philippe Perrenoud a rappelé que « que n’est pas parce que nous sommes en danger qu’il faut cesser de penser, restés campés sur le statu-quo ». Ces exigences pour redessiner la formation des enseignants devraient permettre des contre propositions intéressantes dans les universités.
L’autre élément important de ces états généraux, c’est d’avoir su dégager l’enjeu de la formation des enseignants. « La formation des enseignants n’est pas une mécanique savante à régler, c’est un choix de société qui doit mobiliser ceux pour qui nous travaillons. Le métier d’enseignant a besoin de la reconnaissance de la nation, cela passe par un projet politique républicain ambitieux » a déclaré Philippe Meirieu. C’est la question de la démocratisation qui est posée à travers la réforme de la formation. Pousser la formation jusqu’au master c’est déjà élever le niveau social des futurs professeurs, creuser l’écart entre eux et les élèves des milieux populaires. Réduire la formation professionnelle à la portion congrue amplifie encore le phénomène. On voit mal comment des enseignants , bons élèves, issus de bonnes familles,mal formés, pourraient répondre aux besoins des élèves de milieu populaire.
« Nous ne pouvons pas accepter qu’une frange d’élèves reste au bord du chemin et il nous faut prendre la mesure de ce que cela compromettrait pour notre avenir collectif » écrit Patrick Picard. Il s’est bien passé quelque chose ce 4 octobre.
Le reportage de Patrick PIcard
Les évaluations de CE1 et CM2 et la concurrence entre établissements
Xavier Darcos va–t-il convaincre les syndicats ? Après avoir annoncé que les résultats des évaluations nationales de Ce1 et Cm2 seraient communiquées publiquement, il déclarait le 2 octobre dans la presse qu’il n’y aurait pas de publication. Du coup, le Snuipp, « se félicite d’avoir été entendu sur ce point » tout en soulignant « de nombreuses inquiétudes » sur ce nouveau système d’évaluation : « la difficulté supérieure aux évaluations précédentes a-t-elle pour but de placer artificiellement des élèves en difficulté ? Le dispositif a-t-il été testé ? Est-il nécessaire pour connaître l’efficacité du système éducatif de faire passer ces tests à tous les élèves plutôt qu’à un échantillon représentatif ? » Le Sbuipp rappelle son opposition à la publication des résultats et annonce qu’il « examinera avec attention le protocole d’évaluation et la nature des épreuves dès qu’ils seront rendus publics ».
Le Se-Unsa estime que le danger de publication subsiste. « La publication des résultats de chaque école sera possible dans la mesure où ceux-ci seront communiqués aux parents. Les classements et, dans un contexte de désectorisation progressive, la mise en concurrence des établissements sont des risques qui ne sont pas écartés » écrit le syndicat. Pour lui, « nous sommes donc devant un système qui pourrait étendre à l’école primaire les palmarès des lycées et des collèges. Ces indicateurs deviennent des outils indispensables pour éclairer les stratégies individuelles de réussite scolaire des familles. Stratégies individuelles qui dynamitent la notion même d’institution scolaire et le projet collectif dont l’école devrait être porteuse ».
Le syndicat souhaite que l’éducation nationale renonce « aux grandes évaluations nationales bases de classement et de palmarès. Procéder à des évaluations bilan sur échantillon ».
RASED : Une disparition qui ne passe pas
La suppression de 3 000 postes d’enseignants spécialisés des Rased (réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté) continue à susciter des réactions. Pour le Se-Unsa, la mesure ignore les besoins scolaires. » Comment répondre à toutes les demandes d’aides spécialisées pour tous les élèves en grande difficulté en sédentarisant les enseignants spécialisés dans les classes? Quelle équité pour les enfants dans les secteurs les plus démunis comme le milieu rural ? Va-t-on balayer la spécificité rééducative à l’école ? » Le syndicat demande la suspension de la mesure. Rappelons que le Snuipp a demandé le maintien de tous les postes en Rased.
Pascal Ourghanlian, enseignant spécialisé, nous écrit : « Ne les oublions pas : ces petits, ce sont nos petits, nous les avons mis au monde, ils sont pour partie ce que nous en avons fait, ils sont leur propre avenir. Et le nôtre aussi, si on veut rester dans une perspective comptable : lorsqu’à notre tour, âgés, usés, lassés, nous serons devenus les petits du monde, alors nous n’aurons qu’eux sur lesquels compter. Nous ne pourrons pas leur en vouloir d’avoir la mémoire trop longue. Et nous ne pourrons qu’espérer que, malgré tout, ils ne nous en voudront pas trop… »
Sur le Café, L’Expresso du 29 septembre
Sur le Café déclaration Snuipp
Le Snes appelle à la grève le 7 octobre
« La CFDT, la CGT, la FSU, Solidaires, l’UNSA et la CFE-CGC appellent l’ensemble des salariés à une journée d’action interprofessionnelle le 7 octobre ». Mais pour le Snes et la CGT cela passe par un mot d’ordre de grève. L’objectif de la journée est « d’affirmer l’exigence d’emplois de qualité pour toutes et tous, de salaires revalorisés, d’amélioration des conditions et de la durée du travail respectant la santé et la dignité des personnes, d’une protection sociale et de retraite garantie ».
10 000 apprentis à Bercy
C’est à une grande fête, avec débauche d’effets lumineux et sonores, qu’étaient conviés le 3 octobre plus de 10 000 apprentis venus de 27 pays européens, au Palais des sports de Bercy. Cette manifestation voulait à la fois marquer l’importance qu’accorde le gouvernement au développement et à la reconnaissance de l’apprentissage en France, et encourager les formations d’apprentis à davantage intégrer les possibilités de mobilité européenne. Dommage que le côté « grand show » du rassemblement en ait quelque peu éclipsé l’objectif.
Lire le reportage de Françoise Solliec
Alain Miossec recteur de Rennes
C’est un Breton et un géographe qui est nommé à la tête de l’académie de Rennes. Ancien professeur de géographie à l’université de Nantes, spécialiste des littoraux, Alain Miossec était recteur en Guadeloupe.
Un premier dossier l’attend : celui de l’école de La Trinité Langonnet (56) où les parents exigent un second poste d’enseignant. La situation s’est tendue, l’école envahie. Des plaintes ont été déposées contre des parents. Au milieu du bras de fer entre académie et parents, les instits ne sont plus épargnés.
L’enseignement français à l’étranger en débat
Le 2 octobre s’est tenue la première réunion des « Etats généraux de l’enseignement français à l’étranger ». Elle intervient alors que les établissements français à l’étranger connaissent des difficultés de financement. Selon les Affaires étrangères, « l‘implication du ministère de l’Education nationale, et de ses moyens budgétaires, dans le développement du réseau a fait l’objet de nombreuses interventions. Les représentants du ministère mettant pour leur part en avant le développement des formules de partenariat avec des pays étrangers, comme le projet de baccalauréat franco-américain que vient de signer M. Xavier Darcos avec les autorités américaines. Les représentants des enseignants ont, en particulier, fait valoir l’importance de garder un minimum de 50 % de titulaires dans nos établissements. Ils ont insisté sur leur volonté de voir notre réseau conserver un caractère de service public et mis en garde contre une évolution commerciale ».
Dans un communiqué, le Sgen Cfdt demande « une engagement financier à la hauteur des déclarations d’intention sur le développement de ce réseau ».
Belgique : Grève aujourd’hui
Le syndicat CGSP appelle les enseignants à une journée de grève en faveur du pouvoir d’achat. La CSC invite elle à un arrêt de travail. Mais le mot d’ordre va bien au-delà des enseignants et touche les transports, les administrations locales, la poste, les banques, certaines entreprises privées.
S.M.A. : L’inconnue du 7 octobre
Alors que la première journée de grève depuis la vote de la loi sur le service minimum d’accueil (SMA) dans les écoles primaires se profile le 7 octobre, nul ne sait si le SMA sera réellement fonctionnel. On ignore si les académies seront capables de recueillir le nombre de grévistes par école. Plusieurs communes ont déjà annoncé qu’elles n’appliqueraient pas la loi. C’est le cas, par exemple dimanche de Toulouse. Mais un nombre bien plus important de communes ne pourront pas s’organiser soit par manque de temps, soit parce que le personnel communal chargé des enfants sera lui aussi en grève lors de cette journée interprofessionnelle.
Cantine gratuite en Ecosse
« Ce gouvernement donne la priorité à l’aide aux enfants dans leurs premières années et cette initiative y contribue ». Le gouvernement écossais a décidé d’offre des repas à tous les enfants de 5, 6 et 7 ans, durant les 3 premières années de l’école obligatoire. La cantine sera également gratuite pour les enfants des familles défavorisées tout au long de leur scolarité primaire et secondaire. L’Ecosse applique une idée que l’Unicef France avait suggéré au gouvernement français. Une idée trop simple pour être mise en pratique ici ?
Les « dys » à Rennes et Montpellier
Avec la soutien de la Fédération Apajh, deux journées sont organisées à Rennes, le 11 octobre et Montpellier, le 10 octobre, sur le stroubles d’apprentissage : dyslexie, dyscalculie, dysgraphie etc. et leur remédiation.
Création du baccalauréat franco-américain
Suite aux accords signés par Xavier Darcos fin septembre, le Journal Officiel du 3 octobre 2008 publie un décret et un arrêté relatif au baccalauréat franco-américain. « Le baccalauréat franco-américain (BFA) est un baccalauréat binational, donnant lieu à la délivrance simultanée du baccalauréat général et d’une attestation de résultats à des épreuves spécifiques, prise en compte pour la poursuite d’études dans les universités américaines et délivrée par l’association College Board National Office. Le baccalauréat franco-américain est accessible aux candidats des établissements scolaires français implantés aux Etats-Unis et ayant suivi, en classes de première et terminale, les enseignements y conduisant ».
La classe
Segpa à risque
« On met en Segpa les élèves dont on ne sait pas quoi faire… On ne peut pas faire grand-chose pour ces élèves. Ils relèvent d’autres structures, mais elles n’ont pas de place ». Libération interroge les responsables d’une Segpa parisienne où une élève d e13 ans a frappé la directrice.
Citoyenneté
Les élections américaines dans la classe
Les élèves de terminale L de Jean-françois Jaffrénou travaillent sur les élections américaines; C’est prétexte à des recherches sur la constitution américaine, les candidats,les partis, la question noire, etc. Les recherches des élèves aboutissent à des publications en ligne. Des documents, une webographie et une démarche adaptables…
Dans le Café mensuel 95, des liens sur les élections
Ratonnade à Ajaccio
Trois jeunes maghrébins, âgés de 16 à 19 ans, ont été victimes de tirs à Ajaccio le 3 octobre. La moitié des actes racistes commis en France le sont sur l’île.
Les disciplines
Du Festival de géographie de Saint-Dié aux R.V. de Blois
Pour les lecteurs du Café, Cyril Froidure a participé au Festival international de géographie de Saint-Dié.Il partage avec nous ses premières impressions avant des comptes-rendus plus copieux dans le Café mensuel d’octobre (le 15 octobre).
Le Café sera également présent aux Rendez-vous de l’Histoire de Blois du 9 au 12 octobre.
Sciences et Maths dans le futur lycée
L’APMEP publie le compte-rendu de son entretien avec JP de Gaudemar sur la réforme du lycée. Il confirme la mise en place de modules différenciés en fonction du niveau des élèves, c’est à dire en fait la reconstitution d’une filière maths dans ce futur lycée « sans filière ». « Mettre les mathématiques dans les enseignements généraux, c’est simplement affirmer que tous les élèves suivront un enseignement de mathématiques en première et en terminale : des mathématiques pour tous ne signifient pas nécessairement les mêmes mathématiques. Les modules seront différenciés en contenu comme en niveau de difficulté. Les parcours seront organisés, et bien au contraire, lorsque vous enseignerez tel module, vous saurez que tous vos élèves auront déjà réussi tel et tel autre module, et vous connaîtrez donc les prérequis sur lesquels vous appuyer » aurait déclaré JP de Gaudemar. « Les modules seront adaptés à leur public : ainsi, nous réfléchissons à la façon d’organiser les enseignements généraux pour les sections technologiques. Nous voulons qu’ils soient de bon niveau, tout en restant bien appropriés à des esprits plus concrets, et en lien avec les besoins des enseignements technologiques ».
L’APMEP exprime deux inquiétudes. La première concerne le réforme en elle-même : « nous restons très inquiets sur les restrictions budgétaires qui donnent à penser que l’objectif premier de cette réforme sera de faire des économies » nous écrit Pascale Pombourcq.
L’autre concerne l’enseignement des sciences et l’avenir des SVT et physique-chimie. JP de Gaudemar aurait déclaré : « la question que nous n’avons pas encore tranchée est celle de la seconde : il y aura de toute façon des sciences dans les enseignements d’exploration et d’approfondissement, mais nous nous demandons si nous intégrons les sciences dans les enseignements généraux ou si nous obligeons simplement tous les élèves à choisir au moins un enseignement scientifique parmi les 4 modules optionnels. Nous n’avons pas encore tranché ce point, mais tous les lycéens étudieront des sciences… Un élève scientifique pourra suivre un module d’économie, un élève littéraire pourra suivre un module de sciences. Les parcours seront moins étanches que dans les filières actuelles. Mais la dominante scientifique d’un parcours scientifique sera clairement affirmée par l’organisation des choix des élèves. Ces choix seront encadrés et nous ne permettront pas des parcours incohérents ».
L’Académie des sciences a elle aussi protesté contre l’inscription des SVT et de la physique-chimie dans les matières optionnelles.
Dans le Café, l’Apmep rassurée
La CFEM critique la réforme de la formation
La Commission française pour l’enseignement des mathématiques se montre critique sur la réforme de la formation des enseignants. Elle craint à la fois pour le recrutement social des futurs enseignants et pour leur formation professionnelle. « La CFEM demande que les masters d’enseignement préparent réellement les étudiants à leur futur métier en combinant des enseignements disciplinaires et une formation didactique et professionnelle soigneusement articulée avec une pratique sur le terrain sous la forme de stages encadrés permettant une réelle réflexion sur la pratique… Il n’est pas envisageable que la formation professionnelle des futurs enseignants ne commence qu’en deuxième année de master (et a fortiori à la sortie du master !). L’entrée sur le terrain, comme l’entrée dans le métier, doit être progressive, quantitativement et qualitativement. D’une observation du milieu scolaire en deuxième année de Licence à des stages en responsabilité en master, la palette des modes de réflexion et de travail sur le métier d’enseignant devra être largement déployée, tant du point de vue des modalités d’accompagnement des stages et des dispositifs pédagogiques dans lesquels ils s’insèrent, que du point de vue du volume horaire ».
Le colloque de l’Assetec
L’Assetec, association de professeurs de technologie, réunissait le 4 octibre son 9ème colloque. Elle accueillait Luc Chevalier, président du groupe des programmes, qui a présenté les nouveaux programmes du collège. Plusieurs ateliers ont permis aux participants de travailler sur une épreuve de fin de 3ème et sur des compétences des 4 approches. L’Assetec relie près de 600 professeurs de technologie.
C’est l’occasion de signaler la publication des travaux de la réunion des IPR de s30 septembre et 1er octobre qui a traité de la mise en place des nouveaux programmes. Les présentations sont accessibles en ligne : documents d’accompagnement, synthèse des travaux du groupe d’experts, expérimentation des programmes en 5ème etc.
La philosophie et la crise
Les spécialistes de la crise ne sont pas ceux qu’on croit. Ce sont les philosophes. Le site académique de Nantes nous invite à y réfléchir. « Comment aborder le problème de notre devenir en temps de crise ? Cette ressource propose plusieurs réflexions philosophiques et fiches de lectures associées sur le thème de la crise comprise comme un moment singulier de l’existence des hommes et du monde où l’ordre habituel des choses se met à vaciller et menace même de retourner au chaos ».
Le site nous invite à naviguer entre des documents multimédias accompagnés de questions pour aborder un bilan personnel. Cette page est prolongée d’une réflexion sur les figures ethétiques de la crise (tragique, baroque, kitsch) appuyée elle sur des documents multimédias.
ST2S : Des documents pour l’histoire-géographie
EduScol, le site de la Degesco, publie des ressources pour la classe de terminale. Ce document aide à la mise en œuvre des nouveaux programmes.
le Cafe
Difficultés à s’abonner
Un problème technique rend les abonnements délicats en ce moment sur le site du Café. En cas de problème, écrivez-nous à redaction at cafepedagogique.net Merci !
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
L’Expresso directement sur votre site !
Vous nous l’avez demandé par téléphone, par courriel, par fax : comment afficher sur mon site personnel les informations quotidiennes de L’Expresso ? Le webmestre du Café vous propose deux solutions simples qui nécessitent juste le copier-coller de quelques lignes.
Vous pouvez ainsi faire bénéficier les visiteurs de votre site d’une information quotidienne et leur permettre d’être les premiers informés dans leur établissement.
RSS : Le retour
Le changement de plate-forme avait mis à mal les fils RSS du Café. Ils sont maintenant pleinement rétablis. Vous pouvez vous abonner aux flux simplement en cliquant sur l’icône RSS en bas de page. Et cela pour chaque rubrique du Café.
Participer au Café ?
Il y a bien des façons d’aider le Café : lui manifester son soutien, lui apporter son obole, lui passer des informations. Il y a aussi écrire dans le Café. Si vous vous retrouvez dans les orientations du Café, si vous souhaitez participer à une aventure unique de mutualisation, contactez-nous !
Le Café en chiffres
Le Café pédagogique compte plus de 150 000 abonnés à ses différentes éditions. Au mois de mai 2007, nous avons reçu 611 728 visiteurs qui ont généré plus de 28 millions de hits.
Le Café à la carte
Si vous découvrez Le Café Pédagogique, sachez que vous pouvez recevoir chez vous, dès parution et gratuitement, « L’Expresso », le flash quotidien d’actualité pédagogique et toutes les éditions du Café pédagogique.